Bonsoir svp je voudrais qu'on m'explique
a) déterminer les valeurs du réel a telles que le système
{(A,1);(B,1);(C,-2);(M,-a)} admet un barycentre.
b) on considéré l'application fa qui à un point M associe M' barycentre de {(A,1);(B,1);(C,-2);(M,-a)}.
Donner la nature de l'application f0 et celle de fa dans le cas a0
Bonjour
Revenir à la définition d'un barycentre.
Quelle relation doit exister entre les coefficients pour que le barycentre existe.
Puis réfléchir.
Bonjour,
la question (a) est terminée
pour la (b)
f0 est évident d'après la question (a)
ensuite pour fa, a≠0 déja dit qu'il faut réciter le cours sur la définition vectorielle d'un barycentre :
le point M' est barycentre du système { ... } si et seulement si
...+ ... + ... (des vecteurs avec le point M') =
pour conclure on sera amené à utiliser Chasles et le point I milieu de [AB] (pourquoi donc ?? observer les coefficients...)
M'= GA+GB-2GC-aGM=O biensur ayant des vecteurs
I milieu de AB I= bar {(A,1);(B,1)}
D'où G= bar {(I,2);(C,-2);(M,-a)}
c'est quoi ce G ???
le barycentre de {(A,1);(B,1);(C,-2);(M,-a)}. s'appelle M' c'est écrit dans l'énoncé
M'A+M'B-2M'C-aM'M=O
c'est sur cette relation là qu'il faut travailler pour en déduire le vecteur MM' sans aucune autre apparition de M' dans le résultat (grâce à Chasles), que des M, A, B, C ou I
et donc la transformation demandée.
PS : on peut bien entendu partir de
M' = bar {(I,2);(C,-2);(M,-a)} c'est à dire de 2M'I - 2M'C - aM'M = 0
pour économiser une des utilisations de Chasles ...
(quoique .. il devrait être immédiat que quelque soient P, A, B on a PA+PB = 2PI en vecteurs, I milieu de [AB] sans être obligé de le redémontrer à chaque fois par Chasles en écrivant PA+PB = (PI+IA)+(PI+IB)
cette relation étant équivalente à "les diagonales d'un parallélogramme se coupent en leur milieu")
2M'I - 2M'C - aM'M = 0 Dans cette relation quel point doive introduire pour enlever m'? Et quel est la nature de f0?
il n'y a rien à introduire, ils y sont déja pour éliminer M' dans M'I - M'C ...
l'application qui à tout point M fait correspondre absolument rien du tout ne porte pas de nom particulier...
(c'est bien la conclusion de la question 1 non , que pour a = 0 il n'existe pas de barycentre M' ?)
on peut écrire que f0 est une application du plan tout entier vers l'ensemble vide
Oui sia=o il existe pas de barycentre car la somme des coefficients doit être différents de 0 donc a { 1,2,3....n}
bonjour
attention dans ton énoncé il est dit que a est réel et pas nécessairement entier...donc ta conclusion de 13h01 n'est pas juste
absolument pas
a ≠ 0 veut dire a appartient à * (
privé de 0)
a = -π, a = 41/7, a = 2 etc...
voire même des nombres entiers mais c'est un cas très particulier car il y a bien plus (infiniment plus) de nombres pas entiers que de nombres entiers
as tu terminé la simplification vectorielle ?
ça donne quoi comme conclusion quand a ≠ 0 ? (description en mots de l'application fa : M M' ?)
a ne disparait pas comme ça du tout, et le 2 reste jusqu'à la fin
2M'I - 2M'C - aM'M = 0
commence par simplifier ce qui est en rouge, c'est du direct de chez Chasles
et si tu ne le vois pas peut être le verras-tu mieux écrit comme ça :
(je suis en train de te faire ton exo là ...)
2(CM' + M'I) - aM'M = 0
ensuite on veut MM' = quelque chose ....
(à cette occasion on retrouve la condition a ≠ 0, car diviser par 0 ça ne se fait pas ...)
et là la conclusion sera évidente si on connait les définitions de rotation, translation, symétrie etc etc, bref, celles qui portent des noms.
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