Bonsoir,
Tu as raison tel que je l'ai écrit, il y a un trou dans la raclette
car j'ai supposé que la propriété "sont de même parité" allait se conserver de façon triviale durant la descente. Alors, cela est vrai, mais c'est pas du tout évident:
Supposons qu'une solution (u, v, c) existe, avec v non nul (sinon a=0 ou b=0, donc a=b=0, donc c=0 et on tombe sur la solution triviale).
* Si u et c sont impairs tous les deux
Écrivons u=2p+1 et c=2q+1, alors:
Donc 2 divise v2 donc divise v, donc on pose v'=v/2 et on montre que :
Donc (p+1, v/2, q+1) est une autre solution où tous les termes sont strictement plus faibles qu'avant SAUF dans le cas p=q=0. Mais ce cas là est impossible car (1,v/2n,1) n'est pas solution car on a supposé v#0.
* Si u et c sont pairs (u=2p et c=2q) c'est le même principe. On arrive à une nouvelle solution (p, v/2, q) qui elle est strictement décroissante sauf dans le cas p=q=0. Mais ce cas n'arrivera pas car (0,v/2n, 0) n'est pas solution.
En gros cela montre que l'existence d'une solution implique qu'il existe une solution de la forme (u,v,c)=(0, v/2n, 0) ou (1,v/2n,1) ce qui est contradictoire.
En espérant ne pas avoir écrit d'ineptie