Bonjour,
Je voudrais déterminer la matrice n-ième de
J'arrive à
avec K, la matrice avec uniquement des 1 sur la deuxième diagonale, des zeros sinon.
Si cela est juste, on peut pas faire mieux en extrayant le K ?
Skops
Bonjour
Je n'ai pas vraiment fait les calculs, mais sauf erreur K2=I ce qui devrait quand même simpifier...
Bonjour Camelia
Oui, j'avais bien vu ca, j'ai donc tenté de séparer la somme en deux sommes. L'un avec des termes pairs et l'autre avec des termes impairs. Seulement, K^{2k+1}=K et il me reste un K dans un des somme. A cause de cela, je n'arrive pas à réassembler les deux sommes pour n'en faire qu'une
Skops
C'est possible que l'on ne puisse pas faire mieux avec cette méthode! Quique au moins Jn=nJ...
Néanmoins ta matrice m'a l'air en général diagonalisable (c'est vrai pour n=2 et n=3) donc on peut peut-être faire mieux...
Non, il faut faire tout un boulot de vecteurs et valeurs propres... Si tu n'a pas encore vu, ce n'est peut-être pas une bonne idée...
:D
Mais bon, c'est gui_tou qui m'a proposé cet exo, il doit donc avoir une solution adapté en sup
Skops
C'est possible qu'il ait une super-astuce, mais j'avoue que là, à première vue elle ne me saute pas aux yeux! En fait moi j'aurais commencé par écrire M=aJ+bK avec ta K mais avec J ayant des 1 partout sauf sur la seconde diagonale. Mais d'abord je ne suis pas sure que cette J commute avec K, puis ses puissances ne sont peut-être pas si évidentes non plus...
Bonjour.
J'ai également regardé ce sujet.
J'appelle J la matrice dont tous les termes valent 1, K la matrice dont tous les termes sont nuls sauf ceux de la seconde diagonale qui valent 1.
Alors : M = b.J + (a-b).K
De plus, J² = n.J, K² = I, K.J = J.K = J.
Cela signifie que M appartient à la sous-algèbre engendrée par I,J,K.
On peut alors écrire :
Ensuite chercher une relation de récurrence sous forme d'une matrice A d'ordre 3.
Cette matrice est diagonalisable, mais deux des valeurs propres comportent des radicaux (sauf a = b, ou b = 0).
Alors, les calculs semblent fastidieux. Remarquons que les puissances paires et impaires de M ne se comportent pas de la même manière.
Bonjour raymond. C'est bien ce qu'il me semblait... (J'ai fini de lire la dualité III, tu peux valider)
Bonjour Camélia.
Merci vraiment pour cette relecture. C'est vrai que je ne sais pas faire "court", tu as d'autant plus de mérite !
Cordialement RR.
Salut Skops
Une idée ajoute et retranche la matrice scalaire bI
tu auras M=(a-b)J+bK
J est la matrice avec 1 dans la deuxième diagonale et K la matrice toute remplie de 1 (une matrice célèbre qu'on peut calculer facilement sa puissance nième !
Bonjour à tous
On définit et
On exprime A comme combinaison linéaire de N, la matrice dont tous les termes valent 1, et J la matrice dont tous les termes sont nuls sauf ceux de la seconde diagonale qui valent 1.
(désolé Raymond pour les notations, mais j'ai en des différentes )
Bien sûr,
On exprime M comme combinaison linéaire de N et J :
M est une matrice de rang 1, et
( soit on dit : ça se voit, en prenant p=2 ou p=3 ; si on veut une preuve rigoureuse, on revient à avec , avec )
Pour tout k entier naturel, on a
On remarque que
Le binôme de Newton donne alors :
Remarque :
D'où :
Conclusion : pour tout entier naturel n,
Lire N est une matrice de rang 1
et deux lignes après "le binôme donne" : le terme à la fin contient un N^0, pas un M^0.
Sauf nouvelles erreurs
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