La plupart des élèves au collège/lycée on un apriori sur les maths. Arrivé en 4e - 3e ou lycée, ils ont déjà rencontré un tas de prof de maths qui soit leur ont fait aimé ou détesté les maths.
C'est donc très dur de rendre sa matière intéressante quand il y a un fort à priori. Et c'est pourtant le plus important: rendre les cours intéressant motive les élèves et les encourage à être actif en cours, les aidant à progresser de manière efficace.
Qu'est-ce qui fait que quelqu'un aime ou non les maths?
Il est facile d'imaginer des raisons pour ne pas aimer les maths:
>"C'est trop dur! Seuls les élèves doués y arrivent!"
>"Je n'y comprend rien!"
>"Les maths, ça ne sert à rien ... "
Mais pourquoi certaines personnes aiment-elles les maths? Peut être que ces personnes sont juste douées et n'ont donc eu aucune raisons de ne pas les aimer?
Personnellement, ce que j'aime dans les maths, c'est précisément qu'elles ne servent à rien.
Prenez n'importe quelle matière enseignée au collège-lycée: Français, SVT, Physique, Anglais, Art, Histoire....
Toutes ces matières ont une application concrète dans le monde réel.
Quand vous enseignez à des élèves ce qu'est l'ADN, comment chanter, ce qui s'est passé en 1945, ect .... Ils voient tout de suite de quoi vous parlez! Ils peuvent se raccrocher au monde réel et faire des liens. Ils voient à quoi cela sert. Ils peuvent savoir si ils sont intéressés ou non.
Mais quand vous enseignez ce qu'est une fonction, un ensemble, une division ... Tout ceci n'a absolument aucun rapport avec le monde réel.
Je pense que c'est là le plus gros blocage que les gens ont vis à vis des mathématiques. Vous leur expliquer ce qu'est une fonction, mais en même temps, une fonction ça n'existe pas vraiment. Ils ne voient alors pas pourquoi on leur explique cela. Et ça devient très dure d'être confiant dans les explications.
Ce blocage est compréhensible ... mais a-t-il vraiment lieu d'être?
Moi, justement, c'est ça pour ça que j'aime les maths. Il n'y a aucun lien avec la réalité. C'est un monde à part.
Les maths c'est un peu comme un jeux. Le cours vous définie les règles de ce jeux et, dans les exercices, vous appliquez les règles. Chaque exercice n'est qu'un petit jeux de l'esprit avec des règles très strictes.
Et, au lycée, après une longue journée de cours, j'avais ce cours de maths. Une heure de jeux après une longue journée d'enseignement.
N'est-ce pas formidable d'être enseigné un jeux à l'école?
Et vous, pourquoi aimez-vous les maths? Comment faites-vous pour que vos élèves aiment les maths?
J'ai du mal m'exprimer. Je ne dénie pas les applications que les maths ont.
Je dis simplement qu'elles ne m'intéressent pas. Je vois les maths comme un jeux et c'est ce qui fait que j'aime faire des maths.
Et, même si je sais qu'il existe, le lien qu'à les maths avec la réalité me dépasse complètement.
Je comprend le principe de modéliser un problème physique et de résoudre ce modèle avec les maths. Je comprend que faire cela donne des résultats utiles et expliquer plus ou moins ce qui se passe autour de nous.
Mais en faisant ça, je trouve qu'on perd tout lien avec la réalité. La physique peut être expliquée avec des mots, et c'est là qu'elle est intéressante pour moi.
Savoir comment un frigo marche est intéressant. Savoir calculer son rendement, je m'en contrefous.
Maintenant, si tu te met d'un point de vue d'un élève au collège-lycée, quelqu'un qui n'a pas un aussi grand background que toi vis à vis des applications des maths .... crois-tu vraiment qu'il arrive concrètement à relier la fonction exponentielle au monde réel?
Certains élèves font vraiment un blocage vis-à-vis de l'utilité des maths et ne peuvent pas travailler la matière à cause de cela.
Moi je n'ai jamais fait ce blocage parce que j'ai toujours pris les maths pour un jeux, et rien d'autre.
Bonjour,
"Aimer les mathématiques"
:quel amour,quelle(s) mathématiques?
"C'est un monde à part"
:attention,il existe nombre de découpages de la réalité une et les mots utilisés en maths
ne sont pas sans lien avec ceux employés dans la vie quotidienne.
Pour l'enseigné, l'important c'est la compréhension de la langue et celle-ci doit
s'observer dans la parole de l'élève et dans sa réception de tout énoncé ,
Alain
J'aime les maths car malgre le lein parfois infime avec une situation concrte, le fait qu'on se place dans des enesmbles de dimension n, qu'on joue avec les lettres je trouve au'il n'y a rien de plus fidele que les maths.
Un resultat est correct ou non. Pas de debat sur comment s'est deroule tel moment de l'histoire, sur l'interpretation d'une citation en francais. Pour moi les maths sont un langage universel.
Et puis je trouve ca un peu magique tout ce que l'on peut faire. Prenons cette somme etonnante: 1+2+3+4+5+6+.... = -1/12 (je vous invite a chercher la demo sur internet) et ce resultat a ete utilise en physique.
Les maths sont un art pour moi, et a ce stade difficile de dire tout ce que j'aime. (meme en prepa on me trouvait bizarre d'aimer tant les maths).
Du coup je suis forcement pas tres objective mais j'aime les maths.
Bonjour,
Je ne vois pas la nécessité de proclamer l'inutilité des mathématiques ou leur manque de lien avec le réel comme qualité première qui précisément ferait aimer cette discipline.
Je comprends bien cette idée : moi aussi j'aime faire des maths pour le pur plaisir et moi aussi je suis "joueur"... et je ne vois pas "l'utilité" et le "lien" comme des nécessités permanentes quand on fait des mathématiques...
Mais je trouve très triste (pour ne pas dire consternant) de balayer d'un revers indifférent la fabuleuse connexité entre la production mentale que sont les mathématiques et le monde réel. Lorsque j'ai découvert, grâce aux mathématiques, à quel point le monde est mathématisable... ça a été un grand et magnifique choc.
J'irai même un cran plus loin : les mathématiques fondent en grande partie l'ensemble des sciences. Pour les sciences dures c'est évident. Pour les autres sciences ça l'est moins au premier abord, mais le lien existe et il est puissant : le principe même de science comme construction d'un système de connaissances critiquables et hiérarchisables est en soi une démarche héritée des mathématiques. Du reste même les sciences humaines ont régulièrement recours aux sciences dures (y compris les mathématiques) pour évaluer les connaissances.
Les mathématiques sont la colonne vertébrale du savoir humain.
Alors "l'utile" et "l'agréable" resteront toujours puissamment associés dans ce qui fait pour moi l'exaltante beauté des mathématiques.
Bonjour
quand un bambin apprend à marcher, ça ne lui sert à rien : il y a toujours une bonne poire pour le porter dans ses bras, et/ou une poussette pas loin.
Un peu plus tard, quand il apprend à lire, ça ne lui sert toujours à rien : il y a toujours une bonne poire pour lui lire ses histoires (souvent la même qu'à l'étape précédente ....)
Pourtant, tout le monde ou presque a appris à marcher et je pense que bien peu le regrettent ensuite, si ? et presque tout le monde finit par apprendre à lire, et bien peu regrettent de savoir lire.... Pourquoi faudrait-il qu'il y ait une utilité connue d'avance pour apprendre ?
Mais lafol, tu fournis toi-même les clés d'une partie de la réponse à ta question...
Tout le monde ou presque apprend à marcher et à lire.
Tout le monde ou presque apprend à compter.
Pas tout le monde, loin s'en faut, apprend le calcul intégral.
Il semble donc qu'il y ait des apprentissages plus naturels et instinctifs que d'autres.
Il est probable également que les récompenses de l'apprentissage jouent un rôle essentiel. Par exemple les multiples encouragements extasiés répétés lors des apprentissages ("Oh regarde comme il est fort, bravo ! regarde il se tient debout, comme il est grand...)... Ne crois-tu pas ?
Dans un sens, "l'utilité" de l'apprentissage est ici la "récompense" de la recherche et de l'effort. Ca peut être le plaisir de téter son pouce (bien difficile à trouver dans les premiers jours). Et ça peut être aussi celui de la simple découverte et de la satisfaction de la curiosité (qu'est- ce qui se passe si je donne une tartine de confiture au magnétoscope ? ou si je mets le poisson rouge dans les toilettes ? et le portable de maman à sa place dans le bocal ? ).
La question devient : quelles satisfactions peut nous procurer l'apprentissage des mathématiques ?
Quelle pensée profonde.
J'espère qu'elle t'apporte toute la satisfaction de l'exercice intellectuel accompli !
Bonne fin de semaine,
A Ledino
*************
Tu as plusieurs fois parlé de beauté,ce terme suggère à la fois l'émotion et une forme
de transmission non verbale .
Et aux autres
Pour moi,les mathématiques sont un langage 'monosémique' , une écriture commune structurée.
Alain
En quoi sert-il d'apprendre ce que sont un pinceau, un fusain, une palette de peintre, un chevalet ... ? ... si on n'est pas capable de les utiliser pour en sortir une oeuvre concrète.
En quoi sert-il d'apprendre ce que c'est une fonction, la dérivation, la trigonométrie ... ? ... si on n'est pas capable de les utiliser pour en sortir une oeuvre concrète.
Cà c'est ma position d'ingénieur, loin de celle des doux rêveurs.
Bon,
Le rêve,l'inactivité ,l'ennui sont souvent des temps nécessaires à la réalisation d'une
oeuvre concrète.
L'utilité n'a été ni le moteur ni la motivation première des mathématiciens,physiciens,
philosophes...
Tant d'ancêtres profonds ,tenaces nous ont précédé qu'il nous devient difficile de
faire oeuvre nouvelle.
Nombres d' essais sont vite recouverts sous les sarcasmes éclairés des experts et
autres palmés.
Amicalement,
Alain
Sans nullement nier la beauté intrinsèque des mathématiques, et de bien d'autres disciplines intellectuelles, je trouve assez accablant que tant de gens défendent l'idée que leur beauté réside essentiellement dans ce qu'elles sont et non dans leur interaction avec le monde et dans ce qu'elles permettent de produire.
Je comprends l'idée, mais je suis navré que la notion de lien avec le réel et d'utilité soit devenue à ce point là un gros mot.
Bon après-midi,
Le réel est construit:celui de l'abeille ,de la vache et d'Alain ne sont pas les mêmes.
L'utilité est , elle, relative à une fin donnée.
Le plaisir personnel est un réel moteur pour nos actions.
Alain
alainpaul
les mathématiques ont été crées pour répondre à des questions concrètes : il suffit de le demander aux babyloniens,... et autres sumériens ...
il fallait mesurer des surfaces, des longueurs, compter et échanger des moutons .....
puis à force d'abstraction, d'acquisition de connaissance, de découvertes on ne répondait plus ou de moins en moins à des pourquoi (faire) ?
ainsi sont nées par exemple la théorie de Galois ou les séries de Fourier dont on ne savait que faire .... jusqu'à ce qu'elles répondent et proposent des réponses aux ingénieurs ....
bien sur le propre du génie c'est d'être rare ...
il n'en reste pas moins qu'autour de ces qq (centaines ?) de génies ont gravité de nombreux mathématiciens qui par leur talent ont aussi apporté leur pierre à l'édifice ... et ont permis fort probablement à ces génies d'éclore ....
certes en périphérie on trouve encore ces nombreuses "petites mains" qui n'ont peut-être pas apporté eux-mêmes "grand chose" mais sans qui la science n'aurait peut-être pas avancé non plus ....
respectons les tous .... quelles que soit leur contribution ...
dans une course il y a un premier ... parce qu'il y a les autres ....
Bon, conclusion : chacun est libre d'aimer les mathématiques à sa manière ...
Et donc en réfuter une c'est dépouiller arbitrairement les mathématiques d'une de ses richesses.
La question initiale de l'auteur du topic demeure : comment partager au mieux ces richesses avec un public facilement démobilisable... Vaste sujet de nombreuses fois traité et jamais vraiment résolu...
Au passage, JP nous livre un intéressant paradoxe :
Si les mathématiques sont belles parce qu'inutiles comme le propose l'auteur du topic, alors "à quoi servent les professeurs de mathématiques" ?
Vous avez deux heures...
Bonsoir,
Ma mère a viré tous les poèmes que j'avais tenté d'écrire (60 years ago!),
j'ai râlé ,j'avais mal retenu mes textes;elle m'a dit :"tu ne sais même pas ce que tu écris et
puis tout cela était complètement inutile."
Mon prof de composition musicale était meilleur pédagogue,il me disait parfois telle oeuvre est originale et sonne bien ,la faire connaître et la diffuser est une autre affaire,
retiens le plaisir que tu as eu à la produire et l'approbation donnée.
Le professeur me nourrit ,il m'appartient de digérer /adapter le contenu à la couleur
de mon esprit.
Alain
PS:il n'y a pas génération spontanée de génies.
Je suis désolé pour tes poèmes.
Et plus encore que ce soit ta mère qui les ait détruits.
... je comprends mieux ta défiance à l'égard de "l'utilité"...
J'espère que tu en as écrit d'autres depuis .
Bonjour,
No soucy...
J'ai le plaisir de te recopier un mien texte.
CHAMBRE 245
Halo jaune,
Une lumière discrète
en mon corps s'insinue.
Ma bouche n'est que sécheresse
Ma langue étrangère,
En ma gorge pointent
Le sable et le sel,
mille brûlures.
Obstination dans ma chair
D'aiguilles et de tourments,
Le temps flâne,s'égare
Et le sommeil,encore,se dérobe. . .
03/05/2012
Alain
Bonjour,
Je te peux offrir des textes un peu plus chauds...
Dis-moi,puis-je parler de monômes scindés tels que 2axyt ,
pour lesquels je précise les variables de C ,variables dites déclarées,les autres étant
des constantes de C ?
Soit Var. {x,y,z} ,l'opération d vérifie et définition
Merci,
Alain
Bonjour à tous et a toutes,
Tout d'abord, je me présente, je suis un jeune étudiant, et me baladant sur le forum, je tombe sur ce sujet. Etant donner mon jeune age, et donc mes jeunes amis, j'ai la chance d'avoir un point de vue multiple. Je tiens aussi à dire que j'ai seulement survolé les messages déjà posté, par manque de temps.
Pour répondre a ta question, il me semble que les Mathématiques soit, malheureusement un monde fermer, mais qui peut ouvrir sa porte a tous le monde. Je m'explique, depuis tous jeune, on nous induit une notion d'intelligence, fictive pour la plupart du temps, mais une notion tres présente. Cette notion se rattachant souvent au Quotient intellectuelle, et donc au jugement souvent facile : "T'es fort a l'ecole, t'es un intello, donc t'aimes les maths." La ou je veux en venir, c'est qu'il y a comme, des le plus jeune age, un refoulement, du a la catégorisation des sciences. Plusieurs personnes développent , paradoxalement une peur des Maths. Ceci est encore plus accentuer lorsque on obtient des mauvais resultat scolaire...
Ensuite, je vois une deuxième raison, les sciences, bien qu'accessible a tous dans les "premier niveau", demande une certaine ouverture d'esprit. Elles demandent d'induire des notions inconnues, des notions qui nous servirons pour la plupart jamais dans la vie courante.
Il me semble aussi que le profs, en fonction de sa pédagogie, arrive a oui ou non faire aimer sa matière. Des que les cours sont appréhendés d'une façon positive, que l'ambiance de classe est bonne, alors le cours se passera bien, et donc les notions aborder seront beaucoup plus acquises.
Enfin, les Mathématiques sont un monde sans limites ou il nous reste tant a découvrir, un monde permettant d'expliquer notre interactivité avec la nature, de comprendre l'univers etc.. Mais tous ceci malheureusement, sa ne fait pas briller les yeux a certains..
(sauf moi )
Bien a vous,
Ugo, 15 ans.
PS : Je ne sais pas si j'ai le droit de poster ici, et si je n'ai pas le droit, alors j'accepterai sans aucune discussion que l'on supprime mon commentaire.
tu as le droit !
en lisant ton message, je me dis que les profs de français doivent aussi avoir un site comme celui-ci où ils s'interrogent sur la manière de motiver les jeunes pour apprendre à orthographier correctement notre belle langue
Bonjour,
Il est certainement plus important de maîtriser la langue que le portable ou l'usage
de 'smileys'. Ton orthographe de ne donne pas envie de lire ta prose et te bloquera
dans ta vie professionnelle et sociale.
J'aide des élèves d'origine turque et syrienne ;pourquoi écrivent-ils mieux que tu ne le fais?
Je revendique donc le redoublement pour tous ceux qui sabotent notre langue.
Alain
Bonjour,
Pourquoi j'aime les maths? Parce que c'est des maths. En fait ce que j'aime, c'est que c'est logique et donc normalement accessible à tous. Mais la logique est complexe et beaucoup de gens reculent devant les difficultés.
maths=logique=normalement accessible à tous
logique=complexe=inaccessible à beaucoup
-->maths=réservé à une minorité, l'élite
Ne cherchez pas à comprendre comment je raisonne, je ne suis pas bonne en maths
En fait en francais, histoire et autres, ce qui aide les élèves qui n'aiment pas ca (car il n'y a pas qu'en maths qu'il y a des refractaires) c'est qu'on peut faire des detours. On peut gagner des points sur la structure d'une redaction a defaut de connaître toutes les dates. Si on ne se souviens plus d'une date, on peut être vague (Charles de Gaulle a lancé son appel courant juin 44 (voire 44))
Alors qu'en math si on ne connais pas la formule du triangle de Pythagore, on ne peut pas calculer l'hypothenuse d'un triangle rectangle meme en ayant la longueur des deux autres côtes.
Mais les personnes refractaires en profite pour se cacher derrière cet amas de règles strictes: "Je comprends rien a ces formules", "On a pas encore eu le cours" alors que les dites formules ne sont pas toujours necessaires.
En fait, la froide logique des maths fait peur et les gens oublie qu'il faut d'abord comprendre les choses avant d'appliquer son cours. Au point de perdre tout esprit critique.
Par exemple je suis autant passionnee de maths que ma soeur les deteste.
Pour elle, dans un problème, calculer un prix apres reduction et trouve un prix plus cher qu'au depart ne l'étonnait pas. Elle ne voyait jamais ce que signifiait la formule. Et elle est entré dans ce merveilleux cercle vicieux: "Je comprends rien alors je reflechis plus alors je comprends rien; puis il y a trop de formules". Par contre dans un magasin,elle pqrvient à calculer rapidement un arrondi de prix pendant les soldes.
Les maths sont pour elle un monde totalement a part où elle se contente de mettre des chiffres bout à bout.
Ma grammaire te dégoûte, mais je n'en ai pas la moindre considération. Selon moi, je suis lisible, je sais écrire quand il le faux, il me semble pas nécessaire d'écrire sans fautes sur Internet, alors oui je choppe des mauvaises habitudes je le sais, mais considère les gens qui juge ma personne sur mes fautes sont pour moi, malheureusement, trop stricte.
Cordialement,
Ugo
Personne ne juge personne, chacun a ses raisons d'écrire bien ou pas. Certains n'en voient pas l'utilité mais d'autres ont des maladies et ça n'a pas été un choix de faire des fautes. Ne t'énerve pas pour ça, fais juste en sorte de continuer à être lisible et compréhensible.
Il y est peut-être allé un peu fort
Il veut sûrement dire que tu devrais écrire du mieux possible tout le temps et pas que dans les devoirs de français. Tu ne vas pas redoubler pour autant.
Par exemple une personne quelconque et toi disputez un poste. Vous avez été sélectionnés parmi des dizaines de personnes pour votre aptitude à manier les nombres (ce n'est qu'un exemple) et vous devez faire une lettre de motivation pour vous départager. Celui qui fera plus attention à l'orthographe aura plus de chances d'être pris.
Pour conclure, je te conseillerai de faire tout le temps attention, pour les autres mais aussi pour toi même. Après c'est ton choix
Pour apaiser l'ambiance...
Ziraax a surtout un problème avec l'emploi du participe passé.
Cela donne des fautes très choquantes... mais assez facile à corriger par lui même s'il se donne le temps d'étudier la règle .
Donc rien d'irrémédiable dans son cas, et une écriture intéressante avec du potentiel... c'est l'essentiel.
Maintenant que le debat sur l'importance de l'orthographe est ouvert, on passe au point Godwin en criant au grammarnazi, et on conclut ce tour des plus grands cliches de forum par l'instant moralisateur: Ne serait il pas tant de cesser ce débat stérile et de revenir au sujet initial.
Deja : belle tentative de changement de sujet LeDino, perso un tel effort aurait pu me seduire je crois. Ca ne fait pas tout, mais lier la poésie aux mathematiques que tout le monde trouve froid et logique, en parlant de beaute, c'est tres joli.
Sinon:
Les maths c'est trop Badass, voila pourquoi j'aime les maths.
On peut simuler l'infiniment petit et l'infiniment grand. Le monde est mathematique. Tout est basé sur les maths et la physique bien sûre, mais elles utilisent les mathematiques.
Pour moi c'est un langage incroyable et un des rares langage universelle et intemporel. Un symbole integral sera toujours un symbole integrale, qu'on soit dans un pays anglophones, francophones, germanophones,... Vous avez compris.
Un exemple dans la litterature. Dans la planète des singes, l'homme montre son intelligence en donnant le théorème de Pythagore. Langage intemporel.
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