Bonjour à tous.
Je fais suite à ce fil : Différence entre limite "classique" et limite "épointée" ? dont la discussion commençait à devenir pointue, et ce, afin que les aficionados pour les différents aspects de la notion de limite puissent exprimer leurs différents points de vue : en tant qu'enseignant au lycée, au secondaire, en tant que théoricien, bourbakiste, ZFC-iste etc etc.
Que la fête commence ... et à la limite ... bah ! pas de limite à la fête.
Pour mémoire, il est rappelé ce qui suit :
- Notre ami larrech ouvre le bal avec :
Bonjour !
Il est clair que la notion idéale (celle des bases de filtre) ne peut être introduite pour tout le monde.
.........................................
S'agissant des limites selon les voisinages de je serai enclin à considérer les limites "épointées" :
- la notion me semble plus utile (l'autre est facilement remplacée par "continuité") et fréquente (c'est la seule notion utilisable pour les dérivées)
- quand on écrit personne n'a envie d'ajouter dans l'indice.
........................................
Mais je suis bien conscient d'une difficulté : celle de la composition (elle devient compliquée à gérer) et en particulier l'utilisation des suites dans les espaces métriques (qui est une forme de composition).
A noter qu'on voit beaucoup d'utilisation incorrecte de la composition pour dériver une fonction composée :
le classique
........................................
Bref, compte tenu de la controverse, continuer d'utiliser la notion de limite épointée mais écrire systématiquement . Après tout c'est une obligation d'ajouter ce genre de restriction lorsqu'on veut une limite à droite ou à gauche.
salut
PS : on en avait déjà parler dans un autre post ...
bof ... de la masturbation intellectuelle ... ce qui compte c'est comme le dit D. Perrin la cohérence ...
il ne m'est aucunement génant de considérer la définition de la limite équivalente à celle de la continuité pour laquelle la fonction nulle sur R sauf en 0 où elle vaut 1 n'a pas de limite et de passer à la limite épointée (qui consiste à rajouter la condition restrictive ) et pour laquelle la même fonction à une limite
l'important consiste uniquement à savoir de quoi je parle ...
et éventuellement à modifier cette définition quand je travaille sur des espaces plus généraux ...
Ben après on passe à la limite en composant et trouve en "oubliant" que la limite est obtenue sur les voisinages épointés de ce qui n'est pas garanti pour non injective (prenant plusieurs la valeur sur tout voisinage de )
effectivement ...
et c'est pourquoi il peut être intéressant de commencer à composer avec des suites car alors la seule limite considérée pour la variable n est +oo ... qui est évidemment "épointé" ... puisque par définition on ne l'atteint jamais bien qu'on ne cesse de s'en approcher ...
ce qui est parfois mal concevable dans R et qu'on cherche une limite en une valeur finie où bon nombre d'élèves nous disent : mais 2 il est là-devant moi, je peux y aller ...
ben non y a des cas où on peut pas ...
Vous devez être membre accéder à ce service...
Pas encore inscrit ?
1 compte par personne, multi-compte interdit !
Ou identifiez-vous :