Bonjour,
Je suis bloqué sur la deuxième question .
Soit E un ensemble de cardinal n.
1. Combien y a-t-il de couples de parties disjointes de E ?
2. Combien y a-t-il de couples de parties de E telles que l'intersection est un singleton ?
Pour 1)
Soit X une partie de E à p éléments il ya parties de E à q éléments en disjonction avec X, soit le nombre de couples de parties de E en disjonction est:
Après calcul j'ai eu :
Est-ce bon ?
Les ensembles à q éléments qui sont en disjonction avec un ensemble à p éléments sont les ensembles dont les q éléments sont choisis parmis les (n-p) éléments de E et il sont au nombre de C(n-p,q) .
Bonjour,
as-tu quelque chose contre l'ensemble vide et E ?
Avec l'énoncé que tu donnes les couples (E,) et (,E) conviennent.
D'autre part je ne vois pas d'où vient la multiplication par 2.
Je dirais
Sauf si c'est précisé dans l'énoncé, il faut compter l'ensemble vide.
En ce qui concerne le fait que (X,Y) et (Y,X) sont différents, il faut voir qu'ils sont tous les deux compté dans ta somme, avant que tu ne multiplies par 2.
Pour prendre un exemple très simple E={a,b}
On classe les parties de E par taille
,{a},{b},{a,b}
À chaque partie on associe son complémentaire et on donne la liste des sous-ensembles du complémentaire.
On obtient les couples
(,) ; (,{a}) ; (,{b}) ; (,{a,b})
({a},) ; ({a},{b})
({b},) ; ({b},{a})
({a,b},)
Ici on voit bien que l'on obtient les couples ({a},{b}) et ({b},{a}).
Or la somme fonctionne sur ce mécanisme.
Nos messages se sont croisés.
Pour la 2) as-tu une justification ?
Si oui c'est bon si non c'est mauvais.
Personnellement je remarque qu'un couple (X,Y) de parties de E tel que XY={a} correspond de façon unique à un couple (X',Y') de parties de E\{a} tel que X'Y'=.
Ce qui permet d'utiliser le résultat de la question 1).
Voici ma justification.
Soit X une partie à p éléments et Y une partie à q éléments tels que alors les éléments de Y sont choisi parmi les n-(p-1)=n-p+1.
Je ne trouve pas la justification très convaincante.
Et, oui, je parle de bijection.
Pour compter des objets, il est judicieux de bien les ranger.
L'idée ici est de classer les couples suivant le singleton qui forme leur intersection, on obtient bien une partition de l'ensemble de ces couples.
Puis on remarque que chaque classe est en bijection avec les couples d'intersection vide d'un certain ensemble.
L'ensemble des ensembles dont l'intersection est le {a} est une classe.cette classe est en bijection avec les couples de quel ensemble ? Je ne vois pas très bien.
salut
on obtient assez facilement 2/ à partir de 1/ si on remarque que à tout couple de parties X et Y distinctes alors l'intersection de X et Y est un singleton en ajoutant un élément quelconque de X à Y ...
Bonjour
Non parce que vous perdez de l'information en ne faisant qu'abaisser le cardinal de l'ensemble de choix. Vous perdez en particulier le nombre de choix possibles pour le singleton…
En suivant l'indication de carpediem qui permet de plier l'exercice, il vous suffit de tenir compte de ce choix : vous formez X comme lors de la Q1), puis vous choisissez un e1 dans X que vous mettez dans Y, puis vous formez Y, toujours en faisant une partie de E\X (car alors X\{e1} et Y doivent être disjoints).
Bonjour,
J'arrive après la bataille pour la question 1) ; mais je voudrais savoir si mon raisonnement est correct :
A étant une partie de E de cardinal p , on peut définir C le complémentaire de A dans E .
Le couple (A,B) est un couple de parties disjointes de E si et seulement si la partie B est incluse dans C .
Il y a 2n-p parties B incluses dans C .
D'où
Salut Sylvieg.
Je crois qu'il est correct, c'est celui que j'ai fait et c'est une simplification directe de celui de toureissa.
Merci
Pour 2), peut-on dire que l'on peut choisir d'abord l'élément x qui formera le singleton , puis des parties disjointes de E\{x} ?
Si le résultat de 1) est Sn , le résultat de 2) serait nSn-1 .
Pour le 1) sans calculs :
On voit (et on le prouve facilement) qu'il y a une bijection entre l'ensemble des solutions et l'ensemble des fonctions de E dans {0,1,2} . A (A,B) , on associe la fonction qui vaut 1 sur A, 0 sur B et 2 ailleurs , ce qui donne le résultat immédiatement ...
Bonsoir à tous !
Je pense que j'ai compris ce que dit Sylvieg ,
Le nombre de parties dont leurs intersections est {x} est égal au nombre de parties disjointes de E\{x} (par ce que si on enlève x dans tous ces parties on trouve des disjonctions)
E\{x} est de cardinal n-1 et aussi il ya n singleton donc
Où S2 est la deuxième somme.
Est-ce que j'ai compris ?
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