bonjour tout le monde,
j'ai un petit exercice, en apparence simple ... mais je n'arrive pas du tout à le faire ... si vous pouviez m'aider ce serait gentil
alors voilà soit n supérieur ou égal à 2. On considère l'équation dans C
(E) : (z-1)n-zn=0
on nous demande pour la première question de montrer que si z est solution alors Re(z)=1/2
j'essaie d'utiliser la furmule du binôme de Newton mais j'ai l'impression que ça ne me mène pas trop loin ... pourriez vous m'aider ? merci
oui en effet c'est beaucoup plus simple comme ça :d
je n'y avais pas vraiment pensé ! :d ... merci beaucoup
si vous pouviez encore m'aider,
je dois aussi résoudre l'équation en donnat z sous la forme x+iy avec x et y réels, mais je ne vois pas comment exploiter ce qu'on vient de montrer auparavant ...
Je pense que tu l'avais vu, mais juste au cas où :
|z| = |z-1|
s'interprète géométriquement comme : le point d'affixe z est à égale distance de l'origine O et de A(1,0) : il est donc sur la médiatrice de [OA], c'est-à-dire la droite réelle x=1/2
Nicolas
oui merci
mais par contre je ne vois pas du tout comment trouver y ... j'essaie aussi de montrer que x=1/2 est une condition suffisante pour que z soit solution, mais ça je n'en suis même pas sûre ...
merci de m'aider
en fait on a d'après l'équation (E) :
(x-1+iy)n=(x+iy)n de plus x=1/2
(iy-1/2)n=(iy+1/2)n
qui est de la forme (a+b)n=(a-b)n
ce qui n'est possible que si b=0, a étant fixé.
au final dans notre équation on obtient : z=1/2 est l'unique solution ... je ne suis pas du tout sûre de ce que j'avance, et en plus je ne sais pas si on peut appliquer ce que j'ai dit sur les (a+b)n à des identités complexes ...
merci de m'éclaircir
basso, tu peux peut-être essayer la piste suivante :
On veut résoudre :
(1/2+iy)n = (-1/2+iy)n
Si tu notes 1/2+iy =
alors -1/2+iy = (place les points sur un dessin)
et continue en polaire...
Pour revenir sur ton "qui est de la forme (a+b)n=(a-b)n
ce qui n'est possible que si b=0, a étant fixé."
Un contre-exemple simple :
(0-2)2 = (0+2)2
Nicolas
Mon raisonnement...
On note
et (1ère question)
et
et
et
mod. et
mod. et et mod. (conséquence directe de x=1/2)
et est l'une des valeurs (mod. ) , , ...,
Nicolas
oui je vois mieux merci
par contre petite question encore ... dans la résolution peut-on passer de la première ligne à la deuxième ligne en utilisant l'équivalence ?
Je dis :
c'est évident
car :
A et B B
ou en d'autres termes :
"si on A est vraie, et en plus B est vraie, alors a fortiori A est vraie"
Nicolas
basso, 2 petits compléments
(1) Terminons proprement le (a+b)n=(a-b)n de tout-à-l'heure
Pour un entier>0 n donné, quels sont les réels a et b vérifiant :
?
Soit f la fonction définie sur telle que . On connait la "forme" de f.
Si n est pair, alors f est strictement décroissante puis strictement croissante, et paire (je ne détaille pas la description).
Si n est impair, f est strictement croissante (je ne détaille pas la description).
(2) Quelles sont les solutions réelles du problème de départ ?
(2a) Première méthode
. On procède comme en (1)
(2b) Seconde méthode
Parmi les solutions complexes trouvées ci-dessus, les seules solutions réelles sont celles d'argument nul (puisqu'on sait déjà que )
Or, pour annuler , il faut et il suffit que :
c'est-à-dire
c'est-à-dire n pair
Alors la solution réelle est z=1/2
Nicolas
Bonjour tout le monde;
une autre façon de faire serait de remarquer que:
( puisque n'est pas solution) donc:
(la valeur étant impossible puisque )
ainsi admet exactement solutions que sont les:
en remarquant que pour :
(cotan désignant la fonction )
on voit alors que les solutions de sont les:
Voilà,j'espére que je n'ai pas écris de bétises
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