Bonsoir,
Soit un espace affine et une partie non vide de .
est un sous-espace affine si et seulement si pour tous distincts on a .
Avec .
Je ne vois pas comment montrer l'inclusion indirecte.
Merci pour vos indications.
Bonsoir Rodrigo,
en fait ce point me bloque:
On note la direction de l'espace affine .
Donc je commence par fixer (qui existe car est non vide).
On veut donc montrer que est un sous-espace vectoriel de .
car (propriété d'action de groupe)
Soient ,, (le corps de base de l'espace ).
Là je ne vois pas comment montrer que .
Pour montrer que c'est ok, vu que (ie ), on a par hypothèse .
Bonjour ;
Si on note alors est un sous espace vectoriel de .
en effet :
-comme , soit alors d'où .
-Si et alors tels que , le point tel que étant sur la droite incluse par hypothèse dans
on a et donc c'est à dire .
-Si alors tels que
Soit le milieu de et tel que
le quadrilatère étant un parrallèlogramme (facile à vérifier) on a
or donc donc et donc .
Si est un point quelconque de alors (facile à vérifier) (sauf erreur bien entendu)
je pars de la définition que est un parallélogramme si .
je ne vois pas comment montrer que la quadrilatère est un parallélogramme.
pour le 2) (post d'Ehlor le 31/01/2008 à 14:48)
Si est un point de , alors .
Soit .
, et . Donc .
Pour l'autre inclusion je vois pas comment faire
Salut romu,
Je pense pas que prouver l'égalité ainsi est la meilleure solution.
Un s.e.a c'est un s.e.v vectoriel qu'on a translaté ok?
Ben, quand tu le translates par rapport à un élément qui est déjà dans le s.e.v fatalement, tu retombes dans ton s.e.v non?
Salut Ayoub,
Bonjour à tous
Je t'assure, romu c'est très bien expliqué ici: Espaces affines
Bonjour Camélia,
je connais déjà un peu toutes ces définitions sur les notions affines, et ma question doit être sûrement ultra-basique, mais il y a quelque chose qui m'échappe.
Je pars comme ça:
Je prends . Par définition de , il existe tel que
,
et de là je ne vois pas quel jeu d'écriture employer pour conclure que ?
Vu les hypothèses, il faut que je trouve un point tel que .
ok, je ne savais pas si j'avais le droit (j'ai vraiment l'impression parfois d'être prisonnier de l'écriture )
En fait comme est un espace affine, l'application qui à associe est bijective, donc il existe un unique tel que .
Reste à voir que et c'est gagné.
ça doit sûrement venir de la définition de Ehlor de , mais j'ai du mal à interpréter cette définition:
A priori, je l'interprétais comme ça:
mais peut être que je devrais plutôt l'interpréter comme ça:
,
à ce moment là ce serait plus direct pour montrer que , après je ne sais pas si ces deux ensembles sont les mêmes.
C'est la première version qui est la bonne (enfin, que l'on prend d'habitude). Le premier ensemble est clairement contenu dans le second (règle du parallélogramme). En revanche le second a un problème de logique. Tu le définis par un , donc tu mets dedans tous les vecteurs pour lesquels on n'a jamais
Ceci étant dit, je vois mal ce qui te trouble. Les axiomes ont été choisis de manière à ce que tout ce passe comme dans la géométrie plane habituelle.
ce qui me dérange, c'est qu'avec cette définition on sait que
pour , il existe un couple de points de tel que .
On sait d'autre part que pour , il existe un unique point de tel que .
Mais ce que je ne vois pas, c'est pourquoi et entrainent que .
je ne vois le cheminement logique caché derrière cette implication.
La même définition que la tienne me semble-t-il,
Dans un espace affine de direction .
une partie d'un espace affine est un sous-espace affine si ou bien il existe et un sous-espace vectoriel de tel que ,
où
Dans ce cas je ne vois vraiment pas où est ton problème. la première chose que l'on démontre est bien que si on change de point on conserve le même sous-espace vectoriel.
oui c'est clair en fait, je ne sais pas pourquoi je me suis pris la tête dessus, je devais être fatigué.
Merci Camélia.
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