Bonsoir,
Ma prof de maths m'a proposé de faire un sujet de TS assez difficile, puisque j'aime les maths que ça m'intéresse, et je me retrouve bloqué sur certaines questions. Le sujet est assez long donc je vais pas développer les calculs quand j'arrive à la conclusion attendue (désolé je sais que ça déroge un peu à la règle du "énoncé complet").
Le plan est rapporté à un repère orthonormé d'unité graphique 2cm.
Partie A :
Soit la fonction définie sur [0,1[ par : .
1)Etudier la fonction f et représenter graphiquement sa courbe .
==> On dérive f : , somme de termes négatifs donc toujours négative. Donc f(x) décroissante sur [0,1[ avec f(0)=1, et .
1)b) Montrer que l'éq. f(x)=0 admet une solution unique . Verifier que avec
==> Oui, avec le TVI.
2) Soient p et q les fonctions définies sur I= par et . Étudiez les variations de p et de q et dresser leurs tableaux de variations.
==> On a et , si on re-dérive : et .
On a p'(x)>0, donc p(x) croissant sur I avec p(1/2)=3 et . On cherche quand q'(x)>0 soit quand x<1 donc q'(x)>0 sur I car I est compris dans . Donc q(x) croissant sur I avec q(1/2)=6 et .
A partie de là j'ai plus de mal.
En déduire que avec .
Je justifie juste en disant que : et . Donc c'est bon.
Mais je sais pas j'ai pas l'impression que ça soit suffisant.
3) Soit un élément de .
a) Calculer .
b) Calculer et montrer que où P est un polynôme à déterminer.
3)a) Je pose u=1-x on a . J'arrive pas à continuer...
b) Aucune idée.
Y'a encore 2 parties, j'attends d'abord vos réponses puis je posterai le reste.
Bonsoir,
Si on change de variable,les bornes changent aussi..
Primitives de U'V=UV-Primitives de UV' qu'il faut adapter à 1*lnU où U est la nouvelle variable....
Bonsoir
Je suppose d'après tes précédents messages que tu connais une primitive de ln(x)
sinon, si tu connais la formule de l'intégration par partie, tu peux simplement calculer l'intégrale en écrivant 1*ln(1-x)
En fait, à ma connaissance, les seules façons de résoudre ce type d'intégrale avec un niveau terminale voire bac+1, c'est
-d'utiliser l'intégration par partie (utile à connaître, elle était il y a quelques années au programme TS)
-connaître "par cœur" une primitive de ln(x) qui est xln(x)-x+983
Bonjour,
Ok je crois que j'ai réussi de mon côté, sachant que j'ai étudié un peu l'IPP de mon côté et que j'arrive pas à comprendre pourquoi c'est pas dans le programme... ça à l'air tellement utile!
Bref,
Soit et , on a donc et , donc :
.
Pour la b) je suis pas sur de voir :/
On a : .
J'en ai fait part à ma prof qui n'avait pas vraiment le temps, et elle m'a dit que je devrais regarder pour décomposer cet intégral en somme d'une fonction avec deux variables différentes, ça me parait bien énigmatique...
Je pense que les variables sont alpha et t, mais je vois pas bien commencer...
Je peux ecrire ceci ?
? comment trouver g ?
salut
Ah d'accord, c'est bon je resitue :p
On a donc :
On utilise et je trouve .
Ca me parait bon.
PARTIE B
Soient a et b deux réels tels que a < b.
Soit g une fonction définie sur l'intervalle [a, b] et deux fois dérivable.
Soit k un réel fixé. On considère la fonction G définie sur [a, b] par :
1) Calculer G(a). Déterminer k pour que G(b) soit égal à 0.
b) En appliquant le théorème des accroissements finis à G dans l'intervalle [a,b], montrer qu'il existe un réel c dans ]a,b[ tel que G'(c)=0.
En déduire que : .
.
Donc .
Je connais pas le théorème des accroissements finis quelqu'un peut m'aider ?
ben peut-être aller voir sur le net ce qu'il dit ... puis ensuite si tu as des questions on te répondra volontiers ...
On a G continue dérivable sur [a,b]. Le théorème nous dit qu'il existe tel que .
Par où je commence ?
Oh d'accord, désolé il se fait tard j'aurai du avoir le déclic la dessus...
Donc il existe un réel c dans l'intervalle ]a,b[ tel que c'est à dire G'(c)=0.
Je posterai la dernière partie demain, elle est vraiment compliquée j'ai pas la foi de m'y attaquer maintenant. Bonne soirée
Vu que j'ai du temps finalement..
Je n'avais pas donné une question qui était "indépendante" (et que j'avais réussi), mais il va falloir la réutiliser dans la partie C visiblement donc je vous donne mes réponses :
Soient u et v deux réels tels que u<v. Soit h une fonction définie dans un intervalle ouvert contenant l'intervalle J=[u,v], dérivable jusqu'à l'ordre 2 et ayant u comme unique zéro dans J. On suppose que h est négative sur J ainsi que ses dérivées jusqu'à l'ordre 2 et que .
On considère la fonction T définie sur J par .
Soit a un élément de J et A le point d'abscisse a de la courbe représentative de h dans le repère . Vérifier que T(a) est l'abscisse du point d'intersection de la tangente à en A avec l'axe des abscisse.
Montrer que T est dérivable dans J et monotone, dresser son tableau de variation. En déduire que .
Rapidement, la tangente en A à a pour eq. . On pose égale à 0, et on trouve .
T est le rapport de deux fonctions dérivable donc est dérivable. On peut alors écrire . On a une dérivé positive sur J, donc T(x) est croissante. On a , et qui est forcément inférieur à v car. Donc varie de à qui est forcément inclut dans .
On pose et pour tout entier naturel n,
b) Montrer que la suite est bien définie et bornée. Verifier qu'elle est monotone, déduire sa convergence, et calculer sa limite.
Pour le coup ça c'est du basique terminal, récurrence quasi direct pour montrer que la suite est bien définie et contenue dans J donc bornée. .
Si la propriété est vraie pour un rang n donné, c'est à dire si existe et appartient à J, alors existe et appartient bien à J car T(J) est contenu dans J. Donc la proprié est vraie au rang suivant n+1.
Pour le reste on a : est . Donc la suite est décroissante. Comme elle est minorée par u, elle converge vers . On fait le passage à la limite (plus vraiment enseigné en TS d'ailleurs, mais ma prof m'en a parlé) : ou . Comme u est l'unique zero de h, l=u. Donc .
A demain.
Re-bonsoir
pour chipoter un peu, même si ce n'est malheureusement pas de rigueur en Terminale S, il faut justifier le passage à la limite par la continuité de T
Bonjour,
Pour illustrer 23h58:
La fonction de la partie vérifie les hypothèses qui concernent (on a ici et )
Bref tu as une suite qui converge vers le zéro de :
@Zormuche
Vous avez raison ! Dans ce cas, je peux simplement dire qu'elle est dérivable donc continue c'est ça ?
@lake ultra intéressant le point de vue graphique Je suppose que c'est ce qu'on appelle un point fixe ? Il y aurai donc 3 cas, un cas ou la suite comme ici décroit, un autre ou elle croit, et l'autre ou elle tourne autour de point fixe ?
Je vous poste la suite dans peu de temps
Partie C
1)a) Démontrer que la fonction satisfait dans l'intervalle aux hypothèses faites sur la fonction h de la partie B.
On considère la suite définie par son premier terme et : .
Bon bah pour le coup la première question ça va.
b) Démontrer que pour tout entier naturel n, il existe un réel dans tel que .
En déduire que et
Pour la premiere partie de la question, la question est directe en reutilisant f puisqu'elle satisfait les hypothèses faites sur g. Pour la seconde partie (en deduire) je sais pas par ou commencer..
Voyons, : tu devrais pouvoir en tirer quelque chose.
et la question A) 2) (avec la majoration par doit te permettre de terminer
Ah oui, donc on divise la premiere relation par et puisque et appartiennent à l'intervalle, qui entraine la deuxieme relation
Ça, c'est facile:
tu sais que d'après la question précédente.
c'est à dire
L'hérédité de la récurrence s'en déduit (pour la première inégalité).
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