bonjour,
J'ai un problème que je n'arrive pas a résoudre.
Je dois trouver que le nombre Rn de relation d'équivalence d'un ensemble fini de cardinal n vérifie la relation de réccurence :
Rn+1= Cnk Rk
Est ce que quelqu'un pourrait m'aider??
Merci d'avance.
salut
quand tu ajoutes un élément tu peux:
créer une nouvelle classe d'équivalence où il est seul
ou le relier à une de tes classes déquivalence de la relation ri parmi tes Rkclasses d'équivalence et tu as Cnkfaçon de le faire...
voila peut-être une idée
ce me semble-t-il
Bonjour,
Sans doute je me trompe mais je ne trouve pas cette formule exacte :
R0=0; R1=1; R2=2; R3=5; or (2,1)R1+(2,2)R2=4
salut
moi aussi je trouve comme toi jusqu'à R3 et j'ai le même problème
peut-être faut-il poser R0=1 par convention (car on peut dire ce qu'on veut des éléments de l'ensemble vide ainsi tout le monde sait que les fourmis de plus de 1000 tonnes sont bleues)ou alors quels sont les indices dans la sommation...
Comme l'a remarqué carpediem, le problème revient à dénombrer le nombre de partitions d'un ensemble à n éléments, car il y a une correspondance entre relations d'équivalence et partition.
Une recherche sur le forum pourait donner des topics où la question est traitée.
Quant à R0, c'est effectivement 1 formellement. Une relation d'équivalence sur E peut être vue comme une application de ExE dans l'ensemble à deux éléments {vrai,faux}, avec certaines conditions. Il y a formellement une application de ExE dans {vrai,faux}, et elle vérifie les conditions de relation d'équivalence, car ces propriétés commencent par "quel que soit x dans E, ...". Le contraire est: "il existe x dans E tel que ...". Or E est vide, il n'y a pas d'élément x dans E.
correction
PS: ce qui est bien cohérent avec la correspondance avec les partitions: il y a une partition de l'ensemble vide
Ca dépend de comment on définit une partition, mais ici tu n'as pas tort, si on veut identifier une relation d'équivalence à une partition, on aurait tendance à ne pas autoriser la partie vide dans les partitions, car la partie vide n'est la classe d'équivalence d'aucun élément de E, puisque que la classe d'équivalence de x contient au moins x.
Ceci dit si on définit une classe d'équivalence comme étant une partie de E dont les éléments vérifient tous la relation deux-à-deux, alors on ne peut nier que la partie vide est une classe d'&quivalence.
Bref il y a là un petit problème techinque. À part ça je n'ai pas réfléchi à la formule, donc je n'ai rien d'autre à dire. En tous cas, ce que je disais avant mon "PS" est formel: il y a 1 relation d'équivalence sur l'ensemble vide.
Là n'est pas la question. On se questionne ici à propos de R0=1. Mais bon inutile d'en dire plus, tu n'as pas l'air de vouloir participer à la réflexion.
merci pour toutes les aides apportées et dsl de ne pas avoir participé a la réflexion (on ne peu paqs etre partout)... en tout cas je vais creusé le sujet !
Bonjour
Je m'incruste un petit peu
Bonsoir,
euh j'ai pas compris là...
Fractal : tu dis "il existe une partition de l'ensemble vide, un ensemble vide (ensemble d'ensembles)" ou tu dis "il n'existe pas de l'ensemble vide" ?
Le nombre de partitions d'un ensemble à n éléments est appelé nombre de Bell . On pose bien . Ce qui est contradictoire dans wiki avec la définition de partition, qui exige qu'aucun élément de la partition ne soit la partie vide.
La définition de partition autorisant la partie vide n'est pas du tout inhabituelle. Le problème si on l'autorise c'est qu'on aurait la partition {{1},{2}} de l'ensemble {1,2} ainsi que la partition {{1}, {2}, vide}... si on distingue deux telles partitions, on n'a pas le bon "nombre de Bell".
Il faudrait alors:
- exiger que la partie vide appartienne à une partition
- ou alors identifier 2 partitions qui ne différent que par la partie vide
Le vide serait toujours une classe d'équivalence d'une relation d'équivalence si on prend cette définition de classe d'équivalence: une partie de E dont les éléments vérifient tous la relation deux-à-deux.
Mais il faudrait prendre garde à définir l'ensemble quotient comme l'ensemble des classes d'équivalence, sans la partie vide...
Autoriser la partie vide permettrait aussi de dire qu'à une application f:X -> E où X est un ensemble quelconque, on peut associer une partition de X: l'ensemble des images réciproques par f des singletons de E. Si f n'est pas surjective il y a la partie vide dans la partition.
De wiki:
Rigolo que B_n est le moment d'ordre n d'une loi de Poisson de paramètre 1. On peut ainsi approcher les B_n par simulation:
# 50000 simulations d'une loi de Poisson de paramètre 1
sims <- rpois(50000,1)
# nombres de Bell
n<-0
while(n < 20){
n <- n+1
B <- mean(sims^n)
print(B)
}
[1] 1.0133
[1] 2.04022
[1] 5.12642
[1] 15.40006
[1] 53.2013
[1] 205.8122
[1] 875.3424
[1] 4035.179
[1] 19921.35
[1] 104227
[1] 572546.9
[1] 3275520
[1] 19380010
[1] 117889630
[1] 733708526
[1] 4653257480
[1] 29974833145
[1] 195599666594
[1] 1.290183e+12
[1] 8.586967e+12
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