L'application peut être surjective si mais pas forcément. L'application est surjective si et seulement si elle est bijective.
Par contre, si il y a plus d"éléments dans l'ensemble d'arrivée que dans l'ensemble de départ donc n'est pas surjective.
Mais je ne vois pas quoi en faire.
En effet, j'ai fait n'importe quoi.
Du coup : où
Mais je vois pas quoi en faire de cette application.
D'où sort cet encadrement de ? (là c'est une vraie question, pas cynique, j'ai peut-être zappé ça dans votre énoncé mais j'ai un peu la flemme de tout relire.)
Pour mémoire :
Bien sûr… il s'agit justement de faire une disjonction de cas… : soit elle est surjective, soit elle ne l'est pas...
Faudrait quand même pas perdre de vue l'objectif.
Vous êtes en train de discuter du nombre de manières de construire une application surjective de vers . On vous dit de considérer la restriction d'une telle application à . Soit cette restriction est surjective, auquel cas quels choix a-t-on ? soit elle ne l'est pas, auquel cas quels choix-t-on ? Ce qui donne .
Pour tout k entier > 0 on pose Ek = [|1 , k |] .
Si n et p sont des entiers > on note Sur(n,p) l'ensemble des applications surjectives de En sur Ep) et S(n,p) son cardinal .
On a : S(n,p) = 0 si n < p , S(n , n) = n! et S(n,1) = 1 .
Supposons n > p > 1 .
Pour fabriquer un élément f de Sur(n,p) on peut se donner
..une partie A de En ayant p éléments
..une injection u de A vers Ep
..une application v de En \ A vers Ep
et poser f(x) = u(x) si x A et f(x) = v(x) si x A . Cette f peut être notée fA,u,v
Ceci fait donc intervenir
.. l'ensemble U := Pp(En) des parties de En ayant p éléments dont le cardinal est C(n,p)
..pour chaque A de U ,
.. l'ensemble V(A) des injections de A dans Ep dont le cardinal est p!
..l'ensemble W(A) des applications de En \ A vers Ep dont le cardinal est pn-p
Le procédé de fabrication de fa,u,v fournit donc une application F de l'ensemble X := { (A,u,v) │ …} vers Sur(n,p) F : (A,u,v) fA,u,v
Cette application F est bijective de X sur Sur(n,p) .
On a donc Card(X) = S(n,p) .
Comme pour chaque A , l'ensemble U(A) V(A) possède p!pn-p éléments , nombre indépendant de A dans Pp(En) on a : Card(X) = C(n,p)p!pn-p
Donc si je comprends bien, à l'issue de cette démonstration imbuvable dont on ne sait même pas le but, on déduit en particulier que s(n,2) vaut , ce qui est grossièrement faux. Il doit donc y avoir une erreur quelque part.
Je ne vois pas où est l'erreur dans ce qui suit :
Dans E = [|1 , n|] on choisit une partie A à 2 éléments .Il y en a n(n - 1)/2 .
A étant choisi on fabrique (u , v) où
u est une bijection de A sur {1 , 2} (2 possibilités )
v est une application de E \ A vers {1 , 2} ( 2n-2 possibilités )
Il y a donc 2n-1 choix pour (u,v) .
Donc S(n , 2) = n(n - 1)2n-2 .
On regarde comment construire une surjection de vers … et on se sert de cette restriction !
je peux difficilement en dire davantage sans répondre à la question à votre place
(mais je suis disposé à le faire si vous bloquez vraiment, parce que cela fait un moment que vous cherchez il semble)
Soit surjective.
Soit :
Si est surjective, il y a manières de la choisir, puis laisse choix.
Sinon,
doit être surjective, ce qui laisse choix, puis de même il y a choix pour .
Par le partitionnement précédent il vient :
Honnêtement ça va trop vite pour moi, j'ai rien compris
Je comprends pas déjà pour comment vous faites pour dénombrer les applications surjectives et comment vous obtenez
Je comprends pas à quoi correspond votre
Je comprends pas le lien entre et
Je comprends pas le partitionnement
On fait tout ça pour poser :
si est surjective, et
si elle ne l'est pas.
Il y a donc choix pour et ensuite il reste à voir selon ... tout est écrit plus haut.
Le partitionnement c'est ou bien est surjective, ou bien elle ne l'est pas. J'essaie de vous inspirer cela depuis une bonne dizaine de messages...
(j'identifie et à et bien sûr, sinon on donne des noms aux éléments, c'est la même chose)
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