Soit f la fonction numérique définie sur par:
1/ a. montrer que pour tout (x;y)2:
(déjà montré)
b. Montrer que f est strictement croissante sur (déjà fait).
c.Montrer que l'équation f(x)=3 admet au plus une solution dans .
2/On considère la fonction g définie sur l'intervalle I=]-;10] par:
a.Etudier les variations de g sur I. (déjà fait)
b.En déduire que l'équation f(x)=g(x) admet une solution unique dans m'intervalle I (Je sais que cette solution est (1) mais je ne sais pas comment raisonner, je crois que ça a une relation avec les variations des deux fonctions f et g).
3/ Soit h la fonction définie sur *+ par:
a.vérifier que: (x
*+
(déjà fait)
b.En déduire la monotonie de la fonction h sur [/smb]*+ .
Pour la question 1/ c:
je ne sais pas laquelle de ces deux méthodes est la juste: Utiliser les variations de la fonction f pour raisonner ou démontrer que la fonction est injective (mais l'injection n'est-elle pas propre aux applications? est-il juste de montrer qu'une fonction est injective en suivant la même méthode ?)
Pour la question 3/b:
Je sais qu'il s'agit de l'étude des variations d'une fonction composée mais d'où commencer??
Merci d'avance.
Bonsoir
On montre qu'une fonction est injective de la même façon, puisqu'une fonction est une application, du moins à ton niveau il n'y a aucune différence
En revanche, c'est la surjectivité qui assure l'unique solution de f(x)=3. Mais ce n'est pas préférable de l'utiliser ici, le corollaire du TVI suffit (en fait, il montre que la fonction est surjective, donc..)
pour la 2b), pareil, corollaire du tvi, normalement au lycée on ne parle pas de surjectivité etc
Pour la 3)b) c'est une composition de fonctions monotones, pas besoin d'aller plus loin
Oui j'ai pensé au théorème des valeurs intermédiaires, mais on n'a pas encore étudié la continuité d'une fonction ni le théorème.
Mais n'est-elle pas une application injective celle que chaque x appartenant à I admet au plus une solution, pour une application surjective, c'est au moins une solution?
Si f est une application d'un espace de départ D dans un espace d'arrivée A
On dit qu'elle est injective si dès qu'on a deux éléments distincts de A, leurs images par f seront distinctes. En gros elle ne crée pas de doublon
On dit aussi que tout d de D a au maximum un seul antécédent, mais c'est généralement moins pratique à vérifier
On dit qu'elle est surjective si elle parcourt tout l'espace d'arrivée, en gros f(A)=D, c'est à dire que tout d de D a au moins un antécédent
D'accord, merci pour l'explication , mais que faire avec le corollaire du tvi? Je dois résoudre l'exercice en se basant du cours?
Si je te dis corollaire du TVI, tu dois vérifier que ta fonction vérifie bien ses hypothèse et ensuite tu tires les conclusions de ce corollaire
D'ailleurs dans mon premier message je me suis trompé, il faut que la fonction soit bijective (injective et surjective) pour avoir l'unicité de la solution de f(x)=3
Mais encore une fois, le corollaire du tvi assure qu'elle est bijective
Vous n'avez pas compris ma question, j'ai dit qu'on n'a pas encore étudié ce théorème ni la continuité, donc je ne peux pas résoudre l'exercice en l'utilisant. Ne y a-t-il pas une autre méthode? En se servant par exemple des variations?
En utilisant le fait que f est croissante, et que ses limites sont -infini et +infini, ça suffit à le dire, mais ça revient à utiliser le TVI... Sinon, en utilisant les variations, mais encore une fois, c'est le TVI
Voilà, sinon, ce que je propose : supposer qu'il existe une solution a telle que f(a)=3, et montrer qu'aucune autre solution ne peut exister après a et avant a, parce que f est croissante
je me suis mal exprimé, je voulais dire traiter la fonction h(x)=f(x)-g(x) de la même façon que tu as fait pour f, étude de variation etc montrer qu'elle est croissante
Pour la question 1)c), tu as fait comme j'ai dit ci-dessus ? ou tu as fait autrement ?
f (x)=f (y) x3+x2+x=y3+y2+y
x3-y3+x2-y2+x-y=0
(x-y)(x2+yx+y2)+(x+y)(x-y)+(x-y)=0
(x-y)(x2+xy+y2+x+y+1)=0
x-y=0 ou (x2+xy+y2+x+y+1)=0 or (x2+xy+y2+x+y+1)>0 (comme on a montré dans la question 1/b ) d'où: x-y=0
x=y
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