1. La durée totale moyenne d'un appel au standard téléphonique se calcule par E(X + Y).
D'où la durée totale moyenne d'un appel au standard téléphonique est de 146 s, soit 2 min 26 s.
2. a. Puisque 2 min = 120 s, nous devons déterminer
Par conséquent, la probabilité pour qu'un étudiant choisi au hasard soit mis en attente plus de 2 min est égale à 0,091 (arrondie au millième).
2. b. Nous devons déterminer
La variable aléatoire Y suit la loi normale d'espérance = 96.
Par conséquent, la probabilité pour que le temps d'échange avec le conseiller soit inférieur à 90 secondes est égale à 0,409 (arrondie au millième).
3. Une loi exponentielle est une loi à durée de vie sans vieillissement.
Dès lors,
Par conséquent, le fait de raccrocher puis de rappeler n'augmente pas les chances de l'étudiante de limiter à 30 secondes l'attente supplémentaire.
3 points
exercice 2 : Commun à tous les candidats
1.
D'où les formes trigonométrique et exponentielle de 1 + i sont
1 - i est le conjugué de 1 + i.
D'où les formes trigonométrique et exponentielle de 1 - i sont
2.
2. a) Déterminons la forme trigonométrique de Sn .
Nous constatons que Sn est un nombre réel.
Ce nombre réel peut être positif ou négatif suivant les valeurs de n .
Si n = 8k ou n = 8k + 1 ou n = 8k + 7 avec k , alors
Dans ce cas, la forme trigonométrique de Sn est
Si n = 8k + 3 ou n = 8k + 4 ou n = 8k + 5 avec k , alors
Dans ce cas, la forme trigonométrique de Sn est
Si n = 8k + 2 ou n = 8k + 6 avec k , alors et par conséquent
2. b) Affirmation A : "Pour tout entier naturel n, le nombre complexe Sn est un nombre réel."
Affirmation vraie car nous avons montré dans l'exercice 2.a) que qui est un nombre réel.
Affirmation B : ": Il existe une infinité d'entiers naturels n tels que Sn = 0."
Affirmation vraie car nous avons montré dans l'exercice 2.a) que , soit que
Puisque k parcourt l'ensemble des nombres naturels, il existe une infinité d'entiers naturels n tels que Sn = 0.
4 points
exercice 3 : Commun à tous les candidats
1. a) Au début de l'opération, t = 0.
Donc
Les coordonnées du sous-marin au début de l'observation sont S1(0):(140 ; 105 ; -170).
1. b) Pour déterminer la vitesse du sous-marin, calculons la distance parcourue durant la première minute.
Nous savons que les coordonnées du sous-marin au début de l'observation sont S1(0):(140 ; 105 ; -170).
Après 1 minute, les coordonnées du sous-marin seront celles de S1(1).
Après 1 minute, les coordonnées du sous-marin sont S1(1):(80 ; 15 ; -200).
On en déduit que la distance (en mètres) parcourue durant la première minute est
Puisque la vitesse du sous-marin est constante, nous en déduisons que sa vitesse est égale à (arrondie au centième).
2. Nous nous plaçons dans le plan vertical contenant la trajectoire du premier sous-marin.
Déterminons l'angle que forme la trajectoire du sous-marin avec le plan horizontal, soit avec le plan d'équation
Nous connaissons les coordonnées de deux points de la trajectoire : S1(0):(140 ; 105 ; -170) et S1(1):(80 ; 15 ; -200).
Soit H le projeté orthogonal de S1(1) sur le plan ().
Les coordonnées du point H sont alors (80 ; 15; -170).
Nous devons déterminer la mesure de l'angle
Dans le triangle rectangle en H,
3. Nous avons
Puisque ce second sous-marin de déplace en ligne droite à vitesse constante, la vitesse de sa cote est égale à
La cote initiale étant égale à -68, nous déduisons alors que sa cote à l'instant t est donnée par l'expression
Les deux sous-marins seront à la même profondeur lorsque t vérifiera la relation
Par conséquent, les deux sous-marins seront à la même profondeur au bout de 3,4 min, soit 3 min 24 s.
5 points
exercice 4 : Commun à tous les candidats
2. L'énoncé indique que pour tout entier n > 0, la fonction fn admet un maximum sur l'intervalle [1 ; 5].
Soit An (xn ; yn ) le point de la courbe Cn ayant pour ordonnée ce maximum.
Dès lors, xn est la solution de l'équation
D'où les coordonnées du point An sont
Ces coordonnées sont de la forme
Par conséquent, tous les points An appartiennent à une même courbe d'équation
3. a) La fonction logarithme est strictement croissante sur l'intervalle [1 ; 5].
En divisant les trois membres de ces inégalités par xn > 0, nous obtenons
3. b) Soit la fonction g définie sur l'intervalle [1 ; 5] par
Une primitive de la fonction g sur l'intervalle [1 ; 5] est la fonction G définie par
Dès lors,
3. c. Puisque la fonction fn est positive, l'aire cherchée est
En utilisant les résultats des questions 3a) et 3b), nous obtenons :
Par conséquent,
5 points
exercice 5 : Candidats n'ayant pas suivi l'enseignement de spécialité
1. Arbre pondéré représentant la situation :
Nous devons déterminer p2 = P (G2 ).
En utilisant la formule des probabilités totales, nous avons :
2. Le raisonnement est analogue à celui de l'alinéa précédent.
Arbre pondéré représentant la situation :
Nous devons déterminer pn+1 = P (Gn+1 ).
En utilisant la formule des probabilités totales, nous avons :
3 A la lecture du tableau, nous pouvons conjecturer que
4.
4. a) Pour nous entier naturel n non nul, nous avons :
Par conséquent, la suite (un ) est une suite géométrique de raison et dont le premier terme est
4. c)
Interprétation : A long terme, le joueur gagnera avec une probabilité égale à 0,4.
5 points
exercice 5 : Candidats ayant suivi l'enseignement de spécialité
1. Algorithme complété :
2.
3. a) Par l'énoncé, nous savons que
Par conséquent, en identifiant les résultats, nous obtenons :
3. b) Soit un entier r divisant les entiers ap et aq .
Nous avons alors :
D'où
Nous avons ainsi montré que r divise ap+q .
3. c) Démontrons par récurrence que pour tout entier naturel n non nul, ap divise anp .
Initialisation : La propriété ap divise anp est évidemment vraie pour n = 1 car ap divise a1p .
Hérédité : Montrons que si pour une valeur de n fixée, la propriété est vraie au rang n , alors elle est encore vraie au rang n +1.
Supposons donc que ap divise anp et montrons que ap divise a(n+1)p .
En effet, ap divise anp par hypothèse et ap divise ap .
En utilisant la question 3. b), nous en déduisons que ap divise anp+p , soit que ap divise a(n+1)p .
L'hérédité est donc vraie.
Puisque l'initialisation et l'hérédité sont vraies, nous avons démontré par récurrence que pour tout entier naturel n non nul, ap divise anp .
4. a) Soit n un entier supérieur ou égal à 5 qui n'est pas premier.
Il existe alors deux entiers naturels non nuls p et q tels que n = pq .
D'après la question 3. c, ap divise apq , soit ap divise an .
Montrons que ap 1.
Puisque n un entier supérieur ou égal à 5, au moins un des deux nombres p ou q est strictement supérieur à 2.
Supposons alors p > 2.
La suite (an ) est strictement croissante à partir du rang 2.
Dès lors, p > 2 ap > a2, soit ap > 1.
Cela implique donc que ap 1.
En conclusion, puisque ap divise an et que ap 1, nous avons montré que an n'est pas un nombre premier.
4. b)
La réciproque de la propriété obtenue dans la question 4. a) s'énoncerait comme suit : Soit n un entier supérieur ou égal à 5.
Si an n'est pas premier, alors n n'est pas premier.
Cette réciproque est fausse puique a19 n'est pas premier alors que 19 est premier.
Publié par malou
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