bon jours les amis je suis nouveau sur ce forum et j espère que vous puissiez m aider a résoudre cet exercice faisant partie d un devoir à la maison
on note l'ensemble des parties finie de N
l'application D de N vers N qui a appartient à A
montrer que D est bijective
j'ai demontrer que chaque n a un antécédent il me reste l unicité
bonjour,
Si et
et
1) Que se passe-t-il si je divise cette égalité par ?
2) À quelle condition puis-je la diviser par ? Est-il possible qu'elle ne soit pas satisfaite ? (réponse : non)
3) Conclusion et
J'ai oublié de préciser que et sont pairs. Tu peux même si tu veux supposer que ce sont des puissances de 2
oui si on divise par
on aura si l_1 est différent de l-2 un nombre pair egal un nombre impair contradiction
mais comment rédiger tout ça?
On considère deux parties finies et . On peut les écrire et avec et
On suppose que , c'est-à-dire que
Quitte à intervertir les rôles de et , on peut supposer sans perte de généralité que
Je te propose deux méthodes de résolution de l'exercice.
Méthode 1 :
est divisible par et égal à , donc est divisible aussi par . D'où et donc leur égalité. Par récurrence (immédiate) basée sur cette initialisation, et pour tout , . Note que j'occulte une difficulté : il peut y avoir besoin d'intervertir plusieurs fois les rôles de A et B. C'est ce qui fait qu'on finit par avoir l'égalité entre n et m, mais je t'encourage à essayer de le rédiger.
Méthode 2 :
Comme D(A) et D(B) sont des sommes de puissances de 2, ce sont en particulier des réels strictement positifs.
SAUF bien sûr quand A ou B est vide. C'est un cas à part : 0 est le seul entier qui s'écrive comme la somme de zéro puissances de deux...
Puisque , on a aussi .
On recommence ensuite l'opération avec pour en déduire que .
A chaque fois, l'égalité des parties entières des logs en base 2 nous dit que les deux réels comparés ont le même nombre de chiffres, c'est à dire qu'il reste le même nombre de chiffres () à traiter. Au bout de la récurrence on a bien et pour tout , i.e .
Remarque : le nombre de chiffres en base b d'un entier p est .
Parce que p a k chiffres ssi ssi ssi
bonjour,
n'est pas une bijection car 0 n'a pas d'antécédent
il faut donc que l'ensemble d'arrivée soit N* on a D({0})=1.
On peut démontrer que D est bijective en montrant que tout n de N* possède un antécédent unique.
remarquons que on peut ranger les éléments de A qui sont tous distincts dans l'ordre croissant
l'ensemble des constitue une partition de N*
Par récurrence
hypothèse de récurrence
Si possède un antécédent unique A dans alors tout n possède un antécedent unique A' dans
initialisation
comme possèdent un unique antécédent , 2=D({1}) ,3=D({0;1})
Supposons l'hypotèse vraie pour
,on a donc et
possède un unique antécédent A et n possède A'=A U {n} comme unique antécedent
salut
la méthode Ulmiere est pourtant simple ... même si je la trouve compliquée dans sa formulation ce me semble-t-il !!
soient A et B deux parties finies ayant même image n par la fonction f
donc et
notons p = Min A et q = Min b alors :
si alors il est aisé de montrer qu'on arrive à l'égalité : pair = impair
donc p = q
et par récurrence descendante on considère alors l'entier
et on recommence ...
N est minoré donc cette récurrence s'arrête et montre alors que A = B ...
dans le raisonnement de DOMOREA
il dit que d est une bijection de [tex]
_{f}(N)\rightarrow N^* ; /tex]
excusez le message précèdent voila ce que je voulais écrire
dans le raisonnement de DOMOREA
il dit que D est une bijection de
EN REALITE C ERTS VERS N
car D(ensemble vide)=0
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