Bonsoir,
Je n'ai pas compris quelques morceaux de pages, mais ça me semble quand même intéressant à garder en tête (et le tout excellemment bien rédigé, et donc très agréable à lire !)...
Un autre site connu, qui a fait peau neuve, celui de M. Delaunay (j'espère qu'il ne m'en voudra pas de l'avoir cité ), qui présente du cours, des exos, un forum, des articles niveau MPSI/MP (mais PC aussi heine )
Le lien :
J'apprécie surtout la nouvelle rubrique N.S.M.H. (Nécessaires de Survie en Milieu Hostile )
Encore une vraie mine d'or
Wow, j'avoue que ça fait un moment que je ne suis plus (mais alors, plus du tout) ces principes de rédaction... Faut dire qu'au bout d'un moment, c'est franchement lassant de rédiger tout nickel. En DS je veux bien parfois m'en donner la peine (et encore...) mais en khôlle ou même en dm je trouve franchement que c'est un peu trop de demander de rédiger tout systématiquement nickel-chrome.
Zêtes pas d'accord?
Pitêtre. Je pense que la filière joue : mes problèmes sont plutôt classiques, les auteurs des sujets mettent l'accent sur la rigueur et la rédaction.
Ma prof retire la moitié des points quand quelque chose n'est pas nickel, je trouvais ça sévère mais en lisant les rapports des concours ça semble bénéfique.
Maintenant je dis ça pour moi, mais j'imagine que pour vos problèmes hyper abstraits de MP, l'important est de savoir comment résoudre le problème, la rédaction c'est du titillage
Y a 5 heures je me suis fait avoir par un théorème de dérivation des séries de fonctions, c'est nul ça
Je suis pas tout à fait d'accord, c'est clair que c'est rébarbatif de rédiger tout soigneusement, une fois que j'ai trouvé la sssstûce je ne trouve plus trop d'intérêt à m'attarder sur la question pour y répondre rigoureusement. Mais aux concours c'est un facteur déterminant, la preuve j'ai la moitié des points qui sautent aux DS quand je justifie pas un point proprement (ex : dans le dernier DS pour déterminer un extremum j'ai annulé une dérivée ce qui était la méthode attendue, mais il fallait aussi écrire le tableau de signe pour vérifier que la fonction changeait de signe, ce qui est bidon mais comme je n'ai pas pris la peine de le faire j'ai eu la moitié des points).
Bref c'est chiant mais il faut le faire
Salut aux taupins !
Merci à gui_tou pour le manuel de bonne rédaction (que j'ai imprimé depuis fort longtemps).
Et pour ce nouveau lien intéressant (pour l'année prochaine).
Merci aussi à infophile pour les informations de son site (petite faute à la fin de la 6ème page sur la CPGE : "On est donc évaluer")
Bonsoir à tous!
Je viens de lire ce petit guide, et il dit au début que "Soit x" et "Pour tout x" c'est la même chose. Mais moi mon professeur de maths depuis le début de l'année me dit le contraire. Donc qui a raison s'il vous plait? Quand dois je utiliser l'un ou l'autre?
Merci d'avance
Re
Pour moi, c'est dire la même chose. Après un "soit ...", on s'attend à "Soit . Alors...".
Tandis qu'avec "Pour tout ...", on s'attend à un truc du genre : "Pour tout [tel que bidule], on a..."
Enfin, en sup, on t'apprend que c'est différent pour faire bien rentrer la quantification jusqu'au moindre détail. Apres, tu peux prendre des libertés.
Je ne te dis pas comment je rédige mes récurrences, j'ai rigolé quand j'ai vu leur passage dessus xD.
Donc pour revenir au sujet : pour tout x, ca ne dure que sur une ligne. T'as mis ton point et hop il n'y a plus de x.
Alors que soit x, le x, il reste pendant toute la preuve.
Je crois que c'est la seule "différence"
D'accord merci, et une autre question svp ^^: quand doit - on rien mettre et surtout concernant les variables muettes je n'arrive pas bien a voir ce que c'est, toutes les variables peuvent être muettes, puisque ont peut toutes les remplacer par une autre lettre, ça je ne comprends pas. Et doit on définir a chaque fois une variable muette ou pas du tout?
Bonsoir
quand on commence par "soit x", à la fin il y aura une phrase genre "ceci étant vrai pour tout x" ou quelque chose d'analogue
Quand on écrit "pour tout x ...", effectivement, on est obligé de le remettre à chaque ligne
les variables muettes ne servent qu'à exprimer une somme ou une fonction ou ... mais n'ont pas une signification précise
par exemple tu dis "soit f définie sur IR par f(t)=2t", tu aurais aussi bien pu dire "par f(u) = 2u" ou "par f(x) = 2x" : ce qui compte c'est que f associe à un nombre son double, quel que soit ce nombre
Ca se voit p'tet mieux avec les autres symboles (somme, produit, union,...); du moins, je les voyais mieux avec ces symboles.
Par exemple dans , i est bien une variable muette dans la mesure où n'elle a aucune existence à proprement parler (si on développe la somme, bon ben i disparaît de la circulation). Même chose avec les unions, intersections, tous ces symboles qui sont là pour nous simplifier la vie mais qui de fait, sont obligés de faire apparaître des artefacts d'écriture.
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