Salut a tous, j'aimerais votre aide la 1er question de ce problème algèbre. (étape par étape ^^)
L'application définie par :
: ²
(,) (un)n
(un)n = f(,) est définie, pour (S,P) ² :
u0 = ,
u1 = ,
n, un+2 = S*un+1 - P*un
1) Montrer que (²,).
Voila ce que j'ai fais :
(,) ², (',') ² et , on a :
[ (,) + (',') ] = [ (* + '),(* + ') ] , pour n = 0 :
= S*(* + ') - P*(* + ')
= *( S* - P* ) + ( S*' - P*' )
= *(,) + (',')
Donc (²,) pour n = 0
Mais je me demande si il faut faire pour n
Pourriez-vous m'aider?
Merci
Tuarai
en clair :
toutes les suites ci-dessous verifient la relation de récurrence u(n+2)=S*u(n+1)-P*u(n)
si (u) est la suite initialisée par et
et (u') est la suite initialisée par ' et '
et (w) la suite initialisée par +' et +'
alors pour tout n0, on a w(n)= u(n) + u'(n)
1)
Ok je me disais qu'il me manquait quelque chose ^^
2) Déterminer Ker(f). En déduire que f est injective.
Ker(f) = {(,)² \ f(,) = 0}
<=> S*un+1 - P*un = 0
<=> Ker(f) = 0
Et donc f est injective
tout cela est assez mal écrit...
bon, je vais remplacer les alphas / bétas par "a" et "b" (ras le bol d'aller chercher les caractères spéciaux !)
f(a,b) doit être la suite nulle... c'est à dire la suite (u) telle que u(n)=0 Pour tout n0
les quantifications ne sont pas otpionnelles en math et sont souvent la clé du problème
On a :
un+2 - S*un+1 + P*un = 0
En introduisant l'équation caractéristique tel qu'on obtient :
X² - S.X + P = 0 avec = S² - 4P son discriminant.
c'est incroyable cette faculté de se compliquer la vie !
tu cherche a et b pour que la suite image par f soit nulle ! réfléchis, c'est évident !
C'est ce j'ai vraiment du mal, c'est tellement simple qu'on y pense pas souvent.
L'injectivité je sais comment faire.
3) On considère g : ² Im(f) telle que (a,b) ², g(a,b) = f(a,b).
Montrer que g est bien une application.
Que peut-on dire de g?
(a,b) ² et
g((a,b)) = f((a,b)) = S**b - P**a = (S*b - P*a) = *f(a,b) = g(a,b)
Donc g est une application.
On a montré précédemment que f est injective, et donc g est injective aussi.
Si on montre que g est surjective, on aura g bijective et donc g est un isomorphe.
Mais pour montrer la surjectivité je n'arrive pas/
ben oui, l'injectivité est triviale !!! il n'y a plus rien à faire : une application linéaire dont le noyau est réduit au vecteur nul est injective... théorème de cours !
je crois qu'il faudra que tu revois la définition d'"application" car je ne comprends pas ce que tu fais pour montrer que g est une application !
non, visiblement tu n'a toujours pas compris, ni l'énoncé, ni la définition de g, ni la question ! désolé !
l'image d'un couple par f (ou g) n'est pas un nombre réel !!!!
et je ne vois absolument pas le rapport entre le calcul de g((a;b)) et le fait qu'on veut démontrer que c'est une application !
tu connais la définition de "g application de E dans F" ?
à tout élément x de E ... (si tu dis "antécédent", c'est antécédent de quelqu'un... donc tu supposes le résultat !)
et une unique image dans F
bon, alors montre que g est une application de R² dans im(f)
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