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Voyage au centre de la lumière
Interpellé par l'empreinte du nombre d'or dans de nombreuses créations naturelles, j'ai entrepris voilà quelques années de comprendre cette entité mathématique. Cette démarche, entamée par la géométrie, m'a rapidement plongé dans une nouvelle interprétation de ce nombre si particulier.... La galerie présentée ici est le fruit de différentes découvertes effectuées au cours de ce périple. Je souhaite partager ces interprétations avec le plus grand nombre d'entre vous, néophytes comme initiés. Pour celles et ceux qui souhaitent en savoir d'avantage, l'intégralité de ce travail se trouve :
1ère Partie: http://www.mediafire.com/file/n8ze8xnj70fjm80/1%C3%A8re_Partie.pdf
2ème Partie: http://www.mediafire.com/file/6bs5k8930wbn644/2%C3%A8me_Partie.pdf
GALERIE
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Bonjour,
Beaucoup d'iliens se posent les mêmes questions voir sujet voisin.
Bonsoir. Desquelles parlez-vous?
Bonsoir,
juste une remarque sur le début du document ( haut de la page 4 ) :
Les chiffres
A eux seuls, ces neuf symboles caractériseraient toute l'information relative au domaine du réel.
Il y a dix chiffres, et oublier le 0 est particulièrement grave.
C'est lui qui permet la numération de position.
Et qui a donné, étymologiquement, le mot « chiffre ».
Disons que ça ne donne guère envie de lire la suite.
Citations Wiki:
"Le fait que tout entier naturel possède une représentation unique en numération bijective de base k (k ≥ 1) est un théorème du "folklore mathématique" qui a été redécouvert de nombreuses fois. On le trouve par exemple chez Smullyan (1961) pour le cas k = 2, et chez Böhm (1964) pour tous les k ≥ 1 (Böhm utilisait ces représentations pour effectuer des calculs dans le langage de programmation P′′ (en)). Knuth (1969) mentionne le cas particulier k = 10, et Salomaa (1973) discute les cas k ≥ 2. Forslund (1995) estime que d'anciens systèmes de numération bijectifs auraient pu passer inaperçus dans les documents archéologiques, en raison du manque de familiarité avec eux ; ce dernier article est remarquable par le fait qu'il ne cite pas la littérature existante, mais semble réinventer cette notation de toutes pièces."
"Zéro est un chiffre et un nombre. Son nom a été emprunté en 1485 à l'italien zero, contraction de zefiro, issu du latin médiéval zephirum, qui représente une transcription de l'arabe ṣĭfr, le vide.
En tant que chiffre, zéro est noté sous forme d'un petit cercle : 0. Il est utilisé pour « garder le rang » et marquer une position vide dans l'écriture des nombres en notation positionnelle.
En tant que nombre, zéro est un objet mathématique, également noté 0, permettant d'exprimer une absence comme une quantité (nulle) : c'est le nombre d'éléments de l'ensemble vide. Il délimite les nombres positifs (+) des nombres négatifs (-). Il est le plus petit des entiers positifs ou nuls. Ses propriétés arithmétiques particulières, notamment l'impossibilité de la division par zéro, impliquent parfois de traiter son cas à part. Il sépare les nombres réels en positifs et négatifs et tient lieu d'origine pour repérer des points sur la droite réelle."
Pourquoi "notre" système de numération positionnelle serait la "vérité" ?
Sortons de ce formalisme et essayons de dépasser nos carcans intellectuels... Le 0 ne peut-être comptabilisé, car traduisant le vide.
Pourquoi "notre" système de numération positionnelle serait la "vérité" ?
Un système de notation n'a rien à voir avec « la vérité ».
Si j'étais capable de t'écrire ça en chinois ça n'en serait pas moins vrai, mais tu ne pourrais vraisemblablement pas le lire.
Ceci étant dit, une fois que tu as choisi un système de notation, il est indispensable d'en respecter les règles.
Et dans le système de notation positionnel des nombres en base dix il y a dix chiffres.
Dont 0.
Ce n'est pas un « carcan intellectuel » mais juste une manière d'écrire les nombres.
VII+III=X est aussi vrai et dit exactement la même chose que 7+3=10 ou que sept plus trois font dix.
Bonjour.
Ces observations sont avant tout issues d'une expérience de pensée.
Le choix de ce système de notation est du domaine du concept.
Peut-être devriez-vous outre-passer ce point...
Que penser des relations faites avec le réel qui concerne les diagrammes de diffraction du cristal, présentées de la page 55 à la page 59?
N'est-ce pas plutôt concordant, voire même troublant au vu de la résolution ultime que nous obtenons comparé à nos observations?
Par ailleurs je vous remercie du temps que vous prenez pour lire ou me répondre.
PS: Concernant la comparation évoquée plus haut, je joins des visuels qui ne sont pas intégrés au dossier StankaB.
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