Perso, ça ne me choque pas plus que ça. Sauf peut-être en première S.
Pour le reste, on a beau aimer les maths, faut dire qu'il n'y a pas que ça non plus, si y'a moins de maths, ce sera comblé par d'autres matières j'imagine...plus de langues en ES et L par exemple?
On a fait l'apologie des sciences et de la section S pendant des années, pour s'apercevoir aujourd'hui que c'est tout bouché de partout sauf si on est très doué, donc attendons de voir ce que ça donne.
Bonsoir carpediem et cueille le jour quand il est encore temps.
Dans 10 ans on s'étonnera de la chute de l'école mathématique française...
Bonsoir robby3
L'espoir fait vivre, mais je vais te raconter une histoire :
Il y a 20 ans de ça j'ai lu dans une revue la déclaration suivante d'un ingénieur français travaillant au USA : << Quand j'étais en France je n'avait pas besoin de vérifier les calculs de ma secrétaire, ici c'est obligatoire >>.
Ce qui est devenu faux. Après force réformes, on ne peut plus faire confiance dans les calculs d'une secrétaire, sauf si elle est assez vielle.
Je ne ferais certes pas l'apologie de la section S, qui a été conçue, il faut s'en souvenir, pour diminuer le rôle des maths dans la sélection. Mais il y a une chose qui me semble évidente, après une assez longue expérience, moins on en demande aux élèves, moins ils en font.
Et je suis à peu près certain d'être comme eux.
Bonjour
la filière S est intérésente pour l'organisation, de plus elle permet d'ouvrir n'importe quel porte, franchement vous me demoralisé. Et est ce que vous pensez qu'un éléve très doué dans les matières scientifique et qui a des grosses difficultés en francais peut réussir ses études ?
rooby3 :: on a fait l'apologie des sciences ... mais c'est par les sciences que le progrès technologique s'est fait et que notre société est "moderne" (savez-vous que les antennes des protables sont des fractales pour une meilleure réception ? (mais bon je n'ai pas de portable...))
un train apporte un grand intérêt à la collectivité, un TGV non...
mais (car) le progrès social lui ne s'est pas fait (d'ailleurs l'actualité nous montre plutôt un recul...) et fourguer presque 50% des élèves dans une filière S n'en fait pas des scientifiques malheureusement
verdurin :: je suis tout à fait de ton avis
quant au pb du travail à la maison malheureusement la tendance est plutôt à la baisse d'autant plus que le pb n'est pas temps les exercices mais la méthode de travail (combien savent lire leur cours pour aller y chercher l'information pertinente ?) ce qui d'ailleurs se traduit par un premier semestre de méthodologie en fac....
mon pb n'est pas tant que tous les élèves fassent des math ou du français mais que ceux qui décident de faire ça en aient les compétences et les bagages....
oui je pense qu'un eleve très doué dans les matières littéraire et qui a des grosses difficultés en maths peut réussir ces études parce que les maths ne sont pas "présentes" dans toute sorte d'étude tandis que le francais est présent dans toute sorte d'étude alors la réponse de la question que vous m'avez possé n'est pas équivalent a la réponse de ma question
De plus le francais est aussi diffice en scientifique qu'en littéraire tandis que les maths sont beaucoup plus dur en scientifique qu'en littéraire, c'est inimaginable (mais je ne me plains pas)
y a-t-il une logique ?
Bonjour.
stefen50> Le français qui est présent dans toutes les études, c'est le français "élémentaire" qu'on enseigne jusqu'en 3ème, et qu'absolument tout le monde devrait maîtriser. Il n'y a aucun rapport avec les matières littéraires qu'on enseigne au lycée et au-delà.
Évidemment, la même chose est valable en mathématiques.
Quant à la difficulté, c'est un point de vue subjectif, et discutable. Il est quand même clair qu'on attend beaucoup moins de compétences littéraires d'un élève en section S, que d'un élève en section L.
Si tu n'appelles pas ça de la "difficulté", alors on n'a pas la même définition ...
En passant, ta première phrase est vraiment loin d'être un modèle de français, autant sur le plan de la structure que la grammaire/orthographe ...
oui je sais. Moi je parlais de moi en te demandant
Et est ce que vous pensez qu'un éléve très doué dans les matières scientifique et qui a des grosses difficultés en francais peut réussir ses études ?
je souffre d'une legere dysphasie, j'ai des grosse difficultés en francais mais j'ai des facilités en maths, je stucture bien en math mais pas en francais.
Je voulais te dire sa, et je n'ai jamais dit que ce que j'écris etait vrai, c'est juste mon point de vue, la vérité existe mais je ne prétend pas dire la vérité. ok ?
bonsoir à tous
stefen50
dans ma classe de TS, il y a des gars qui n'ont pas eu leur bac de français, et qui ont leur place en prépa .... ...
Bonsoir à tous,
Prof dans l'Education Nationale mais aussi impliqué dans le soutien scolaire, j'ai eu en soutien durant tout le mois de juillet un élève de prépa HEC option ECE, qui certes a choisi une prépa un peu "élitiste", au lycée Janson de Sailly à Paris. Cet élève avait eu un bac ES avec mention très bien et 18/20 en maths en particulier. Je l'ai récupéré "en miettes" en maths. Complètement largué, avant dernier de sa classe à Janson... Un élève tout à fait brillant par ailleurs, mais combien de fautes non seulement de rédaction, mais surtout de logique ai-je pu lui corriger?!
Certes, il avait fait une terminale ES et non pas une terminale S. Mais d'un autre côté, c'est en prépa HEC option ECE qu'il est aujourd'hui (en 2ème année) et non pas en prépa HEC option ECS...
J'ai donc bien compris que le bac ES, on le donnait à tout le monde ou presque. C'est vrai que lorsque l'on regarde les épreuves, il n'y a pas de quoi s'affoler... Le problème, c'est qu'après les programmes n'ont pas changé...
j'ai eu le même cas l'année dernière avec une élève venant de ES avec un bon bac et qui se retrouve larguée en prépa éco
entre de nombreuses fautes de calcul, de nombreux pb de logiques et d'organisation et de méthode après qq semaines elle m'a sorti : "je ne pensais pas être aussi nulle"....
en fait ce n'est pas tant qu'elle soit nulle mais plutôt l'absence d'exigence au lycée qui conduit à produire des élèves "médiocres" alors qu'ils sont capable de faire beaucoup mieux
on n'évitera jamais les fautes de français, nous en faisons tous, mais quand on voit des copies de français ou philo avec une faute tous les 5 mots comment peut-on espérer faire du bon boulot ?
-> Carpediem
Je suis entièrement en phase avec toi quand tu dis que ce ne sont pas les élèves qui sont médiocres, mais que ce sont les exigences du lycée qui ne sont pas assez fortes.
Simplement, les très bons élèves n'arrivent pas à développer leur vrai potentiel dans un environnement qui est fait pour que 90% d'une classe d'âge arrivent au BAC...
Ils sont facilement à 18 en maths en terminale, et ils plafonnent... en pensant parfois qu'ils sont des dieux! Puis ils arrivent en prépa, et là ils se font massacrer. Résultat des courses: ils passent du statut de dieux à celui de "cancres". La balance est alors totalement inversée, ... et l'écoeurement, le découragement peuvent être au rendez-vous.
tout à fait et l'exigence et la rigueur mesurées (en accord avec les deux noms précédents !!) peuvent être une très forte stimulation pour l'ensemble des élèves et leur apporter une base plus solide qu'elle ne l'est actuellement
c'est à se demander si les adultes se soucient réellement de leurs enfants (je n'en ai pas enfin chaque année j'accouche d'environ 80 à 120 élèves... )
Bonsoir stefen50
Bienvenues à tous dans la bande des petits vieux qui râlent sur la baisse des exigences depuis trente ans.
Pour des raisons économiques à courtes vues les différents gouvernants ont diminués les heures d'enseignements ....et ça continue malheureusement les dernieres
catastrophes vont venir des heures perdues les samedi en attendant la prochaine réforme des lycées.
Tiens au fait hier une étudiante de FAC première année (filière MATHS) m'a "demandé" : mais n'existe-t-il pas que la base 10 ?
(moi j'ai vu les bases au CM2) c'est pourtant quelqu'un qui travaille et apprend son cours....
En fait je sais pourquoi les politiques veulent baisser le niveau (dans toutes les matières) : ils sont médiocres et il faut que les gens votent pour eux donc il faut aussi
qu'ils soient médiocres. (c'est du Tocqueville à l'envers lol)
"leur prof principale leur demande s'ils n'ont pas trop de travail en maths..."
avec la complicité de certains enseignants qui profitent de leur situation pour saboter le travail des nouveaux
-> lolo271
Je ne sais pas si la diminution des heures d'enseignement est vraiment en cause. Personnellement, je miserais plutôt sur l'absence de sélection, un mot qui est devenu tabou. Parce que tous doivent obtenir coûte que coûte un doctorat, et tant pis si à un moment ou un autre ça coince...
Les parents d'élèves dans une grande majorité sont aussi quelque part responsables de cette situation, chère Stella. Car combien de parents d'élèves souhaitent que leur gamin ou leur gamine passe coûte que coûte dans la classe supérieure, même si les enseignants recommandent le redoublement?! L'échec est assuré à l'arrivée pourtant...
Pour ce qui est de ton élève de FAC, je ne saurais que te recommander de lui apprendre le principe du codage des nombres en informatique. Ainsi, elle découvrira ce qu'est la base 2... Et peut-être aussi saisira t-elle que l'informatique, ça ne se réduit pas uniquement au maniement d'une souris.
Bonjour
"Lorsque ma fille était en Terminale ES, le prof de maths de la classe voulait que les élèves aillent en prépa car ceux qui choisissaient la filière courte (IUT, BTS) manquaient d'ambition. Moi ce genre de réflexion m'énerve ! Donc qui pousse les enfants ? Et les parents suivent car il y a un manque d'incompréhension entre les parents et les profs !"
malheureusement dans certaines classes sociales les parents ont aussi un effet inhibiteur sur leur enfants, j'ai souvenir d'un excellent élève qui n'a pas fait prépa tout simplement parce qu'il pensait "je suis pas du niveau je viens d'un lycée défavorisé"
JFV que l'absence de sélection soit aussi un facteur je suis d'accord : les éléments qui perturbent la classe ou simplement qui ne suivent pas sont pénibles pour tous, mais
avec une perte de 25% des heures de maths et de français en 20 ans on ne peut décemment pas enseigner la même chose.
Les programmes tiennent d'ailleurs compte (et c'est compréhensible) du nombre d'heure supprimée : en 1970 les 4 opérations étaient traitées en CP aujourd'hui seules quelques classes expérimentales font ça (sauf enfants de parent enseignant en maths bien sûr).
Le programme de CP pour les maths se termine cette année ....avec les additions !!
Pour faire prépa il faut avoir le niveau !
Déjà il faut être reçu et ça, ce n'est pas gagné et pour faire quoi, pour briller !
Rester en prépa 2 jours je ne pense pas qu'on apprenne grand chose ! faut pas rêver !
Plis facile ensuite de faire un IUT ou un BTS, ma fille a du aller à paris parce que dans le Nord on ne l'acceptait pas dans les IUT qu'elle demandait ! alors même être accepté en IUT n'est pas facile.
certe oui...
moins d'heure oui et donc moins de savoir ce n'est pas génant c'est qu'on a maintnant un savoir comme un gruyère (suisse il est meilleur que le français !!)
ça ne me gène pas qu'un élève de 1eS par exemple ne sache dériver que les polynomes mais par contre ça me dérange qu'il ne sache pas donner un minimum de sens à cet objet
c'est dommage que le savoir mécanique prime autant sur le sens alors que ça devrait être le contraire (c'est ce qu'on essaie de faire en philo) d'ailleurs il n'y a qu'à voir la n-ième réforme en mathématiques dont l'idéal noble est de redonner la primauté à la réflexion mais qui malheureusement en profite pour obéir certains critères économiques qui ne vont pas aller dans le sens à améliorer les choses
quant au pb de pousser....mais à tous les niveaux ça pousse !!!
ainsi en seconde combien de fois avons-nous des élèves qu'on a poussé alors qu'ils voulaient faire un bac pro ?
...puis ensuite de 2e en 1eS (puis faut les remplir ces classes...faut qu'ej pense à mon beefsteack !!!)
....puis en prépa...
et puis les prépas font donc de la pub envers les lycées...
....puis les lycées font de la bup auprès des collèges...
à quand pour les collèges vers les écoles primaires ?
c'est le serpent qui se mord la queue....
tiens vous avez entendu parler du projet de faire un examen pour aller en collège ?
j'ai entendu notre chatel(in) en parler...
on dirait selon vous que tout part en sucette depuis un certain temps déjà, que ça continue et que ça va continuer sans que personne ne s'en soucie réellement aux plus hautes instances de notre pays...
Il doit quand même y avoir un truc qui cloche non?
Je me rappelle d'un enseignant plutôt optimiste qui pensait qu'on se rendrait tôt ou tard compte qu'on fonce droit dans le mur, et donc qu'on redresserait la barre rapidement.
Apparemment, c'est pas demain la veille ...
ouais...et ça fait peur de voir ce pays de résignés et de désillusionnés...
Je me demande ce que se sera dans 30 ans...
on file un mauvais coton.
Bonjour
"ard compte qu'on fonce droit dans le mur, et donc qu'on redresserait la barre rapidement."
le soucis c'est qu'on suit le modèle US, et que maintenant les pays d'afrique suivent notre modèle. Donc logiquement s'il y a un redressement on le verra d'abord aux USA
euh où il est le redressement aux USA ?
Jean-François Coppé est à la radio sur Europe 1 avec Morandini pour parler de l'examen pour passer en 6ème.
Bonjour,
Je pense que la section scientifique va vraiment dans le mauvais sens.
Je suis persuadé qu'il y a en S une bonne moitié des élèves qui sont allés en S parce que leurs parents les ont forcés ou parce qu'ils ne savent pas trop ce qu'ils veulent faire.
J'en ai eu vraiment marre en première d'entendre mes camarades de classe soupirer en allant en cours de maths ou de physique.
En ce qui concerne les mathématiques de primaire et de collège (en gros, des calculs), je trouve que la tendance "calculatrice" a largement pris le dessus sur le "calcul mental", ce qui est vraiment dommage. Avant, tout le monde apprenait à calculer correctement.
Sur ce point, je dois dire que j'ai vraiment eu de la chance : j'ai vraiment accroché aux chiffres étant petit, je savais faire les additions les plus simples à 2 ans, les soustractions à 3 ans, et je maîtrisais à peu près toutes les opérations de base à 5 ans. Puis j'ai lu des livres de vulgarisation à l'astronomie, suis allé dans des musées scientifiques parisiens... Je suis persuadé que, si mes parents ne m'avaient pas encouragé pendant que mes enseignants me bridaient, je serais une loque en maths (le frustré qui aurait 5 en maths alors qu'il sait qu'il a des capacités). Et je remercie mes parents.
Il s'agit alors peut-être de ma propre expérience, mais je pense qu'il est important d'apprendre à l'enfant de développer sa curiosité, et même à l'extrême. Il n'en demeure pas moins qu'Alain (malgré cette passion pour les mathématiques, j'aime un peu la philo ) avait raison en disant qu'il fallait "contrarier les goûts, d'abord et longtemps".
Dans cette optique, je ne vois pas ce que font au moins la moitié des personnes en S. Pourquoi venir si aucune des trois matières ne nous intéresse ? Bah cette réforme le permet maintenant. Quatre heures hebdomadaires en maths en première S, c'est juste lamentable. Ces élèves apprendront la même chose que moi mais de façon encore plus machinale. D'ailleurs, il y a une semaine j'ai vu d'anciens sujets de bac C et mathelem. C'est une autre classe
"je savais faire les additions les plus simples à 2 ans, les soustractions à 3 ans, et je maîtrisais à peu près toutes les opérations de base à 5 ans. Puis j'ai lu des livres de vulgarisation à l'astronomie, suis allé dans des musées scientifiques parisiens... Je suis persuadé que, si mes parents ne m'avaient pas encouragé pendant que mes enseignants me bridaient, je serais une loque en maths (le frustré qui aurait 5 en maths alors qu'il sait qu'il a des capacités). Et je remercie mes parents. "
je te remercie de ces encouragements....c'est ça que j'apprends à ma fille de 6 ans (bon les divisions elle est pas encore au point), malheureusement c'est réservé aux enfants de privilégiés.
Bah écoute, de rien
Je ne dis pas qu'il faut absolument forcer les enfants à apprendre plus et plus (surtout à cet âge) mais que les parents doivent savoir guider leurs enfants vers leurs passions et participer activement à leurs passions intellectuelles. Pour ma part, il s'agissait de passions essentiellement scientifiques. S'il s'agissait de passions littéraires, je serais persuadé que mes parents m'auraient également encouragé à les suivre. J'ai appris à lire tôt pour pouvoir lire des livres de maths () pendant que mon institutrice de moyenne section de maternelle affirmait : "il sait lire, mais on s'en fout, il ne veut pas prendre de livres à la bibliothèque".
C'est marrant à six ou sept ans d'ailler dans une conférence sur et de voir que j'étonnais du monde... J'adorais étonner du monde par certaines choses que je savais.
Après, mes parents ne sont pas excessivement privilégiés, mais mon père est persuadé que le savoir est la clé de l'épanouissement (selon lui, l'épanouissement intellectuel est quelque chose de très important). Cela me fait penser que l'apprentissage peut être vu exclusivement comme un plaisir. D'ailleurs, ça ne me choquerait pas de recommencer les études trente ans après que je les aient arrêtées, pour faire une thèse de doctorat par exemple. Ca ne me choquerait pas non plus de voir qu'une personne a étudié pendant toute sa vie tout en menant une vie professionnelle et familiale à côté.
Je pense que la plupart des gens a tendance à voir l'éducation (primaire et secondaire) comme un tout, et le diplôme d'université comme un graal. Ces personnes n'ont visiblement pas compris qu'on donnait une éducation nécessaire aux élèves. Or, une éducation nécessaire n'est pas forcément suffisante. Il faut aussi savoir apprendre tout seul... Le problème est que c'est une chose que la majorité des personnes (je pense) n'a pas compris.
Dans une reportage d'Envoyé Spécial, une prof d'histoire de prépa disait : "il faut apprendre aux élèves à toujours viser haut, et je pense que c'est le plus grand respect qu'on peut avoir pour eux". Je ne sais pas si c'est exactement la même citation, mais je pense que c'est ce que les parents doivent faire pour leurs enfants, et que c'est ce que les élèves doivent systématiquement faire
Tous ça, c'est bien jolie, mais comme le disait lolo:
Oui enfin quand le grand-père de Clément aura très bien appris à compter, il peut transmettre ce savoir à son fils, qui le transmettra à Clément.
Clément peut lui-même se passionner pour le calcul et peut chercher différents moyens de calculer plus vite, et retombera sur les mathématiques.
Vous devez être membre accéder à ce service...
Pas encore inscrit ?
1 compte par personne, multi-compte interdit !
Ou identifiez-vous :