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Le baccalauréat.
Bonjour.
Un article du Figaro abondamment commenté sur le niveau de difficulté (ou de facilité) du baccalauréat :
Salut,
Un article qui commence par : "Chaque année, c'est la même chose: qui dit baccalauréat dit polémiques." et qui y met sa couche perso hyper lourdingue de polémique à deux balles...
Tristesse.
Bonjour,
Je ne souhaite pas passer mon temps à la polémique.
J'aimerais par contre connaître les beaux problèmes proposés;
par beaux j'entends bien écrits ,bien construits et laissant
une place à l' obsevation et à l'imagination ,
Amicalement,
Alain
salut
je pense qu'il résume assez bien la situation malheureuse du bac actuel dans cette société consumériste dans laquelle :: "j'ai (fais semblant/un peu/beaucoup/... * biffer la mention correspondant à votre situation * , je passe mon bac .... donc je dois l'avoir ...." et donc 90% l'auront ....
sauf que cette année il fallait réfléchir, penser des math, pas les réciter ... et patatrac ....
salut
je pense qu'il résume assez bien la situation malheureuse du bac actuel dans cette société consumériste dans laquelle :: "j'ai (fais semblant/un peu/beaucoup/... * biffer la mention correspondant à votre situation * travailler , je passe mon bac .... donc je dois l'avoir ...." et donc 90% l'auront ....
car ::
on ne va pas à l'école pour apprendre
on ne va pas à l'école pour apprendre à travailler
on ne va pas à l'école pour penser
on ne va pas à l'école pour ...
on va à l'école pour avoir son bac !!!
sauf que cette année il fallait réfléchir, penser des math, pas les réciter ... et patatrac ....
Bonjour,
Je te conseille de botter en touche.
Je ne désespère pas;certains nous feront connaître de
beaux problèmes d'examen(s).
Alain
Bon.
Donc, l'estimable rédacteur de l'article en question affirme :
Le bac S est passé par 176 730 élèves cette année. Les protestataires représentent, en gros, un peu moins du tiers de ce total. C'est dire que près de 50 000 élèves de terminale S n'avaient rien à faire dans une filière censée ouvrir sur des études scientifiques.
Pourquoi ? Allons donc, l' Auteur ne va pas s'abaisser à développer, c'est tellement évident.
Les analyses qu'a fait comax ici :
Sujets du BAC S 2014 - Métropole sont pourtant on ne peut plus pertinentes...
De toutes façons, ce même journaliste précise en fin d'article :
rassurons les 40 000 feignasses protestataires et leurs parents : vous aurez le bac
Au fait, juste pour dire, ils étaient 50 000 en début d'article, et 40 000 en fin.
Vous n'auriez pas un compte à régler avec les mathématiques, Monsieur Brighelli ?
Bonjour,
Décidément, tu ne veux pas suivre mon conseil de botter
en touche?
Je suis allé à l'école moins longtemps que toi,
donc j'ai effectué un séjour plus court dans la fabrique,qu'en déduis-tu?
Alain
heureusement ...
quel est ton problème ?A part ces réponses d'humeur, vous en pensez quoi de ce sujet ?
Sachant que je suis retraité depuis 10 ans, que je n'ai pas enseigné en terminale S depuis plus de 20 ans, que je n'ai fait que survoler ce sujet, je vois des exercices assez classiques, avec même une gentille question de cours vers la fin. Seule chose qui m'apparaît nouvelle par rapport à quelques dizaines d'années en arrière, l'accent mis sur les probabilités et une présentation de cet exercice de type problème lié au concret. L'influence d'universitaires défendant depuis plusieurs années une place importante pour les probabilités me paraît claire, mais, pour les raisons ci-dessus, j'ai du mal à réaliser si un tel exercice a pu déstabiliser les candidats ou s'il y sont suffisamment préparés.
Cordialement.
J'ai enseigné pendant plus de 10 ans les statistiques inférentielles en post-bac; ce qui est demandé aux élèves de TS est d'apprendre par coeur 2 résultats; un avec 1,96, l'autre avec 2,58; si 
(t) désigne la fonction de répartition de la loi normale, on ne leur apprend même pas que P(-t<X<t)=2(t)-1, puisque la calculatrice ne donne pas -1(z); donc le programme de probabilité est nul (pas l'ombre d'un exo de combinatoire); la loi normale n'est jamais utilisée quand à la loi exponentielle, elle ne sort jamais, puisqu'il faudrait déterminer une primitive (trop dur!); pour le reste, on doit utiliser un arbre, ce que l'on faisait en T°ES depuis longtemps et qui peut déboucher sur un calcul de probabilité conditionnel qui peut être gênant si on ne maîtrise pas le français! Je ne parlerais même pas de la loi binomiale qui est toujours évidente (il n'y a pas d'autres lois discrètes au programme) et où on peut toujours répondre avec la calculatrice.
Moralité: le programme de probabilités ne demande aucune activité mathématiques.
Quant au reste, il n'y a rien! Il suffit de reprendre un problème des années 70-80 pour se rendre compte qu'un élève de TS ne fait plus de maths! Que va-t'il faire dans le supérieur??
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