Bonjour ,
J'aimerai avoir votre avis sur sa :
Je voudrais savoir si pour exceller en classe préparatoire nous sommes obligé d'avoir des facilités ?
Car il y a certaines personne qui disent oui et d'autre non donc j'aimerai avoir votre avis
Il y a des deux. C'est très relatif à la notion de facilité que l'on peut avoir. En revanche, ceux qui n'en ont pas a priori beaucoup devront beaucoup travailler.
Merci Togodumnus pour ta réponse
Oui tu as raison c'est vrai que c'est très relatif mais par exemple penses tu que quelqu'un en difficulté ( ce n'est pas mon cas ) peux excellé avec un gros travaille ? je te demande ça car justement une personne m'a dis que sans le talent une personne en difficulté ne pourra jamais excellé elle pourra seulement avoir une moyenne qui lui permet de tenir la route
Bonjour,
Je ne sais pas ce que veux dire "avoir des facilités" mais je pense que pour réussir en prépa, il faut savoir travailler de façon efficace sans passer des heures à apprendre une notion.
Par contre, il me semble qu'en prépa scientifiques, la différence se fait grâce au français ! Alors essaye de soigner ta façon d'écrire !
Orthographe de base : faire la différence entre le travail et le verbe travailler
Règles de conjugaison : faire la différence un infinitif et un participe passé et savoir conjuguer les verbes pouvoir et dire
Bon courage
"Une erreur" ! Tu es bien indulgent(e) avec toi !
Ok reste dans ton approximation et garde ton niveau en orthographe si cela te plait !
Il y avait quand même un autre conseil dans ma réponse : il faut savoir travailler de façon efficace !
Pourquoi le prends tu mal ?
Tu m'as l'air très bon(ne) en orthographe c'est pour ça que je te propose
Oui , d'accord je te remercie pour ton conseil
L'orthographe est essentielle en maths et en physique. Une copie mal orthographiée donne une très mauvaise impression : et l'impression du correcteur est importante !
Je ne suis pas fier, mais je n'ai jamais aimé/travaillé/compris ce qu'on appelle "français" en prépa (et qui est selon moi une imposture intellectuelle, mais mon but n'est pas de lancer un débat) et j'ai pu assez bien réussir. Après, être bon en français est un atout assez avantageux ! Il faut donc se laisser la chance et faire l'effort de travailler le français !
Pour le sujet initial : quelqu'un qui avait du mal en terminale va, en général, souffrir en première année.
Mais il est important de savoir que même en ayant souffert en première année, on peut faire une (très) bonne deuxième année, même sans être allé en classe étoilée.
Mais comme tu l'as dit, on manipule des notions plutôt subjectives donc les réponses peuvent varier.
Ne pas oublier non plus que la notion de "facilité" est difficile à évaluer et que ça mène à des prophéties auto-réalisatrices.
Je crois que je n'ai pas de facilité => je pense ne pas y arriver => il ne me sert à rien de travailler, car de toute façon je n'y arriverai pas => je ne travaille pas => j'ai de mauvais résultats => je crois encore plus fort que je n'ai pas de facilité
En règle générale, si tu travailles : tu y arrives.
Et ceux qui parviennent à distinguer des "facilités" en Terminale où on demande généralement d'apprendre par coeur un cours ou des modèles d'exercice puis de les recracher ne définissent pas de facilités intellectuelles mais une facilité à se bouger le derrière.
Hello,
Les facilités n'existent pas ...
C'est juste que la capacité de concentration se travaillent comme un muscle et qu'il faut des années avant d'avoir une concentration maximum.
Un champion de Marathon même si il ne s'entraîne pas de toute une année et que toi tu forces comme un malade cette même année, tu n'arriveras pas à le battre, parce qu'il a un passif derrière lui. Le cerveau c'est la même chose, certains cerveaux sont curieux de tout et ont augmenté leur capacité de concentration depuis la maternelle. Donc même en travaillant 2 fois moins que toi, ils sont plus efficaces, mais c'est parce qu'ils ont travaillé plus régulièrement avant tout simplement ...
Je remets ici la réponse que j'ai faite sur le site de Physique et je le complète.
D'abord et avant tout il faut travailler régulièrement et sérieusement ... c'est une condition nécessaire mais pas suffisante pour "exceller".
Exemple juste pour faire comprendre :
Si quelqu'un veut exceller dans la peinture d'Art, il doit apprendre sérieusement différentes techniques (travail assidu) ... mais si il n'a pas un certain "don" au départ il ne pourra jamais exceller dans cet Art.
Le travail peut souvent permettre d'être dans la bonne moyenne, mais l'excellence que tu sembles viser (l'ambition c'est bien, mais gare au retour de manivelle) n'est pas à la portée de tous.
Personnellement, je connais quelques ingénieurs qui à force de travail acharné ont réussi à décrocher leur diplôme ... et à qui je n'oserais même pas confier la réparation d'un pneu crevé au vélo de mon petit-fils.
Mais cela éloigne du sujet, quoique ...
Bonjour,
Je ne répondais que pour les études en classe prépa, pas pour la carrière professionnelle.
Je répète une phrase de J-P qui me semble importante :
Bonjour,
Une remarque avant de réagir : je ne vois pas trop l'intérêt "d'exceller en classe prépa".
Les buts en classes prépas sont :
- d'intégrer une école qui te plait
- d'apprendre et progresser
- de travailler intensément et de développer des méthodes et reflexes de travail
- de faire des rencontres (profs + élèves)
- de vivre
Pour répondre à la question, je la trouve d'une grande naïveté et d'une certaine futilité.
Tout le monde sera à peu près d'accord pour dire qu'avoir du talent aide à tout.
Et que quand on manque de talent on compense par le travail.
... jusqu'à un certain point.
La prépa a ceci de particulier qu'elle mène à des concours sélectifs, et que chacun y donne en général le meilleur de ses possibilités.
Celui qui peut viser Supaéro sans trop se fouler, se bougera un peu plus pour décrocher les Mines ou l'X.
Il y a très peu "d'élus" qui peuvent réussir à entrer dans les toutes premières écoles sans trop travailler. J'ai dû en croiser un en prépa. Il avait des facilités hallucinantes, au point de donner l'impression de ne pas travailler. Travaillait-il ? Personne ne le sait. Mais il donnait vraiment l'impression de se "promener". A mon avis, il bossait... parce qu'il voulait intégrer normale sup. Ce qu'il a fait en 3/2 d'ailleurs.
Mais donc au final, en dehors d'une éventuelle poignée d'individus totalement hors norme, avec la prépa il y a toujours une marche d'escalier supérieure qui donne aux meilleurs un objectif si difficile à obtenir qu'il leur faudra travailler. La conséquence, c'est qu'en général, pour quelqu'un moins talentueux, il va devenir quasiment impossible de rivaliser avec eux.
Mais je le rappelle la question est futile et le débat proposé n'a pas d'intérêt.
La question clé c'est comment chacun peut réussir SON PROPRE PARCOURS, en prépa ou ailleurs.
D'ailleurs, je vais étayer mon propos pour l'histoire du français/des sciences. Parce que si le poids des matières littéraires n'est pas prépondérant, il n'est pas non plus négligeable.
Je prends donc les coefficients des épreuves en MP (filière la plus orientée maths, dans d'autres filières la physique compte plus que les maths) à Centrale-Supélec (concours pris au hasard, car c'était la référence dans ma prépa, on peut refaire le calcul avec les autres), en me basant sur Centrale Paris :
Écrits :
- Maths 1 : 17
- Maths 2 : 17
- Physique-Chimie 1 : 11
- Physique-Chimie 2 : 11
- Option (SI/Informatique) : 10
- Français/Philosophie : 17
- Langue vivante : 11
- Informatique : 6.
Oraux :
- Maths 1 : 19
- Maths 2 : 19
- Physique-Chimie 1 : 13
- Physique-Chimie 2 : 13
- TP Physique-Chimie : 12
- TIPE (donc le TPE version prépa) : 11
- Langue vivante : 13.
On peut faire quelques remarques :
- La première qui va à l'avantage des lettres, c'est que le français/philo coûte cher pour l'admissibilité. On peut noter qu'il a tout de même une importance ;
- On remarque quand même que le bloc scientifique coûte très cher.
Si je faisais un bilan en pourcentage :
- Mathématiques : 36%
- Physique-Chimie : 30%
- Langue vivante : 12%
- Français/Philosophie : 8.5%
- TIPE : 5.5%
- Option : 5%
- Informatique : 3%.
On a donc un bloc littéraire de 20.5%, pour environ 15% du temps consacré. De plus, il considère plus de poids à la LV qu'au français/philo (ce qui est, à mon avis, quelque chose de bien). Donc le ratio coefficients/temps_consacré est plutôt avantageux aux épreuves littéraires, c'est pourquoi on dit de songer à travailler les matières littéraires en prépa. Néanmoins, c'est bien les sciences qui sont prépondérantes, les matières littéraires servent d'arbitres lorsque des élèves ont des niveaux plus ou moins égaux.
Peut-être que le bloc littéraire compte un peu plus pour d'autres concours, mais cet exemple vous permet d'avoir un peu de recul concernant l'importance des sciences et des lettres en prépa.
Si on veut aller un peu plus loin dans la comparaison, il serait de bon de multiplier les coefficients par l'écart-type obtenu pour chaque épreuve, cela permettrait de savoir dans quelle mesure chaque épreuve est discriminante. Je n'ai pas cherché à le faire plus que ça.
Néanmoins, il me semble de tête que les épreuves scientifiques et littéraires sont globalement aussi discriminantes les unes que les autres.
Malheureusement, cela dépend des années et des concours... C'est pour quoi je ne l'ai pas fait. De toutes manières, c'est un concours, on peut effectuer n'importe quelle transformation que l'on souhaite dans la notation afin d'en augmenter/diminuer l'écart-type.
Pour mon école, c'était 70% maths, 15% philo et 15% anglais (pas d'autre choix de LV qu'anglais). Finalement, les notes de philo et d'anglais s'étiraient entre 5 et 12 tandis que celles de maths s'étiraient (littéralement) entre 0 et 20. Donc les maths comptaient vraiment plus dans le classement final. Du coup, j'ai pu avoir de bonnes notes en maths (car peu avaient plus de 10 d'ailleurs, la moyenne devait être de 6.5 environ, j'ai pu me débrouiller pour avoir 13 à titre perso), les notes en anglais et en philo (9 et 9) étaient moyennes et ça m'a pas empêché d'intégrer avec un classement honorable, car la seule matière qui était vraiment discriminante était les maths. Le reste, c'était juste pour voir si on savait plus ou moins s'exprimer et se débrouiller en anglais...
Bonjour
Comme disait Brassens :
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