Bonjour
Je suis en train de faire l'exposé 18 du CAPES intitulé: Interprétation géométrique des applications de C dans C définies par z -> z + b, z -> az, z -> zbarre, où a et b appartiennent à C, a non nul. Exemples d'application à l'étude de configurations géométriques du plan.
Et je voulais avoir votre avis sur le fait suivant: est ce une bonne idée dans les applications de dire (et donc de démontrer) que si f(z)=az+b, alors f est une similitude de centre A=b/(1-a), de rapport valeur absolue de a et d'angle arg (a)?
c'est sur! mais encore une fois je trouve que c'est toujours les mêmes applications qui reviennent!
Pour caractériser z'=az, tu as parlé de similitude? ou tu as dit que c'était la composé d'une homothétie et d'une rotation?
Parce que si on parle de similitude a cet endroit là, il faut mettre "similitude" dans les prè requis non?
Et dans ce cas là, l'application que j'ai dit dans mon premier post ne sert plus à rien puisque c'est un près requis!
tu considères que les similitudes c'est en pré requis?
(pour être franc, je risque de faire la même...!!!)
non la leçon sur les angles je l'ai pas regardé. Elle est dure ou quoi?!
Oui mais dans Mercier, pour l'application z'=az, il dit que c'est une similitude, ce qui suppose que l'on sait déjà ce que sait non?
C'est ça qui me chagrine un peu!
que c'est la composée de l'homothétie de centre 0 et de rapport module de a avec la rotation de centre 0 et d'angle arg (a)
ouais mais t'emploie pas le mot interdit!
non mais en fait ouais!
Alors la leçon sur les angles orientés?dur?
mais lol!!!
Je te l'avais dit que cette leçon je la sentais pas!!!!!
je l'avais garder pour demain aprem mais à mon avis.... elle va passer à la trappe!
Je up ce post pour une question dans le meme ordre d'idée
Je prépare la leçon et j'en suis à prouver que l'application qui à z associe az est une similitude de rapport module de a, d'angle arg (a) [2pi].
Le souci dans pas mal de leçons que j'ai lues, c'est qu'on aboutit au fait qu'on obtient une composée d'homothétie et de rotation et là les auteurs concluent : on a donc une similitude de rapport etc...
Mon souci c'est que pour montrer qu'une similitude est la composée d'une rotation et d'une homothétie, dans toutes les démos que j'ai vues, on utilise l'écriture complexe d'une similitude... en gros ce que je souhaite prouver...
C'est le serpent qui se mord la queue en fait...
Du coup quelqu'un sait comment contourner le problème ?
Autre question si on emploie effectivement le mot " similitude ", on doit le mettre en prérequis, mais on met quoi précisément en prérequis ? La définition ? L'écriture complexe ? Et donc effectivement du coup plus rien à prouver...
Salut,
c'est justement la leçon que je viens de préparer.
Perso, j'ai mis la définition de similitude en prérequis. Comme def de similitude, j'ai pris : s est la similitude de centre O d'angle et de rapport k ssi, pour s(M)=M' on a OM'=k*OM et angle(OM,OM')=
Alors, la démo est immédiate quand on passe aux affixes
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