salut et qq infos:
le marché des calculatrices : une grande duperie : allez voir les associations de cosommateurs...
quand j'ai passé le bac un gars est venu et a fait un "all reset" sur toutes les calculatrices
mes Bts avaient toutes leuts formules dans leur machine (en prticulier en biologie et biochimie
l'extraction de la racine carrée "à la main" c'est simplement (a+b)²=a²+2ab+b² à l'envers (d'ailleurs on peut le faire pour n'importe quelle puissance mais vu le nombre de termes apparaissant dans le développement on s'arrête à 2 ou 3)
réciter des formules bêtement ou les recopier d'un formulaire ou de sa machine quelle différence ?
à quand une machine qui ne rabaisse pas l'homme à son niveau mais qui l'élève ?
(une machine est un outil (un esclave) qui permet à l'homme d'aller plus haut pas de se rabaisser)
et que pensez-vous du nouveau bac (enfin de ce qui est en train de se décider dans les "milieux autorisés") ?
"Le matériel autorisé comprend toutes les calculatrices de poche y compris les calculatrices programmables, alphanumériques ou à écran graphique à condition que leur fonctionnement soit autonome et qu'il ne soit pas fait usage d'imprimante." Le coup de l imprimante j ai trouvé cela absolument très drôle.... pardonnez cet élan de joie opportuniste...
Bonsoir à toutes et tous,
le vieux que je suis se souviens très bien de cette époque où les calculatrices sont arrivées sur le marché ... et aux examens
j'ai le souvenir de cette utopie de nos grands penseurs qui estimaient impératifs que nos élèves sachent programmer ( à l'époque, on programmait en basic ou fortran) et donc de leur volonté d'autoriser les calculatrices programmables
Ils ont tenté pendant deux ans de n'autoriser que les "calculatrices à mémoires volatiles" ...mais comment fait un surveillant lambda (prof de français ou autre ) pour savoir si la calculatrice qu'il a devant les yeux est à mémoire volatile ou non ???
Dès lors, le combat était perdu et les grands penseurs, toujours accros à cette absolue nécessité de savoir programmer (ce sont leurs fils qui les remplacent aujourd'hui), ont autorisé toutes les sortes de calculatrices ...
on a alors vu débarquer les formulaires ... ce qui prouve bien que personne n'est dupe et que tout le monde sait que les calculatrices sont bien des feuilles de pompes légales.
Reste le problème de la puissance de ces engins ...on le règle en utilisant les outils de l'époque :
l'alimentation doit être autonome ... comme ça, les calculatrices ne seront pas trop puissantes, car comme chacun sait puissance = énergie consommée => des batteries empêcheront la calculatrice d'être trop gourmande ( à cette époque, impossible d'avoir un écran graphique sans alimentation sur le secteur)
la puissance des calculatrices dépend de leur taille et, donc, on règle là encore la puissance en réglant la taille des calculatrices ... partant du principe qu'une taille A5 règle le problème.
A cette époque encore, on fait tracer des courbes aux élèves ... courbes dont ils ont obtenu les éléments importants par leurs calculs ... Or, certains fabricants envisageaient de sortir des calculatrices avec un ruban imprimant (comme les lecteurs de cartes bleues) pour faire tracer ces courbes ... ils ont abusé et ont été rejeté ...
je me souviens d'une calculatrice qui se dépliait mais j'ai oublié sa marque et son nom
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