L'usage de la calculatrice avec mode examen actif est autorisé.
L'usage de la calculatrice sans mémoire « type collège » est autorisé.
Le candidat traite 4 exercices : les exercices 1, 2 et 3 communs à tous les candidats et un seul
des deux exercices A ou B.
Le candidat est invité à faire figurer sur la copie toute trace de recherche, même incomplète ou
non fructueuse, qu'il aura développée.
La qualité de la rédaction, la clarté et la précision des raisonnements seront prises en compte dans
l'appréciation de la copie. Les traces de recherche, même incomplètes ou infructueuses, seront
valorisées.
4 points
exercice 1 commun à tous les candidats
Cet exercice est un questionnaire à choix multiples. Pour chacune des questions suivantes, une seule
des quatre réponses proposées est exacte. Une réponse exacte rapporte un point. Une réponse
fausse, une réponse multiple ou l'absence de réponse à une question ne rapporte ni n'enlève de
point. Pour répondre, indiquer sur la copie le numéro de la question et la lettre de la réponse choisie.
Aucune justification n'est demandée.
L'espace est rapporté à un repère orthonormé (O ; , , ).
On considère :
La droite D passant par les points A(1; 1; -2)
et B(-1;3; 2).
La droite D ' de représentation paramétrique :
Le plan P d'équation cartésienne où m est un nombre réel.
Question 1 : parmi les points suivants, lequel appartient à la droite D ' ? a. M1 (-1; 3; -2)b. M2 (11; -9; -22)
c. M3 (-7; 9; 2)d. M4 (-2; 3; 4)
Question 2 : Un vecteur directeur de la droite D ' est : a. b. c. d.
Question 3 : Les droites D et D ' sont : a. sécantes b. strictement parallèles
c. non coplanaires d.
confondues
Question 4 : La valeur du réel m pour laquelle la droite D est parallèle au plan P est :
a. m = -1 b. m = 1
c. m = 5 d. m = -2
6 points
exercice 2 commun à tous les candidats
Dans cet exercice, les résultats des probabilités demandées seront, si nécessaire, arrondis au
millième.
La leucose féline est une maladie touchant les chats ; elle est provoquée par un virus.
Dans un grand centre vétérinaire, on estime à 40 % la proportion de chats porteurs de la maladie.
On réalise un test de dépistage de la maladie parmi les chats présents dans ce centre vétérinaire.
Ce test possède les caractéristiques suivantes.
Lorsque le chat est porteur de la maladie, son test est positif dans 90 % des cas.
Lorsque le chat n'est pas porteur de la maladie, son test est négatif dans 85 % des cas.
On choisit un chat au hasard dans le centre vétérinaire et on considère les événements suivants : M :"Le chat est porteur de la maladie" ; T : "Le test du chat est positif" ;
désignent les événements contraires des événements M et T respectivement.
1. a. Traduire la situation par un arbre pondéré. b. Calculer la probabilité que le chat soit porteur de la maladie et que son test soit positif. c. Montrer que la probabilité que le test du chat soit positif est égale à 0,45. d. On choisit un chat parmi ceux dont le test est positif. Calculer la probabilité qu'il soit porteur de
la maladie.
2. On choisit dans le centre vétérinaire un échantillon de 20 chats au hasard. On admet que l'on
peut assimiler ce choix à un tirage avec remise.
On note X la variable aléatoire donnant le nombre de chats présentant un test positif dans
l'échantillon choisi. a. Déterminer, en justifiant, la loi suivie par la variable aléatoire X. b. Calculer la probabilité qu'il y ait dans l'échantillon exactement 5 chats présentant un test positif. c. Calculer la probabilité qu'il y ait dans l'échantillon au plus 8 chats présentant un test positif. d. Déterminer l'espérance de la variable aléatoire X et interpréter le résultat dans le contexte de
l'exercice.
3. Dans cette question, on choisit un échantillon de n chats dans le centre, qu'on assimile encore à
un tirage avec remise. On note pn la probabilité qu'il y ait au moins un chat présentant un test positif
dans cet échantillon. a. Montrer que b. décrire le rôle du programme ci-dessous écrit en langage Python, dans lequel la variable n est un entier naturel et la variable P
un nombre réel.
c. Déterminer, en précisant la méthode employée, la valeur envoyée par ce programme.
5 points
exercice 3 commun à tous les candidats
On considère la suite (un) définie par : u0 = 1 et, pour tout entier naturel n,
1. La copie d'écran ci-dessus présente les
valeurs, calculées à l'aide d'un tableur, des
termes de la suite (un ) pour n variant de 0 à
12, ainsi que celles du quotient (avec,
pour les valeurs de un, affichage de deux
chiffres pour les parties décimales.)
A l'aide de ces valeurs, conjecturer
l'expression de en fonction de n.
Le but de l'exercice est de démontrer cette
conjecture (question 5.), et d'en déduire la
limite de la suite (un ) (question 6.).
2. Démontrer par récurrence que, pour tout entier naturel n, on a : un > 0.
3. Démontrer que la suite (un ) est décroissante.
4. Que peut-on conclure des questions 2. et 3. concernant la suite (un ) ?
5. On considère la suite (vn ) définie pour tout entier naturel n par :
Démontrer que (vn ) est une suite arithmétique. Préciser sa raison et son premier terme.
En déduire, pour tout entier naturel n, l'expression de vn en fonction de n.
6. Déterminer, pour tout entier naturel n, l'expression de un en fonction de n.
En déduire la limite de la suite (un ).
5 points
exercice Au choix du candidat
Le candidat doit traiter un seul des deux exercices A ou B.
Il indique sur sa copie l'exercice choisi : exercice A ou exercice B.
Pour éclairer son choix, les principaux domaines abordés dans chaque exercice sont indiqués
dans un encadré.
Exercice A
Partie I
On désigne par h la fonction définie sur l'intervalle ]0; + [ par :
On admet que la fonction h est dérivable sur ]0; + [ et on note h ' sa fonction dérivée.
1. Déterminer les limites de h en 0 et en + .
2. Montrer que, pour tout nombre réel x de ]0; + [ ,
3. En déduire les variations de la fonction h sur l'intervalle ]0; + [ .
4. Montrer que l'équation h( x ) = 0 admet une solution unique appartenant à ]0; + [ et vérifier que
5. Déterminer le signe de h(x) pour x appartenant à ]0; + [ .
Partie II
On désigne par f1 et f2 les fonctions définies sur ]0; + [ par :
On note C1 et C2 les représentations graphiques respectives de f1 et f2 dans un repère (O; , ).
1. Montrer que, pour tout réel x appartenant à ]0; + [ , on a :
2. Déduire des résultats de la Partie I la position relative des courbes C1 et C2 . On justifiera que
leur unique point d'intersection a pour coordonnées ( ; ).
On rappelle que est l'unique solution de l'équation h( x ) = 0.
Exercice B
Partie I
On donne ci-dessous, dans le plan rapporté à un repère orthonormé, la courbe représentant la
fonction dérivée d'une fonction dérivable sur R.
A l'aide de cette courbe, conjecturer, en justifiant les réponses :
1. Le sens de variation de la fonction f sur R. 2. La convexité de la fonction f sur R.
Partie II
On admet que la fonction f mentionnée dans la Partie I est définie sur R par :
On note C la courbe représentative de f dans un repère (O; , ).
On admet que la fonction f est deux fois dérivable sur R, et on note f ' et f '' les fonctions dérivées première et seconde de f respectivement.
1. Montrer que, pour tout réel x ,
En déduire la limite de f en + .
Justifier que la courbe C admet une asymptote que l'on précisera.
On admet que
2. a. Montrer que, pour tout nombre réel x, b. Etudier les variations sur R de la fonction f et dresser son tableau de variations. c. Montrer que l'équation f ( x ) = 2 admet une unique solution sur l'intervalle [-2 ; -1] dont on donnera une valeur approchée à 10-1 près.
3. Déterminer, pour tout nombre réel x , l'expression de f '' (x ) et étudier la convexité de la fonction f . Que représente pour la courbe C son point A d'abscisse 0 ?
Bac général Spécialité Maths 2021 Métropole Candidat libre (2)
Partager :
4 points
exercice 1 - Commun à tous les candidats
L'espace est rapporté à un repère orthonormé
On considère :
La droite D passant par les points A (1 ; 1 ; -2) et B (-1 ; 3 ; 2).
La droite D' de représentation paramétrique :
Le plan P d'équation cartésienne où m est un nombre réel.
Question 1 : Le point appartient à la droite D' .
En effet, remplaçons t par 5 dans les équations paramétriques de D' .
D'où le point appartient à la droite D' .
Par conséquent, l'affirmation b. est correcte.
Question 2 : Un vecteur directeur de la droite D' est
En effet, les coordonnées du vecteur directeur de D' se retrouvent dans la représentation paramétrique de D' .
Par conséquent, l'affirmation c. est correcte.
Question 3 : Les droites D et D' sont confondues.
Un vecteur directeur de la droite D est
Un vecteur directeur de la droite D' est (voir question 2)
Or
Puisque les composantes de ces vecteurs sont proportionnelles, ces vecteurs directeurs des droites D et D' sont colinéaires.
D'où les droites D et D' sont parallèles.
Déterminons si ces droites sont strictement parallèles ou confondues en déterminant si par exemple, le point B (-1 ; 3 ; 2) de la droite D appartient ou n'appartient pas à la droite D' .
Dans la représentation paramétrique de D' , remplaçons x , y et z respectivement par -1, 3 et 2 et vérifions si le système obtenu est compatible.
Le système étant compatible (puisque la solution est t = 1), le point B (-1 ; 3 ; 2) de la droite D appartient à la droite D' .
D'où, les droites D et D' sont parallèles confondues.
Par conséquent, l'affirmation d. est correcte.
Question 4 : La valeur du réel m pour laquelle la droite D est parallèle au plan P est m = 5.
Nous savons que tout plan dont une équation cartésienne est de la forme ax + by + cz + d = 0 admet un vecteur normal
Donc un vecteur normal au plan P est
Nous avons également montré dans la question 3. qu'un vecteur directeur de la droite D est
La droite D est parallèle au plan P si les vecteurs et sont orthogonaux.
Par conséquent, l'affirmation c. est correcte.
6 points
exercice 2 - Commun à tous les candidats
1. a) Dans un grand centre vétérinaire, on estime à 40 % la proportion de chats porteurs de la maladie.
On réalise un test de dépistage de la maladie parmi les chats présents dans ce centre vétérinaire.
Ce test possède les caractéristiques suivantes.
Lorsque le chat est porteur de la maladie, son test est positif dans 90 % des cas.
Lorsque le chat n'est pas porteur de la maladie, son test est négatif dans 85 % des cas.
Arbre pondéré représentant la situation.
1. b) Nous devons déterminer
Par conséquent, la probabilité que le chat soit porteur de la maladie et que son test soit positif est égale à 0,36.
1. c) Nous devons déterminer
Les événements et forment une partition de l'univers.
En utilisant la formule des probabilités totales, nous obtenons :
Par conséquent, la probabilité que le test du chat soit positif est égale à 0,45.
1. d) Nous devons déterminer
D'où, la probabilité que le chat soit porteur de la maladie sachant que son test est positif égale à 0,8.
2. a) Lors de cette expérience, on répète 20 fois des épreuves identiques et indépendantes.
Chaque épreuve comporte deux issues :
Succès : "le test du chat est positif" dont la probabilité est p = 0,45 (voir question 1c).
Echec : "le test du chat est négatif" dont la probabilité est 1 - p = 1 - 0,45 = 0,55.
La variable aléatoire X compte le nombre de chats présentant un test positif, soit le nombre de succès à la fin de la répétition des épreuves.
D'où la variable aléatoire X suit une loi binomiale de paramètre p = 0,45 et n = 20.
2. b) Nous devons déterminer
Par conséquent, la probabilité qu'il y ait dans l'échantillon exactement 5 chats présentant un test positif est environ égale à 0,036 (valeur arrondie au millième).
2. c) Nous devons déterminer
Par la calculatrice, nous obtenons
D'où, la probabilité qu'il y ait dans l'échantillon au plus 8 chats présentant un test positif est environ égale à 0,414 (valeur arrondie au millième).
2. d) L'espérance
Donc nous pouvons estimer que sur un nombre élevé d'échantillons de 20 chats, chaque échantillon contient en moyenne 9 chats présentant un test positif.
3. a) Nous devons déterminer
L'événement contraire de l'événement "au moins un chat présente un test positif" est "aucun chat ne présente de test positif".
Donc
3. b) Le programme suivant, écrit en langage Python, renvoie après son exécution la plus petite valeur de l'entier naturel n pour laquelle pn 0,99.
3. c) Résolvons l'inéquation
D'où la plus petite valeur de l'entier naturel n vérifiant l'inégalité est n = 8.
Par conséquent, la valeur envoyée par le programme est 8.
5 points
exercice 3 - Commun à tous les candidats
Considérons la suite (un ) définie par :
1. Nous pouvons conjecturer que pour tout entier n , nous avons la relation
2. Démontrons par récurrence que pour tout entier naturel n , nous avons :
Initialisation : Montrons que la propriété est vraie pour n = 0, soit que :
C'est une évidence puisque
Donc l'initialisation est vraie.
Hérédité : Montrons que si pour un nombre naturel n fixé, la propriété est vraie au rang n , alors elle est encore vraie au rang (n +1).
Montrons donc que si pour un nombre naturel n fixé, , alors
En effet,
Donc l'hérédité est vraie.
Puisque l'initialisation et l'hérédité sont vraies, nous avons montré par récurrence que, pour tout entier naturel n ,
3. Montrons que la suite (un ) est décroissante.
Pour tout entier naturel n ,
Par conséquent, la suite (un ) est décroissante.
4. Des questions 2. et 3., nous pouvons déduire que la suite (un ) est décroissante et minorée par 0.
D'où la suite (un ) est convergente.
5. On considère la suite (vn ) définie pour tout entier naturel n par :
Montrons que la suite (vn ) est une suite arithmétique.
Pour tout entier naturel n ,
Par conséquent, la suite (vn ) est une suite arithmétique de raison r = 1 dont le premier terme est v0 = 4.
Le terme général de la suite (vn ) est .
Donc, pour tout n 0,
5 points
exercice au choix du candidat
Le candidat doit traiter un seul des deux exercices A ou B.
exercice A
Partie I
On désigne par h la fonction définie sur l'intervalle ]0; +[ par :
On admet que la fonction h est dérivable sur ]0; +[ et on note h' sa fonction dérivée.
2. Déterminons l'expression de h' (x ).
3. Puisque x3 est strictement positif sur ]0; +[, le signe de f' (x ) est le signe de (1 - 2ln(x )).
Nous en déduisons le tableau de variations de la fonction h sur l'intervalle ]0 ; +[.
D'où, la fonction h est strictement croissante sur l'intervalle
strictement décroissante sur l'intervalle
4.Sur l'intervalle
La fonction h est définie sur l'intervalle h est continue sur cet intervalle car elle est dérivable sur h est strictement croissante sur
et
Selon le corollaire du théorème des valeurs intermédiaires, nous déduisons que l'équation h (x ) = 0 possède une et une seule solution notée dans l'intervalle
Sur l'intervalle La fonction h est strictement décroissante sur
et
D'où h (x ) > 0 sur l'intervalle
Par conséquent, nous en déduisons que l'équation h (x ) = 0 possède une et une seule solution notée dans l'intervalle ]0; +[.
A l'aide de la calculatrice, nous obtenons : et h (1) = 1 > 0.
D'où
5. En utilisant les résultats des questions 3. et 4., nous pouvons établir le tableau de signes de h (x ).
D'où
Partie II
On désigne par f1 et f2 les fonctions définies sur ]0; +[ par :
1. Pour tout réel x appartenant à ]0; +[,
2. En utilisant les résultats de la question 5 (Partie I), nous déduisons que :
Puisque est l'unique solution de l'équation h (x ) = 0, nous en déduisons que est l'abscisse de l'unique point d'intersection entre les courbes C1 et C2.
Déterminons l'ordonnée de ce point d'intersection.
Par conséquent, l'unique point d'intersection des courbes C1 et C2 a pour coordonnées ( ; ).
exercice B
Partie I
On donne ci-dessous, dans le plan rapporté à un repère orthonormé, la courbe représentant la fonction dérivéef ' d'une fonction f dérivable sur .
1. Graphiquement, nous observons que f' (x ) > 0 si x ]- ; -1[ et f' (x ) < 0 si x ]-1 ; +[.
Donc la fonction f est croissante sur l'intervalle ]- ; -1[ et décroissante sur l'intervalle ]-1 ; +[.
2. Graphiquement, nous observons que la fonction f' est décroissante sur l'intervalle ]- ; 0[ et est croissante sur l'intervalle ]0 ; +[.
Donc la fonction f est concave sur l'intervalle ]- ; 0[ et convexe sur l'intervalle ]0 ; +[.
Partie II
On admet que la fonction f est définie sur par :
1. Pour tout réel x ,
Nous en déduisons que la courbe C admet une asymptote horizontale en + dont l'équation est y = 0 (axe des abscisses).
On admet que
2. a) Déterminons l'expression de f' (x ).
2. b) Etudions le signe de f' (x ) sur .
Puisque l'exponentielle est strictement positive sur , le signe de f' (x ) est le signe de (-x - 1).
Nous en déduisons le tableau de variations de la fonction f sur l'intervalle .
2. c) La fonction f est continue et strictement croissante sur l'intervalle [-2 ; -1].
Selon le corollaire du théorème des valeurs intermédiaires, l'équation f (x ) = 2 admet une unique solution sur l'intervalle [-2 ; -1].
Avec l'aide du tableur de la calculatrice, nous obtenons : f (-1,6) 1,98 < 2 et f (-1,5) 2,24 > 2.
D'où une valeur approchée à 10-1 près de la solution de l'équation f (x ) = 2 est -1,6.
3. La convexité de la fonction f se détermine par le signe de la dérivée seconde f'' (x ).
Puisque l'exponentielle est strictement positive sur , le signe de f'' (x ) est le signe de x .
Dès lors,
Si x < 0, alors f'' (x ) < 0.
Si x > 0, alors f'' (x ) > 0.
Par conséquent, la fonction f est concave sur ]- ; 0[ et est convexe sur ]0 ; +[.
Au point A d'abscisse 0, la dérivée seconde s'annule en changeant de signe.
D'où le point A est un point d'inflexion.
Publié par malou
le
ceci n'est qu'un extrait
Pour visualiser la totalité des cours vous devez vous inscrire / connecter (GRATUIT) Inscription Gratuitese connecter
Merci à Hiphigenie / malou pour avoir contribué à l'élaboration de cette fiche
Désolé, votre version d'Internet Explorer est plus que périmée ! Merci de le mettre à jour ou de télécharger Firefox ou Google Chrome pour utiliser le site. Votre ordinateur vous remerciera !