Bonjour à tous, j'ouvre ce topic pour demander des conseils et avoir un œil extérieur et objectif sur ma (courte) expérience en tant que professeur. J'espère que vous pourrez m'aider et apporter des réponses à mes questions.
Je me présente, je suis un jeune ingénieur de 28 ans, depuis le début de mes études supérieures je donne des cours particuliers en math/physique-chimie de la 6ème à la terminale et de l'aide aux devoirs pour les jeunes en primaire. Je suis passionné, j'adore transmettre mon savoir et je compte un peu plus tard me reconvertir professeur. Je n'hésite pas à donner de moi-même pour ces cours particuliers : je donne des cours gratuits au secours populaire, je fais des exercices personnalisés chez moi en fonction de l'élève et de ses difficultés, j'aide assez souvent sur l'île… Bref je suis vraiment motivé mais je rencontre des difficultés dans ma manière d'enseigner et j'aimerai avoir des conseils.
Dans ma situation actuelle je rencontre principalement 2 types d'élèves, ces 2 types n'ont rien à voir, contrairement à ce que l'on pourrait penser, avec le « niveau » de l'élève. Les premiers élèves que je rencontre sont des élèves que je qualifierai de motiver et de conscient de leurs difficultés. La plupart du temps ce sont d'ailleurs les élèves les plus âgés, disons de la 4ème à la terminale. Même si ces élèves ont d'énormes difficultés, j'arrive à leur expliquer « simplement » les cours (souvent je les dirige sur l'essentiel et sur ce qu'il risque de rencontrer lors de leur devoir) et à les remotiver, dans le sens où il me réplique « c'était aussi simple que ça ? ». J'ai de bons résultats auprès de ces élèves (les élèves atteignent généralement la moyenne et la dépasse aux examens (brevet, bac, bep…).
Le deuxième type d'élève que je rencontre me pose par contre beaucoup de difficultés, ce sont souvent les élèves plus jeunes (primaire ou début de collège). Ils n'ont pas « envie » de travailler, ils ne comprennent pas l'intérêt d'avoir de bonne notes. Cela dénote un manque de maturité certes mais le pire c'est qu'ils ne sont pour la plupart pas bêtes, ils arrivent à faire les exercices demandés mais ne retiennent pas par cœur (la conjugaison par exemple) et donc oublie souvent ce que l'on fait d'une semaine à l'autre et donc du coup j'ai la sensation de travailler pour rien et que les cours sont inutiles. Je n'arrive pas à les motiver, même en leur disant que bien travailler à l'école permet de choisir son métier, d'avoir des métiers intéressants ou bien payés (même si ce n'est pas forcément vrai…) Me remettant en question, j'avais proposé à une famille dont je m'occupe de 3 des enfants, de prendre un nouveau prof pour un des enfants avec qui j'avais vraiment beaucoup de difficultés, or un an après, je constate qu'il n'y a aucune différence, à savoir que l'enfant n'est pas plus motivé que ça et donc qu'il continue à enchaîner les mauvaises notes.
D'où mes questions : y a-t-il des techniques d'enseignement permettant de motiver même les élèves les plus récalcitrants ? Peut-on aider tous les élèves ? Pour moi, je considère mon expérience avec ces élèves comme un « échec », comment vivez-vous ce genre d'expérience vous ?
Voila merci à ceux qui ont eu le courage de lire mon pavé et à ceux qui m'apporteront des réponses.
Salut,
c'est assez délicat comme situation. Première question : Sont-ils volontaires ou forcés par les parents?
Dans le premier cas, c'est que le cours ne leur convient pas pour des raisons qu'ils ne savent peut être pas expliciter. As-tu essayé de discuter avec eux de ce qu'ils pensent du cours avec toi? T'es-tu intéressé à ce qu'il voulait faire? Si oui, il pourrait être intéressant d'essayer de trouver un moyen, même très restreint, de relier ce que tu fais en cours particuliers avec leur optique d'avenir, au moins du côté cognitif ou social si tu n'y arrives pas avec les contenus. Cependant, à leur jeune âge, les souhaits d'avenirs risquent d'être encore obscur et la discussion de tourner en rond.
Le problème est que tu n'es a priori pas qualifié pour résoudre ce genre de problème qui tient d'un rapport personnel de l'élève au travail. Un prof diplômé ne l'est pas non plus donc ne t'inquiète pas. Enfin, au contraire, il faudrait que tout le monde s'en inquiète mais c'est une autre histoire.
En dehors des discussions avec les élèves et les parents, je pourrai te suggérer de forcer la main au travail, en donnant par exemple des exercices d'un cours à l'autre ou en lui faisant apprendre son cours que tu lui feras réciter en début de cours suivant. Le problème est que s'il est déjà forcé par les parents, et que tu te mets à ton tour à le pousser contre son gré, tu auras peut être un résultat sur papier (pas sûr du tout...) mais dans la tête le bougre sera en gros conflit socioaffectif qui risquera surement de faire s'évanouir les connaissances apprises aussi vite qu'elles sont apparues.
Bref, comme j'ai dit, c'est délicat, et au final le fait que ce soit ou non ton boulot de régler ce lourd problème de motivation est très discutable. Selon moi, c'est en grande partie les parents qui peuvent faire quelque chose, et quitte à ce que l'enfant se sente fortement acculé, je pense qu'il vaut mieux que ce soit entièrement par les parents et que toi de ton côté tu puisses être un poil moins contraignant. Tu pourrais demander au parents de sévir graduellement par exemple, mais ça peut être à double-tranchant comme dans le cas précédent.
Un autre recours serait de proposer aux parents de lui faire consulter un conseiller d'éducation ou au moins de ton côté en contacter un pour lui demander conseil.
Tiens nous au courant dans tous les cas.
Alors j'ai essayé la plupart des choses que tu m'as dites :
- discuter de l'avenir : la plupart des élèves de primaire ne savent pas ce qu'il veulent faire, donc c'est assez difficile d'être concret.
- faire intervenir les parents : les parents ont sévis suite aux mauvaises notes mais l'enfant s'aperçoit qu'après 1 ou 2 jours sans télévision, c'est oublié et tout revient à la normale. L'enfant ne voit donc toujours pas l'intérêt des bonnes notes, pour lui les conséquences et notamment celles sur le long terme sont beaucoup trop abstraites. Je ne rencontre pas ce genre de problèmes avec des élèves âgés puisque eux ont conscience des conséquences, puis la proximité de gros examens (type bac, brevet...) les motive indirectement. De même, ils ont un peu la notion de l'argent, ils savent que leur parent paye pour ces cours, donc ils font des efforts.
- le psychologue : les parents sont souvent contre, pour eux un conseiller d'éducation ou un psychologue c'est la honte d'amener leur enfant chez eux...
Pour ma part j'ai 2 élèves dans ce type de situation en ce moment : un 6ème et un cm1. Autant le 6ème commence à comprendre que c'est important et est de plus en plus motivé, autant le cm1 je suis désespéré.
Le problème aussi est que je prends à coeur ce genre de situation, dois-je arriver à me montrer plus détaché ?
C'est normal que tu prennes ça à coeur, quand on aime ce qu'on fait on a envie de réussir à le faire, c'est logique. Mais effectivement, il faut que tu sois un minimum détaché pour pas que ça te pèse de trop. Si ça ne marche pas du tout avec l'élève de Cm1, tu es libre d'abandonner, et je te suggérerai même de le faire car comme déjà dit, c'est loin d'entrer dans le cadre de tes compétences de prof particuliers. Il ne s'agit plus d'enseignement mais d'éducation, et si certains estiment que c'est aussi le boulot du prof, ce qui peut être vrai comme faux, je pense que tout le monde sera d'accord que ce n'est en tout cas pas celui du prof particulier.
Maintenant, libre à chacun d'essayer de résoudre les conflits sociaux-culturels de l'élève, mais si ça devient trop difficile, il faut laisser la place à des personnes qui sont spécialisées là dedans, à savoir justement les conseillers d'éducations (dont le travail est différent et moins péjoré que celui du psy).
Effectivement l'élève de cm1 fait partie de mes élèves que j'aide en bénévolat. Elle vient d'une famille qui est d'origine syrienne, la mère parle un peu le français mais le père quasiment pas, donc déjà elle n'est pas beaucoup aider. Elle se décourage vite.
En ce qui concerne la lecture, j'ai pu remarquer que les élèves lisent pour lire, c'est-à-dire souvent sans comprendre vraiment le sens du texte et pour ce qui est de retenir les mots par la lecture j'y crois vraiment pas. Les "nouveaux" mots ils ont la flemme d'aller les chercher dans le dico, quand à retenir leur orthographe... Je suis plus partant pour le par coeur. Pour apprendre en autoditacte par la lecture, il faudrait qu'ils lisent régulièrement, or c'est le cadet de leur souci, ils préfèrent jouer.
Passionné je le suis car je donne de mon temps et je fais des efforts et ce même en fonction des "humeurs" des élèves, mais je vois qu'au bout de 3 ans, je ne fais pas de miracle. Après je ne pense pas forcément abandonner, peut-être qu'à un moment, elle aura compris l'importance de travailler un minimum à l'école.
Pour ce que j'ai pu observer à la fac... on apprend (et on se motive pour apprendre) quand on a besoin d'apprendre.
Les formules toute faites et parachutées pour résoudre des "problèmes" qui ne sont pas de réels problèmes, car il ne se posent pas concrètement, je n'ai jamais pu ni les apprendre, ni les enseigner.
Par contre, si l'élève ou l'étudiant, l'apprenant (dans d'autres milieux), a "besoin" de résoudre un problème, alors tous les moyens seront bon pour trouver une solution, et même inventer une nouvelle méthode de résolution.
Mon système pour enseigner était d'abord de guider les étudiants pour qu'ils se donnent un projet, un but, une chose à réaliser. Et c'est au cours de leurs réalisations qu'ils trouvaient des solutions concrètes pour résoudre les "problèmes". Seulement après, la théorie permettait de mettre des noms sur les choses et les concepts rencontrés, et de "retrouver" un objet connu de l'intérieur dans une formule abstraite, mais synthétique.
Donc mon plan sur un an : 6 mois pour trouver le bon projet... en écoutant parcimonieusement de la théorie si on veut, on en regardant le travail d'autres personnes, observer les maîtres, balayer la salle des chercheurs de pointe. 3 mois pour commencer à réfléchir à comment traiter son sujet, 2 mois pour commencer à travailler, et ..après 3 semaines de vacances, tout faire en 1 semaine.
Ce que je veux dire, c'est qui faut un but réel, venant de soi, et qu'une dead line peut aider aussi. L'enseignant, lui, ne peut pas forcer quelqu'un à apprendre. Il peut peut-être aider à trouver la piste où les outils qu'il donnera seront pratiques et utiles pour avancer.
Bonjour,
en tant que prof particulier, tu rencontres finalement les mêmes problèmes qu'un prof devant sa classe.
Certains élèves ne veulent rien faire, quoi qu'on fasse ou quoi qu'on dise.
Les raisons sont multiples et très variées, il est très difficile de les identifier, et donc difficile d'essayer de lutter.
Après tout, ne pas oublier que les enfants font et disent des choses peu logiques, par rapport à la logique adulte mais aussi dans l'absolu parfois, et que vouloir modifier le comportement d'un individu est un travail de longue haleine voire impossible.
Les enfants ne peuvent pas toujours comprendre le discours que nous tenons par rapport à l'investissement dans le travail aujourd'hui qui portera ses fruits dans un avenir lointain et incertain.
Donc vouloir raisonner une personne avec ce genre d'arguments ne marche pas toujours, bien souvent cela n'a aucun effet.
Beaucoup d'enfants sont dans le plaisir immédiat, ils ne visualisent les choses que dans les 5 minutes qui suivent ... à quoi bon travailler dans cette perspective ?
Attention, je parlais ici d'enfants, mais nous connaissons tous des adultes qui fonctionnent exactement de la même manière : ils font des actes stupides, ne pensent pas à l'avenir, ne réfléchissent pas aux conséquences de leurs actes.
Donc si des adultes sont ainsi, il faut admettre que beaucoup d'enfants le sont aussi.
le cm1, c'est jeune pour avoir un professeur privé, certain ne sont pas fait, pour les maths, peut être en organisant des jeux, tous le programme du primaire en mathématiques se résume a l'addition, la soustraction, la multiplication et l'étude de forme géométrique.
pour faire retenir, ils faut répéter les choses après 1 jour, 3 jours, 3 semaines et 3 mois.
c'est peut etre un probleme de dicipline, certain n'arrivent pas à se concentrer pour exécuter les choses qu'on leur demande. là, le mieux c'est des corvés de colle.
Ainsi, quand nous sommes confrontés à cette situation d'échec et d'abandon des élèves, quand rien ne marche malgré nos efforts, et quand on sent bien que rien ne marchera, que faire ?
On peut soi-même abandonner si cela nous perturbe trop et nous empêche de dormir. On peut donc se dire qu'on n'est pas fait pour ce boulot, que c'est trop difficile et désespérant.
On peut continuer de lutter, de mettre les bouchées doubles, de tenter de nouvelles approches. Pourquoi pas lorsqu'on est face à un seul élève. Mais face à une classe où on est bien obligé de s'adresser à un groupe et de le faire avancer plus ou moins à la même vitesse, voilà qui devient difficile.
Bravo à ceux qui ont inventé le terme savant et théorique de "pédagogie différenciée", mais en pratique, on sait bien qu'on ne peut pas faire grand chose, on ne peut pas se diviser en 20 dans une classe pour faire avancer chacun à une vitesse différente.
Les seules choses différentiables sont vraiment minimes et ne résoudront pas les problèmes.
On peut aussi se contenter de faire son boulot normalement, en sachant qu'une certaine partie des élèves ne sont pas "scolaires", dans le sens où ce n'est pas vraiment à l'école, telle qu'elle est conçue, qu'ils ont leur place et qu'ils réussiront.
Et ce n'est pas scandaleux de dire ça, je ne dis pas qu'il fait les abandonner, mais on ne fera pas de miracles.
L'école actuelle est un système d'enseignement de masse, il doit convenir à 80% des élèves. Imaginez une belle courbe de Gauss en cloche : l'école n'est pas faite pour ceux qui se trouvent coincés aux extrémités de la courbe !
Ce qui est difficile quand on connait quelque chose, c'est de se rappeler ce qu'on pouvait en percevoir quand on ne la connaissait pas.
Il m'est arrivé de voir, dans un rang de la classe, un étudiant comprendre le truc, et, d'un coup, le transmettre a toute sa rangée : très vite,et avec des mots que je n'aurait jamais employé. Donc, pour atteindre les 20% restants, - de la courbe de Gauss - peut être faut-il trouver différents points de vue, sur le même sujet, répéter oui, mais à chaque fois avec une approche différente.
Pour ce qui est du découragement ou de la gnaque, ce que j'observe, c'est qu'on est écrasé quand on pense qu'on ne peut pas faire changer les choses qui nous entravent. Au contraire, si on peut sentir l'influence de notre travail, cela redonne de l'énergie.
Merci, donc, Ragadorn, pour nous faire tous avancer sur le sujet !
bonjour,
"il doit convenir à 80% des élèves", il n' y a pas de cours de médecine, d'économie, de psychanalyse ou de technique de vente. ce qui fait que c'est plutôt, classé par secteur, 80% de la population scolaire qui doit savoir ce que sont les 20% inutile. sinon tout le monde ferrais comme leurs parents et nous virerions dans un systèmes de caste ou les donnés professionnelles et les moyens de mise en oeuvre serraient en quelque sorte la propriété des employés.
En maths, c'est un peut bizarre au collèges, les signes de multiplication, la classification des nombres, les axiomes euclidiens ou les fractions (avec zero, ou des nombres inférieur a 1) sont tout d'abord enseigné comme des vérités pour être renié ensuite au lycée. ce qui fait que les 20%, le cas présent, doivent se situer dans l'extrémité haute.
@khar il y a aussi internet maintenant, cela doit simplifier grandement les études des lycéens, ils ont accès à des centaines de sites qui expliquent les cours dont on ne trouvais que des livres assez semblables qui se limite a répéter la définition du cours.
après les critères sont la mémoire, la personnalité et en dernier l'intelligence qui s'accompagne de faculté de critique exacerbé ce qui peut être perçu comme de l'insolence chez certains professeurs.
il faut attendre la faculté, pour que le niveau scolaire atteigne celui de certain jeux vidéos, et la télé aide les élèves à accepter de travailler gratuitement. Par contre, cela a une influence néfaste sur la motivation face à des problèmes long et sur la volonté de faire les choses par eux même.
je m'étonne que personne ne parle de réformer l'orthographe français, 10 années de scolarité sont consacré aux incohérence du dictionnaire, de plus lorsque l'on écrit comme Malarmé on est pas forcement bien noté.
D'ailleurs j'ai écrit "quand à", alors qu'il faut écrire "quant à", comme ça se prononce (miracle !).
Mais comme c'est du français,je ne suis jamais sûre que les mots s'écrivent comme ils se prononcent ...
En plus sur l'île maths on ne peut pas modifier les messages, on ne peut pas corriger les fautes une fois le message envoyé.
c'est l'Europe, époque ou nos langues ne sont plus que latino-scandinave. l'allemand, l'anglais, l'espagnol, l'italien ou le français ne sont que des variante de deux langues, d'ailleurs la forme grammaticale reste la même que le choix des lettres.
je dit cela il y a aussi la grêce, les immigrés arabes dont certain étais français lors de leur naissance.
ils deux formes de reformes, celle qui permette de changer et celles qui permette de conserver. 1990 en pleine crise immobilière , ce fut peut etre une façon d'affirmer l'identité français en périodes de crise persistante et de symptôme manifeste du partis socialiste à résorber le problèmes de chômage ou de déflation.
mais je suis breton et n'est aucune affection pour ce langage qu'est le français, peut être parce que mon père l'enseignât, quoi qu'il en fut, quelque lettre marginalement placé maladroitement peuvent difficilement cautionner les impôts ou les perversions dont peut faire preuve notre capitale.
ce fut surement les mêmes qui défendaient leur droit à percevoir des impôts, et leur seul place officielle devrais être la prison pour avoir, non pas seulement, accepté des lois anti-constitutionnel mais pour les avoir défendu par des moyens totalitaires.
en ce qui concerne les meubles en quitte, les notices en image etc... c'est simplement que sans la police, les crs ou l'armée , il n'y aurais peut pas d'intérêt à payer les gens inutilement pour des méthodes complexes et inefficasse, qui n'ont pour vertu d'entretenir certaine castes ou de maintenir leur salaire.
les américains ont inventé ce concept funeste qui est l'intuitivité de l'instruction, ce qui fait qu'il ne faut pas forcement avoir un bac +8 pour utiliser un engin aussi compliqué que l'ordinateur.
la technologie fut développé dans les années 70, vendu dans les années 80, et de nos jours constitue l'un des éléments de la dette qui justifie la suppression sans compensation au droit à la retraite des 68 tard.
s'ils les cours de math au lycée alors que tout est expliqué sur internet pourquoi voulez vous qu'ils travaillent dans ce domaine. les métiers manuel permettent d'économiser au moins 4 années d'etudes et 5 ans de stages.
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