Bonjour ,

une première remarque : tu t'exprimes plutôt bien ce qui n'est pas toujours au rendez-vous de nos jours .
Tu ne parles pas de tes notes en français , histoire et géographie .
Dans tous les cas , les mieux placés pour te conseiller sont tes enseignants .

Cependant , si tu travailles beaucoup sans en retirer des résultats notables , c'est peut-être un problème d'organisation . Il faut se concentrer sur l'essentiel , les méthodes , les formules et théorèmes . Faire des fiches peut aider à rassembler l'essentiel sur un sujet .

Si malgré tout ça ne marche pas , il faut se dire qu'il y a pas mal de possibilités où les math sont moins demandées . Mais ce n'est pas une raison pour baisser les bras car l'effort paie toujours en ce sens qu'il en reste toujours quelque chose .

Penser aussi (comme le disait J. Attali) que si on ne vise pas l'impossible on n'aura même pas le possible .

Bon courage
Cordialement

Bonjour, Merci d'avoir répondu.
Pour ce qui concerne mes notes que je n'ai pas mentionnées, Français: 16 et Histoire&Géo: 14,5. Mais quel rapport utile à savoir ça?
Problème d'organisation? Les profs nous donnent environ 1 semaine pour réviser un DS. Je revois les exos faits en classe, et j'ai aussi un certain bouquin qui me permet de trouver des exerces supplémentaires.
Mais je me pose la question, à partir du moment où les notes sont de 12/13, puis-je dire que le efforts commencent à porter leurs fruits? A noter, que la meilleure moyenne de la classe en Maths est de 14.
Je ne demande pas un niveau extraordinaire, je suis plus intéressée par la Physique chimie toutefois, je continue d'apprécier les Maths et  j'ai besoin d'un niveau convenable car la Physique chimie et les Maths sont liées. Vouloir c'est pouvoir, non? C'est que je me dis pour m'encourager. Mais vraiment, merci pour tout ces bons conseils.

Je me doutais que tes notes de français , histoire et géo devaient être plutôt bonnes . Cela peut t'aider à compenser des matières où elles sont moins bonnes .
En plus , il ne faut pas trop se focaliser sur les notes que tu devrais pouvoir améliorer en essayant de prendre une leçon d'avance de temps en temps .
Comme je perçois en toi une bonne motivation , je t'encourage à persévérer car la motivation est très importante pour réussir .
Bonne continuation

Bonjour,

Ce que tu ne nous donnes pas dans tes messages, c'est la ou les raison(s) principale(s) qui te pousse(nt) à faire une 1ère S. Avant d'aller plus loin, je souhaiterais comprendre pourquoi une S ? Est-ce que tu as un métier particulier en vue, est-ce que tu as un entourage (cercle familial, profs, amis) qui fait pression à ce sujet, ou est-ce simplement parce que tu es attirée par le côté logique et structuré des mathématiques ?

Les notes que tu nous donnes me semblent un peu light. Faut aussi voir par rapport au niveau de ta classe, je ne le connais pas. Les moyennes aujourd'hui, je ne sais plus vraiment ce que ça représente. La 1ère S, de ma modeste expérience, c'est un véritable tournant scolaire. Les maths qu'on y voit n'ont plus grand-chose à voir avec celles de la Seconde. Le travail demandé est beaucoup plus important. Je pense que tu en es consciente.

De ce que j'ai lu, tu fais preuve de pugnacité et d'abnégation. Tu en parles comme de « réels freins ». Je trouve que ce sont plutôt des grandes qualités. Alors certes, quand on a un état d'esprit comme celui-là, je comprends que ça peut être frustrant de ne pas obtenir les résultats espérés. Ce n'est pas pour autant qu'il faut considérer cela comme un échec. Le plus important, c'est d'apprendre de ses erreurs, d'analyser ce qui n'a pas marché, pour ne pas reproduire les mêmes fautes. Si tu arrives à haïr le fait de faire deux fois la même erreur, tu progresseras. Je ne te dis pas qu'il faut être abattu si ça arrive, au contraire, ça devra te pousser à refaire un tour dans tes leçons et à l'enregistrer pour de bon.

La confiance viendra quand tu prendras conscience de tes qualités, que tu les mettras en avant et que tu n'en parleras plus comme des défauts.

Je lis aussi que tu fais beaucoup d'exercices. Peut-être trop ? Est-ce qu'avant d'attaquer ces exercices supplémentaires, tu saisis déjà l'intégralité des exercices (et de leur subtilités) donnés par ton prof ? Le moindre doute doit être levé avant le DS, n'hésite pas à demander à ton prof ou venir sur l'île pour t'assurer que tu as TOUT bien compris. Une fois ces exercices maîtrisés, tu pourras éventuellement en chercher d'autres.

Tu te questionnes sur les résultats des efforts que tu fournis. Je ne suis pas certain que les notes soient le meilleur moyen de juger les efforts. C'est forcément ce qu'on regarde en premier, mais personnellement, il y a de très bonnes notes qui ne m'ont fait ni chaud ni froid, et des 14 qui m'ont fait afficher un grand sourire. Ce qui compte, c'est ce que tu comprends, ce sont les mécanismes de réflexion que tu assimiles et qui t'aideront par la suite.

Je dois dire que ton rapport aux maths est assez intriguant, un mélange d'admiration et de défiance. Intéressant !

Je comprends tes angoisses (le mot est peut-être un peu fort, en tout cas, c'est ce qui transparaît dans tes messages), mais je crois que tu as certaines qualités pour relever les défis que te lancent les maths. Cela dit, attention à ne pas te donner des objectifs trop hauts. D'un côté, ça te donne une cible et donc une motivation supplémentaire, mais d'un autre côté, ça peut te mettre beaucoup trop de pression et t'empêcher d'avancer sereinement.

Bonsoir,
Oui tout à fait, le fait que je m'en sorte bien dans les autres matières (sauf en sport) me soulage pas mal.
La raison pour laquelle je suis attirée par le domaine Scientifique est que je ressens quelque chose de particulier dans celui-ci par rapport aux autres domaines. C'est le domaine où je prends plus plaisir à "me casser la tête". Je trouve ce domaine tellement époustouflant et merveilleux, tellement rempli de défis. Je vois mieux la logique des choses dans le domaine Scientifique que les autres. C'est en quelque sorte une aventure pour moi, un coup c'est admiratif, frustrant, blessant, énervant mais cela peut être tout autant réconfortant, réjouissant, et "savoureux". Je ne saurais pas vraiment expliquer précisément. Bizarrement, même si mon cerveau en souffre, mon esprit en pleure, je suis obstinée de ne pas lâcher les Maths. Car j'éprouve un réel et profond plaisir de réussir des défis Mathématiques, même si cela ne m'arrive que rarement. Quant à la Physique Chimie qui étudie ce qui nous entoure, qui fait appel à une autre Science qui est les Maths. D'ailleurs qui nous prouve très explicitement que les Maths sont très utiles pour expliquer des faits, des certitudes. Elle étudie ce qui nous entoure dans les moindres détails, pleins de petits détails qui donnent de merveilleuses choses, de l'infiniment petit à l'infiniment grand, alors je me dis qu'on ne cessera de découvrir d'autres phénomènes des choses qui nous entourent. Ainsi que la SVT qui nous fait énormément apprendre sur notre humanité, notre nature, ça ne finira jamais de m'étonner et de me faire comprendre des choses que je n'aurais jamais pu imaginer. Je m'emballe vite... mais tout ça pour dire que cette sorte de "combat" avec les Maths, mouvemente mon esprit, elle ne cessera de me faire briller les yeux, oui je dis bien briller les yeux, de m'impressionner et de me faire souffrir, pleurer.
Sur ce coup là, lorsque je parle de tout ça à mon entourage, on ne me comprend pas. Ou même j'ai l'air de les dégouter avec mon soi disant "délire".
Ensuite oui, je peux pas le nier, mes parents connaissent beaucoup d'étudiants qui ont obtenu le bac Scientifique haut la main, avec de bonnes mentions, alors ils "se disent" que je peux le faire moi aussi. Ils m'encouragent à prendre cette filière, car elle m'ouvrira plus de portes vers l'avenir etc... Mais moi, je me pose réellement des questions, je ne veux pas foncer la tête baissée, sans savoir ce qui m'attends, ce que je vais pouvoir faire.

Ma classe est plutôt hétérogène, un classique de seconde je pense. Il y a peu d'élèves qui se donnent dans leur travail, mais ce sont de bons élèves dotés de solides capacités. Ça me fait assez mal au cœur d'ailleurs de les voir réussir en Maths si facilement par rapport à moi. Le prof a avoué que ses DS étaient légèrement de trop haut niveau pour une classe de seconde. Il affirme donc, se requestionner sur lui même.

Alors finalement, vous pensez qu'avec le fait d'être purement perfectionniste par exemple peut en fin de compte être une qualité pour mon parcours? Avez-vous un exemple simple si possible?
La confiance ne viendra que lorsque j'aurai vu en face mes qualités, certes, mais j'ai une très très grosse tendance à me sous-estimer, pour de bon. Cela complique encore plus la tâche.

Donc si j'ai bien compris par rapport aux efforts, c'est qu'il faut que je me réjouisse non pas forcément pour les notes mais surtout de ce que les différentes expériences, bonnes ou mauvaises m'apportent? Afin de pouvoir se lancer plus haut progressivement au fil du temps?

Pour les exos, je pense que je pousse loin trop vite. Dans le sens que je n'acquis pas forcément ce qui est important/basique et je pousse déjà plus loin. Du coup, comme les exos plus poussés nécessitent les mécanismes vus avant, ça devient plus compliqué et même parfois quasi impossible à réaliser. Probablement.
Il est vrai que la note est importante mais ce n'est pas le meilleur moyen. Je devrais, je pense, apprendre à me réjouir des choses que j'apprends à faire même si la note n'est pas bonne. Ça serait alors vachement plus encourageant!

Mon rapport aux Maths qui est un mélange d'admiration et de défiance? D'admiration je suis tout à fait d'accord, mais défiance je ne saisis pas du tout...

Qu'est ce qui vous montre exactement que je possède certaines grandes qualités pour relever les défis Mathématiques?
Et non, je ne veux pas regarder les autres et faire comme ceux qui ont des défis bien poussés.
Ce que je veux réellement moi, c'est avoir mon propre parcours, mes propres ambitions, ma propre progression, ma propre histoire avec les Sciences.

Merci de prendre le temps de me lire, et de construire des réponses biens pensées et solides. Pardonnez mes gros pavés...

Bonjour,
On en sait un peu plus maintenant !

Je parlais de défiance dans le sens où tu sais que les maths ne vont pas t'épargner. Toi-même tu parles de combat, de cassage de tête, de souffrance, etc. J'ai l'impression que tu te méfies d'elles et des obstacles qu'elles mettent sur ton chemin. Or, les maths ne sont qu'un outil pour solutionner des problèmes, ce ne sont pas des obstacles.

La question est de savoir si tu seras capable de te donner encore plus de mal à résoudre des problèmes dans des classes de niveau supérieur. Si comme je le comprends, tu passes déjà beaucoup de temps à travailler tes maths en 2nde, il va falloir assumer de travailler encore bien plus en 1ère et Terminale, tout en ne négligeant pas les autres matières. La charge de travail n'est pas du tout la même. Attention, je ne dis pas ça pour te décourager ! Simplement et objectivement, tout se complique en 1ère. Ne te connaissant pas suffisamment bien, je ne peux pas dire avec certitude que telle ou telle voie te conviendra mieux. Il faut juste prendre tous les aspects en compte.

Tes parents te parlent des nombreuses portes vers l'avenir qui s'ouvriront avec un Bac S. C'est une généralisation bien vaste ! Il y a tellement de corps de métier différents, les débouchés ne sont pas les mêmes partout.

Il y a une filière dans la plupart des facultés de Sciences qui s'appelle MASS (Maths Appliquées aux Sciences Sociales), ouverte en général aux S et aux ES qui je crois est un bon compromis pour les personnes de ton profil. Les problématiques abordées semblent se rapprocher de celles que tu aimes. N'hésite pas à aller voir sur Internet ce qui se cache derrière ces 4 lettres ! Et questionne tes professeurs si  ça t'intéresse.

Pour en revenir aux perfectionnistes, ils font partie de ceux qui bossent le plus pour obtenir ce qu'ils souhaitent. Comme je te l'ai déjà dit, c'est une grande qualité. Tu as des gens qui comprennent les choses vite, mais qui ne sont pas travailleurs. Ils ont en général de bons résultats mais quand on passe à l'étage supérieur et qu'il s'agit de vraiment travailler, ça se complique pour eux. Une personne perfectionniste n'abandonnera pas tant qu'elle n'est pas satisfaite, et sa résistance aux efforts est plus importante. Ne rien lâcher, ça te servira tout au long de tes études, et même au-delà. Et si tu saisis ça dès le lycée, c'est tout bénef !

Le problème de confiance en toi ne se règlera pas en appuyant sur un bouton, c'est un mécanisme qui peut prendre du temps ! Là encore, c'est difficile d'en dire plus car je ne te connais pas. Il y a tellement de facteurs qui jouent. En tout cas, de ces quelques messages, je vois une personne qui a de très bonnes qualités d'expression, un niveau correct dans la plupart des matières, de l'obstination, un prof de maths qui malgré des exos difficiles a écrit sur ton bulletin que tes efforts portent leurs fruits. C'est encourageant tout ça ! Ça doit t'aider à prendre confiance. Au cours de ta vie, tu rencontreras toujours des gens pour te dire que telle ou telle chose n'est pas suffisamment bien faite, mais ça ne doit pas te décourager.

Les efforts, ça doit se ressentir à l'intérieur. Si tu es intimement convaincue que tu as bossé comme il fallait, que tu maîtrises ton sujet, alors tu seras satisfaite et la bonne note devrait suivre. Tu le dis toi-même, tu pousses les exos trop loin trop vite. Prends le temps, même sur des petits exos, d'analyser ce qui est demandé. Quels sont les savoirs dont j'ai besoin pour résoudre cet exercice ? Quels sont les pièges à éviter ? Pourquoi est-ce que je me suis trompée ? Comment éviter de me tromper à nouveau ?

Ce n'est que mon avis, mais apprendre un théorème par cœur pour le recopier en contrôle et avoir une bonne note, ça n'a jamais été mon truc. Je préfère de loin comprendre ce qui se cache derrière ce que je suis censé apprendre, et de ce fait, je suis convaincu que ça sera plus facile de retenir si je comprends ce que j'écris.

Ta persévérance, tes efforts, ton envie de progresser, ton intérêt pour les matières scientifiques, le fait que tu cherches ici des réponses à tes questions, ton côté structuré qui se dégage de ce que tu écris, me laissent penser que tu as les qualités pour y arriver.

De tes messages, je ressens une énorme pression scolaire qui pèse sur tes épaules. Tu exprimes beaucoup de choses, tu emploies des mots forts. Ça peut être bien de parler de tout ça à un proche, ou une infirmière scolaire qui peuvent également te conseiller sur certains points.

Bonsoir,
oui effectivement vous avez raison sur la défiance. Je pense qu'il serait mieux pour moi de changer ma vision sur les Maths par rapport à ça. Si je continue de penser régulièrement que les Maths sont dures, que ce sont des obstacles, je vais finir je crois, par perdre le plaisir de pratiquer les Maths. Je devrais considérer les défis Mathématiques comme des étapes essentielles qui vont me permettre d'apprendre, beaucoup apprendre, pour ainsi rebondir et voler plus haut, plus loin. Qu'en dites-vous?

Parfois je me sens capable de fournir plus d'efforts pour la filière Scientifique mais parfois non. Mes parents affirment que je peux m'en sortir, selon d'après eux, leur instinct maternel. Ils me comparent avec ma grande-sœur qui a passé le cap, et trouvent que j'ai une meilleure façon de raisonner,  une réflexion plus rapide. Récemment, j'ai eu l'idée d'aller retourner voir mon ancien prof de Maths pour lui demander ce qu'il en pense. Car c'est un bon prof, et j'ai eu la chance de l'avoir durant plusieurs années, alors il devrait pouvoir m'apporter un petit quelque chose, du moins c'est ce que j'espère. Mais encore faut-il attendre la rentrée, et encore, un jour où je pourrai le voir. M'enfin, je finirai pas le revoir.

Merci d'avoir partagé l'information sur la filière MASS! Je prends note, et peut-être il se peut que je découvre diverses choses qui m'intéresseront encore plus. Enfin, honnêtement quand je vois Sciences sociales, je repense à mes cours de SES, et ce n'est pas ce qui me plaît... Enfin, des préjugés ne m'apportent rien!

Maintenant que je repense à mes années passées, je n'avais vraiment pas du goût aux Maths. Je n'étais même pas capable de résoudre une simple équation!
Mais eut un temps où j'ai commencé à m'investir, et donc le début était très dur. J'ai tout de même persévéré, et je me rends compte que tout ces efforts persévérants ont fini par beaucoup payé. Mon professeur était époustouflé de mes progrès et de me voir utiliser si facilement les outils Mathématiques. Mais bon... le collège n'est pas grand chose par rapport au lycée. Enfin surtout, il m'arrive de voir des gens qui sont très doués mais le moindre échec, ils sont ensuite très découragés et veulent tout laisser. Je m'aperçois que mon côté perfectionniste fait que lorsque je songe à abandonner, je n'y arrive pas. Et finalement, vous avez bien raison. Être perfectionniste est pas mal bénéfique.

Ensuite, pour ma confiance en soi, je pense qu'en fin de compte je devrais mettre les côtés positifs que j'ai eu jusqu'à présent,  de mon côté. Cela me m'encouragera surtout à pousser ces petits signes positifs en de grandes choses. Si vous voyez ce que je veux dire...

Côté méthode de travail, je vais essayer d'avoir l'esprit moins agité et impatient de la réussite, mais plutôt avoir un esprit plus serein pour reprendre calmement les points précis qui ne vont pas.

Je suis tout à fait d'accord sur le fait qu'il vaut mieux comprendre, plutôt que "recracher" ce qu'on a mémorisé. J'ai d'ailleurs eu une bonne expérience motivante cette année. J'ai dû rattraper un cours, où ils avaient beaucoup exercé. Je ne comprenais strictement rien, mais vraiment rien. Je connaissais la façon dont il fallait faire, mais pas le pourquoi.
J'ai eu donc le courage de regarder les exercices selon un œil logique. J'ai cherché le réel sens des chiffres, des signes et des mots. Puis j'ai finis par comprendre parfaitement! Et même je dirais que je serai capable de pouvoir refaire les mêmes exos sans connaître les étapes à faire, tellement... ça me paraît logique à faire.

J'essaie de demander à mon entourage oui, mais on ne comprend pas vraiment pourquoi je considère tout ça comme une réelle angoisse.
Et franchement, c'est très gentil de votre part d'essayer de comprendre ce que je ressens.

Bien sûr, il faut essayer de piocher du positif partout où l'on peut. Mais plus que les réussites, ce sont les échecs qui te permettent de te construire, de te développer, et de savourer les victoires ! C'est pour que je pense qu'il ne faut pas les balayer, mais au contraire les regarder en face, pour se donner des pistes de réflexion et ainsi comprendre comment s'améliorer.

Tes parents te comparent avec ta grande sœur, c'est bien normal, mais chacune d'entre vous a sa personnalité, sa façon de grandir, sa façon de travailler. En te disant que tu as plus de capacités qu'elle (qui a déjà "passé le cap" comme tu dis), inconsciemment, ils te mettent une pression supplémentaire. Et je crois que tu n'as pas besoin de ça. Ta sœur, c'est ta sœur, et toi c'est toi. Tu travailles d'abord pour toi et je ne suis pas certain que les comparaisons apportent grand-chose.

Très bonne idée d'aller voir ton ancien prof de maths. Essaye en début d'année, ça te laissera plus de temps pour réfléchir à ta future orientation.

Concernant MASS, je ne connais pas plus que ça, et je n'ai jamais fait de SES de ma vie, donc je ne serai pas bon pour te conseiller. Simplement, jette un œil, sait-on jamais !

Sur ce, passe un bon réveillon !

Un tas de pensées positives devraient me permettre de m'encourager, de continuer jusqu'au bout et d'avoir le courage de regarder en face, comme vous dites, mes échecs.
Enfin vraiment, merci pour tout ces bons conseils, je garde tout ça en tête!
Effectivement oui, bon réveillon à vous aussi et pleins de bonnes choses pour l'année qui arrivent!

Bonjour,

Une seule observation:
Je suis très heureux qu'il existe des jeunes qui
s'expriment aussi bien que toi.

Bon réveillon et succès assurés en 2014!

Bonjour, je trouve ça gentil de votre part de partager cette observation! Je pense que lorsqu'on sent et voit qqch qui se ressort qui ne nous plaît pas, l'on devrait se dire qu'il existe aussi des cas différents, on ne peut donc pas se faire une généralité de façon précipitée. Mais là du coup, je préfère ne pas aller plus loin dans ce que je dis, car j'ai moi même du mal à cerner ce je veux dire. Et à ce moment-là, ça deviendra du HS, en tout cas, bon réveillon à vous aussi!

En grande partie oui, mais on ne me force pas non plus. Et bien heureusement d'ailleurs!
Mais je crois que je vais faire mes preuves lors de ce deuxième trimestre puis je verrai bien.