Citation :
"C'est le standard de chiffrement symétrique. On ne peut pas tout faire avec l'AES seul (en fait on ne peut pas faire grand-chose...)"Est-ce que tu pourrai me donner des exemples ? J'imagine mais c'est pour avoir des cas précis. On va utiliser le RSA pour chiffrer des clés AES par exemple, il est symétrique, etc...
Avec AES on peut chiffrer, c'est tout. Et même si on ne fait "que" chiffrer, on a le problème de l'échange des clés. Comme tu l'as vu, pour le résoudre on peut par exemple utiliser un chiffrement asymétrique comme RSA. En tout cas, on doit utiliser autre chose. On ne peut pas non plus par exemple faire d'authentification (signatures, etc.) avec AES.
Citation :
Alors j'ai réfléchi. Je ne sais pas si l'idée de "plan" que j'ai donné plus haut est convenable. Introduire les principes de générations purement aléatoires de clé serai long. Déjà que rien que pour expliquer convenablement l'algorithme de chiffrement AES, 10 minutes ça passe vite...
En effet, 10 minutes, c'est court. Même en traitant uniquement de l'AES, tu auras de quoi les remplir.
Comme exéprience, tu pourrais comparer les modes d'opération de l'AES. AES (ainsi que tous les autres chiffrements par blocs) opère sur des blocs de taille fixée (128 bits pour l'AES). En général, les messages qu'on veut transmettre sont plus long que 128 bits, alors comment on fait ? La méthode naïve consiste à dévouper le message en blocs, à les chiffrer séparément, et à recoller, c'est le mode ECB. Cette méthode n'est absolument pas sûre, on le voit très ben si on essaie de chiffrer un fichier image (voir
). Donc tu pourrais faire ça avec ton programme AES : chiffrer un fichier image en mode ECB puis en mode CBC ou OFB, et comparer les résultats.