1. a) G est le barycentre des points pondérés (A,4), (B,-1) et (D,-1).
En vertu du théorème de réduction d'une somme vectorielle, nous déduisons que pour tout point M du plan,
Dans le cas où M = A, nous obtenons :
Par conséquent, le point A est le milieu du segment [KG].
1. b. Les diagonales d'un carré sont perpendiculaires.
D'où les droites (AC) et (DB) sont perpendiculaires en K.
Puisque G est un point de la droite (AC) et B est un point de la droite (DB), nous en déduisons que le triangle GKB est rectangle en K.
Par Pythagore, nous avons :
Or GK = 2AK car A est le milieu du segment [GK]
2AK = AC car K est le milieu de la diagonale [AC] du carré ABCD.
Donc GK = AC.
Par suite, GK² = AC²
= AB² + BC² (car le triangle ABC est rectangle en B)
= 3² + 3² = 9 + 9
= 18.
D'où GK² = 18.
De plus, KB = ½ DB car K est le milieu de la diagonale [DB] du carré ABCD.
1. c) Les diagonales d'un carré sont perpendiculaires.
D'où les droites (AC) et (DB) sont perpendiculaires.
Les triangles GKD et GKB sont donc rectangles.
Ces triangles sont isométriques car le côté [GK] est commun et KD = KB car K est le milieu du carré ABCD.
D'où les hypoténuses [GD] et [GB] de ces triangles ont la même longueur.
Par conséquent, GB = GD.
1. d) Transformons l'expression 4MA² - MB² - MD².
Or G est le barycentre des points pondérés (A,4), (B,-1) et (D,-1)
D'où,
Nous en déduisons que :
Par conséquent, l'ensemble (1) est un cercle de centre G et de rayon (voir figure ci-dessous)
2. a) E est le milieu du segment [BC]
Par le théorème de Pythagore dans le triangle rectangle ABE,
2. b) Pour tout point M du plan,
2. c) En utilisant la relation démontrée en 2.b), nous obtenons :
.
Soit le point M', projection orthogonale du point M sur la droite (AE).
Dans ce cas,
Dès lors,
Puisque , les vecteurs et ont le même sens.
En outre, et .
Nous en déduisons que le point E est le milieu du segment [AM']
En tenant compte de la définition du point M', nous pouvons conclure que l'ensemble (2) des points M du plan tels que , est la droite perpendiculaire à la droite (AE) passant par le point M' appartenant à la droite (AE) tel que , c'est-à-dire tel que le point E soit le milieu du segment [AM']. (voir figure ci-dessous)
exercice 2
On considère un entier naturel m dont l'écriture dans le système décimal est
Donc,
Partie A
1. Soit l'entier naturel m = 121.
Écrivons m en base 2.
D'où, l'écriture de m en base 2 est : 1111001.
2. On suppose que
Nous en déduisons que l'entier est divisible par 27.
Partie B
Dans cette partie, on suppose que : a > c .
2. Montrons que d = 99u ne peut être le carré d'un entier naturel.
Nous savons que 99 = 32 11.
Donc d = 32 11 u
Pour que d soit un carré parfait, deux cas sont à envisager :
ou bien u = 0, ce qui est impossible car u = a - c avec a > c implique que u 0.
ou bien u est une puissance impaire de 11.
La plus petite puissance impaire de 11 est u = 11.
Cette valeur de u et les autres puissance impaires de 11 ne conviennent pas car a et c sont inférieurs à 9 et par conséquent u = a - cest inférieur à 9.
Par conséquent, l'entier naturel d ne peut être le carré d'un entier naturel.
3. On suppose que b = a + c.
3. ii )m = 11(10a + c ) m est un multiple de 11. d = 99u = 11 9ud est un multiple de 11.
Dès lors, 11 est un diviseur commun de m et de d .
Par conséquent, m et d ne sont pas premiers entre eux.
4. On suppose que a = b + c.
Si b = 0, alors
Dès lors, m et d ont au moins deux diviseurs communs : 1 et m .
Par conséquent, si b = 0, m n'est pas premier avec d .
Si c = 0, alors m = 110b + 1010 m = 110b .
D'où m est un multiple de 11.
Or d = 32 11b et donc, d est un multiple de 11.
D'où, si c = 0, m et d ont au moins deux diviseurs communs : 1 et 11.
Par conséquent, si c = 0, m n'est pas premier avec d .
Supposons que b + c soit divisible par 3.
Or b + c est un multiple de 3 101(b + c) est un multiple de 3.
9b est un multiple de 3.
Dès lors, m est un multiple de 3.
De plus d = 32 11b et donc, d est un multiple de 3.
D'où si b + c est divisible par 3, m et d ont au moins deux diviseurs communs : 1 et 3.
Par conséquent, si b + c est divisible par 3, m n'est pas premier avec d .
Supposons que b et c ne soient pas premiers entre eux.
Dans ce cas, b et c ont un diviseur commun différent de 1, noté k .
Nous avons alors,
Dès lors,
D'où, si b et c ne sont pas premiers entre eux, m et d ont au moins deux diviseurs communs : 1 et k .
Par conséquent, si b et c ne sont pas premiers entre eux, m n'est pas premier avec d .
Nous en déduisons que les entiers naturels m qui sont premiers avec d sont ceux qui vérifient à la fois : b 0, c 0, b + c n'est pas divisible par 3, b et c sont premiers entre eux.
4. iv ) Déterminons tous les entiers naturels m premiers avec d.
Dans le tableau ci-dessous, nous recherchons les valeurs de b et de c vérifiant les critères énoncés dans la question 4 iii ).
Les colonnes représentent les valeurs de b.
Les lignes représentent les valeurs de c.
Par exemple, la case se situant à l'intersection de la colonne 4 et de la ligne 2 correspond à b = 4 et c = 2.
Toutes les cases colorées donnent des valeurs de b et de c à rejeter car elles ne correspondent pas aux critères.
Les cases rouges sont à rejeter car pour ces cases, b + c est divisible par 3, ce qui n'est pas autorisé.
Les cases vertes sont à rejeter car pour ces cases, b et c ne sont pas premiers entre eux.
Les cases bleues sont à rejeter car pour ces cases, a = b + c est supérieur ou égal à 10.
Les cases non colorées donnent des valeurs autorisées pour b et c .
En reprenant du tableau toutes les valeurs de b et de c vérifiant les critères énoncés dans la question 4 iii ) et en sachant que a = b + c, nous obtenons les valeurs de m suivantes : b = 1 et c = 1 m = 211. b = 1 et c = 3 m = 413. b = 1 et c = 4 m = 514. b = 1 et c = 6 m = 716. b = 1 et c = 7 m = 817.
b = 2 et c = 3 m = 523. b = 2 et c = 5 m = 725.
b = 3 et c = 1 m = 431. b = 3 et c = 2 m = 532. b = 3 et c = 4 m = 734. b = 3 et c = 5 m = 835.
b = 4 et c = 1 m = 541. b = 4 et c = 3 m = 743.
b = 5 et c = 2 m = 752. b = 5 et c = 3 m = 853.
b = 6 et c = 1 m = 761.
b = 7 et c = 1 m = 871.
exercice 3 - Problème
Partie A
Soit la fonction f définie sur par :
1. Démontrons que f est une fonction impaire.
Pour tout réel x ,
Nous en déduisons que pour tout réel x , f (-x ) = -f (x ).
Par conséquent, f est une fonction impaire.
signifie que la fonction f n'admet pas d'asymptote horizontale en +.
signifie que la courbe admet une branche parabolique en + de direction (OI).
3. a) Déterminons l'expression de la dérivée f' (x ).
3. b)Pour tout x [0 ; +[, f' (x ) > 0.
3. c) Tableau de variation de f sur [0 ; +[.
4. L'équation réduite de la tangente () à la courbe au point d'abscisse 0 est de la forme , soit de la forme
Par conséquent, l'équation réduite de la tangente () à la courbe au point d'abscisse 0 est
5. Soit la fonction g définie sur par :
Étudions le signe de g' (x ) sur .
Pour tout réel x ,
Nous en déduisons que g' (x ) 0 sur .
Par conséquent, la fonction g est décroissante sur .
5. b) Les positions relatives de et () se déduisent du signe de g (x ).
Or g (0) = 0 + ln(0 + 1) = ln(1) = 0.
En outre, la fonction g est décroissante sur .
D'où si x < 0, alors g (x ) < 0 et
si x > 0, alors g (x ) > 0.
Par conséquent, sur l'intervalle ]- ; 0], la courbe est au-dessus de la droite ().
sur l'intervalle [0 ; +[, la courbe est en dessous de la droite ().
6. Représentation de la courbe et de la droite ().
7. Calcul de l'aire A à l'aide d'une intégration par parties.
Partie B
1. a) La fonction Fn est définie sur car l'ensemble de définition de fn est .
De plus, Fn est continue sur (voir énoncé).
1. b) Montrons que la fonction Fn est impaire.
Pour tout réel x ,
Nous déduisons que pour tout réel x , .
Par conséquent, la fonction Fn est impaire.
D'où, la fonction Fn est croissante sur [0 ; +[.
2. Soit (In) la suite numérique définie par :
Par conséquent, la suite (In) est décroissante.
2. c) La suite (In) est décroissante et minorée par 0.
Toute suite décroissante et minorée est convergente.
Par conséquent, la suite (In) est convergente.
2. d) Pour tout entier naturel n non nul et pour tout nombre réel t positif, nous avons :
2. e) Pour tout entier naturel n non nul, nous avons :
La valeur de I2 s'obtient en remplaçant n par 1 dans l'expression de In +1.
3. a) Appliquons la relation de Chasles (additivité de l'intégrale).
1er cas : x 0.
2ème cas : 0 x 1.
3ème cas : x 1.
Par conséquent,
Par le théorème des comparaisons, nous en déduisons que
Par le théorème des comparaisons, nous en déduisons que
Par conséquent, pour tout entier naturel non nul n , admet une branche parabolique de direction (OJ) en +.
3. e) Représentation de la courbe dans le plan muni du repère orthonormé (O, I, J).
La courbe est la courbe représentative de la fonction F2 définie sur par .
A l'aide de la calculatrice, nous avons établi le tableau de valeurs de la fonction F2 ci-dessous pour quelques valeurs positives de x .
Nous obtenons ainsi les coordonnées de quelques points de la courbe :
(0 ; 0), (0,5 ; 0,006), (1 ; 0,154), (1,5 ; 0,955), (2 ; 3,336), (2,5 ; 8,611), ...
La fonction F2 est impaire (voir question 1. c).
Dès lors, la courbe est symétrique par rapport à l'origine O du repère.
Nous obtenons alors les coordonnées suivantes :
(-0,5 ; -0,006), (-1 ; -0,154), (-1,5 ; -0,955), (-2 ; -3,336), (-2,5 ; -8,611), ...
D'où la représentation de la courbe dans le plan muni du repère orthonormé (O, I, J).
Publié par malou
le
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