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pour toutes les deux qui cherchez encore, le fameux 49.3 ( chouette, j'ai pu le placer 
) :
Indice_49.3 : "Mon premier en trois lettres" est une expression
Je ne peux être plus clair ( bien que je vous l'avais déjà dit à toutes les 3 en blanqué )
Est-ce que tu pourrais simplement me dire (même en blanqué 
) les indices trouvés ?
Si ce n'est pas trop demander
Estelle 
La récap' pour _Estelle_
Mon premier en trois lettres est une expression : pas (trouvé et justifié)
En Bretagne, mon second refuse de ne piper mot : pas (trouvé et justifié)
Mon troisième est commun à d'Artagnan et Lagardère : trouvé par smil
Cliquez pour afficherMon quatrième à lui tout seul est déjà beaucoup : trouvé par lafol
Cliquez pour afficherMon TOUT est un mathématicien qui a sa rue dans le 14ème arrondissement de Paris : trouvé par toutes/tous
Indice_49.1 : mon second demande une certaine hauteur pour le lâcher
Indice_49.2 : en gâtinais, mon second est une mouche
Indice_49.3 : "Mon premier en trois lettres" est une expression
et les autre indices , j'ai lu les blankés effectivement, moomin, je suis contraint de trouver des définitions pour que GNEPTA car vous googlellez trop bien ( comme y disent )
et pourtant, GEMA m'a permis de l'élaborer (sauf le 2°, tiré un peu par les cheveux)
Je retourne sur terre, un instant
bon ben, elle a assez duré, hein ?
Mon premier en trois lettres est une expression : SOT
trouvé par smil : sot en trois lettres signifie "vraiment très sot !"
En Bretagne, mon second refuse de ne piper mot : PHI
pas trouvé; PHI, car PHI nie se taire : finistère, département breton
Mon troisième est commun à d'Artagnan et Lagardère : GERS
trouvé par smil : c'est le département de naissance de ces deux personnes (Jean-Luc pour le second)
Mon quatrième à lui tout seul est déjà beaucoup : MAINT
trouvé par lafol : maint signifie "un grand nombre de"
Mon TOUT est un mathématicien qui a sa rue dans le 14ème arrondissement de Paris : SOPHIE GERMAIN
trouvé par toutes/tous : Marie-Sophie Germain ( 1776 - 1831 ) est une mathématicienne française qui participa à la résolution du grand théorème de Fermat.
Sa rue de 116 m est au sud de Paris, près du carrefour d'Alésia, dans le 14° arrondissement.
Je ne résiste pas à citer un passage historique sur les liens épistolaires de Sophie Germain et de Gauss (issu de wiki) :
Dans le cadre de l'étude du grand théorème de Fermat, Sophie Germain, se faisant passer pour un homme (M. Le Blanc), entretient une correspondance avec K.F. Gauss.
En 1806, Napoléon envahit la ville natale de Gauss, en Prusse; Sophie Germain, craignant alors pour la vie de Gauss demande à ce que l'on veille à sa sécurité; à cette occasion, elle lui écrit pour lui avouer qu'elle est une femme, ce à quoi il répondit :
Comment vous décrire mon admiration et mon étonnement de voir mon estimé correspondant Monsieur Le Blanc se transformer en ce fameux personnage qui me donne un brillant exemple de ce que j'aurais du mal à croire. Le goût des sciences abstraites en général et plus particulièrement des mystères des nombres est extrêmement rare. Les charmes de cette sublime science ne se révèlent qu'à ceux qui ont le courage de l'explorer en profondeur. Mais quand une personne du sexe qui, du fait de nos coutumes et préjugés, doit surmonter plus de difficultés que les hommes pour se familiariser avec ces épineuses questions, réussit néanmoins à dépasser ces obstacles et à appréhender leur partie la plus obscure, alors elle doit sans aucun doute posséder un noble courage, des talents extraordinaires et un esprit supérieur. De fait, rien de plus flatteur et moins équivoque, que la prédilection avec laquelle vous avez honoré cette science, qui a enrichi ma vie de tant de joie, ne pourrait me montrer que ses attraits ne sont pas chimériques.
Je crois savoir que certaines mathîliennes apprécieront
Merci pour votre participation
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