Bonjour,
Soit , deux ensemble et deux relations d'équivalence (une sur X et l'autre sur Y).
Il est bien connu que si une fonction vérifie :
pour tout tel que , alors . Alors on peut passer au quotient, ie : il existe application qui vérifie . Où est la surjection canonique. L'application est unique il n'y a pas d'ambiguité. (Exemple le plus connu je pense le cas où est un morphisme de groupe et on quotiente par le noyau pour avoir une fonction )
Est-ce-que si la fonction vérifie : pour tout tel que , alors . Alors je peux parler sans ambiguïté d'une fonction . J'ai l'impression qu'il n'y a plus unicité ?
Si quelqu'un a des explications ou même des références.
Merci
La question est peut être un peu vague, peut être cette formulation est meilleure (ou pas) :
Avec les même notations est ce que la fonction est bien définie ?
Où est l'ensemble des applications de X dans Y.
Bonjour,
La réponse est facile : si on a une application , on peut la composer avec la surjection canonique . Et bien sûr si et seulement si . Maintenant il ne te reste plus qu'à appliquer le premier résultat de passage au quotient que tu cites à la fonction , dans le cas où pour tous , .
Bonsoir.
L'application étant compatible avec la relation d'équivalence sur , l'existence et l'unicité de l'application sont assurées par le premier résultat de passage au quotient que tu cites ; cette unique application est telle que
ce qui revient à dire que le diagramme ci-dessous (à la main) commute. L'explication de GBZM est cependant très claire et suffit largement à ton bonheur.
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