Bonsoir

qu'il repose en Paix

Mauvais soir,
une pensée pour ses parents et ses amis.
Ce qui ne les aidera guère, malheureusement.

...paix à son âme ....des fois je me dis qu'une antenne  policière  dans certains établissements ne serait pas de trop pour réprimer les formes de délinquances intra scolaires  ..  avec une possibilité de garde à vue sur place et des procedures indentiques à celles qui se font dans un commissariat .... un prof  , insulté ou menacé , voir agressé ..une interpellation sur place avec les conséquences qui suivent .... je pense que ca peut sérieusement mettre un frein à tout velléité  ....apres tout l'ecole est une "societé d'individus" exactement comme celle qu'il y a en dehors....

fut un temps où les CPE, qu'on appelait "surveillants généraux", et les chefs d'établissement jouaient ce rôle....

Bonjour,

Je m'occupe d'aide aux devoirs pour  plusieurs collégiens;hier soir
j'ai pris le temps de leur parler de courage et de responsabilité vis-à-vis
de leurs parents,de leurs camarades et de leur professeurs.

Il y a quinze jours ils m'avaient demandé ce que je pensais du portable
et d'internet;vioque, j'ai des vieux principes que j'aime expliquer,

Alain

Bonjour

une lettre ouverte de ses collègues du collège
http://www.politis.fr/articles/2016/02/de-la-misere-en-milieu-enseignant-34064/



R.I.P. condoléances à la famille

Ouhh !

Poignante et tellement bien  rédigée cette lettre !

En effet on ne peut que se sentir solidaire de ces profs envoyés en pâture face à des élèves difficiles.

Condoléances à sa famille et ses collègues.

De tout cœur avec sa famille et ses collègues.
Pour lafol, à l'époque où les CPE s'appelaient surveillants généraux, avant 1968 je crois, les insultes et menaces étaient plutôt rares. Il y avait des chahuts, mais très rarement remise en cause de la pédagogie (l'expression était-elle connue ?).
Il n'y avait pas non plus la même proportion d'une classe d'âge qui accédait au cycle général.

il y avait encore des surveillants généraux quand j'étais élève au lycée, entre 76 et 79 ....
les insultes et menaces étaient plutôt rares, parce que ça se terminait assez mal pour leurs auteurs. Les chefs d'établissement hésitaient moins à convoquer un conseil de discipline que maintenant où c'est un peu partout "surtout pas de vagues". Après on s'étonne à chaque fait divers "oh pourtant c'était un établissement pas réputé pour être violent" alors que les profs qui y exercent au quotidien n'en peuvent plus de cette violence jamais remontée au rectorat....

Maintenant, le proviseur est noté sur quels critères ?

A-t-il plus de points quand il y a plus ou moins de conseils de discipline dans son établissement ?

Comme dit lafol  ""Ne pas faire de vagues ! ""