Bonsoir à tous, je suis actuellement en PSI et en 5/2, et le prof nous a refilé un DM qui me dit vraiment rien, j'ai déja réfléchi dessus.
Voila le sujet : ** lien vers l'énoncé effacé **
Donc j'ai fait la question 1 de la première partie et 1a la deuxieme partie.
La 2 de la premiere partie je suis parti du fait que u^i,i(ei)=ei= g + a*I avec a constante et g appartenant à A et je trouve que f appartient à A en composant par f.
La 1b de la deuxieme partie, je vois que la raison de la premiere colonne, et je vois que f²(x)=a*x+b*f(x)
La 1c, je ne comprends pas du tout, j'ai seulement dit que la dimension était de deux.
Pour la 2a, j'ai réfléchi dessus en disant que Phi appartient a L(E)\KI et donc (I,Phi) est libre.
Puis j'ai pris Psi appartenant à A\ C(Psi) car on veut Phi*Psi différent de Psi*Phi. A partir de la je ne sais pas comment faire.
Pour la 2b, je n'arrive pas à montrer cette existence, et pour l'égalité supposée, en passant par l'absurde, j'arrive à (v-mu*lambda)*I différent de 0. Je ne vois pas l'absurdité.
La 2c est un peu comme la 2a donc je suis bloqué.
Je voudrais un coup de main et des indications si possible, une réponse tout faite m'intéresse très peu.
Merci d'avance !
Edit Coll : si tu veux de l'aide, merci de faire l'effort de recopier ton énoncé sur le forum
Soit...
E désigne un K-espace vectoriel de dimension finie n sup ou égal à 2
I désignera l'application identique de E, si (f,g) appartient a E, on pose f.g= f o g
On appelle ici, K-algèbre A tout K-espace vectoriel muni d'une loi notée interne associative distributive par rapport à l'addition et telle que :
pour tout (lambda,x,y) appartenant à K x A², lambda(x.y)= (lambdax).y = x.(lambday)
On notera que la loi . ne possède pas nécessairement d'unité.
Premiere Partie
A désigne une sous algèbre de L(E) de dimension n²-1. On se propose de montrer par l'absurde que I appartient à A, pour cela on suppose que I n'appartient pas à A.
Question I.1 : Montrer que L(E) = A somme directe K*I, en déduire : f appartient à L(E) et f² appartient à A implique F appartient à A
Question I.2 : Soit (e1,...en) base de E, pour tout (i,j) appartenant à [[1,n]], on note u^i,j l'unique endomorphisme de E vérifiant : pour tout k appartenant à [[1,n]], u^i,j(ek)= symbole de kronecker j,k * ei. Montrer que pour tout i appartenant à [[1,n]], u^i,i appartient à A puis conclure
Deuxième Partie
Soit A une sous amgèbre de L(E) de dimension 3
1. Soit f appartient à L(E)\K*I
a. Montrer l'existence d'un élément x de E tel que la famille (x,f(x)) est libre.
b. En déduire l'existence d'un élément (a,b) de K^2 tel que 0 a est matrice de f
1 b
c. Montrer que C(f)= { g appartient à L(E)/f.g=g.f} est une sous-algèbre de L(E) égale à C(f)= Vect(I,f) et donner sa dimension.
2.a Montrer que A admet une base de la forme (I,Phi,Psi) avec Phi.Psi différent de Psi.Phi.
b. Montrer alors l'existence de (lambda, mu, nu) appartenant à K^3 tel que Psi.Phi = lambda x Phi + muPsi+ nuI puis en raisonnant par l'absurde, que (Phi - mu x I).(Psi-lambda x I) =0
c. Montrer que A admet une base de la forme (I,Phi1,Psi1) avec Phi1.Psi1=0
Si on a une telle base, montrer que Phi1 et Psi1 sont de rang 1 et montrer que Im(Psi1) est stable à la fois par Phi1 et Psi1
Pour la I:
L(E) = A K.I (puisque I A.
Soit j {1,...,n} et soit fj L(E) quivérifie fj(ej) = ejet fj(ek) = 0 si k j.
Il est clair que fj2 = fj et si g A , s K vérifient fj = g + s.I alors s(s - 1) = 0 et g(g + (2s-2)g = 0.
Si s = 1 on a : g2 = 0 et 0 = fj2 - fj = g et f = I ce qui n'est pas vrai ; donc s = 0 et fj = g A.
Si f L(E) on a : f =1n fj(ej).fj A.
Pour la 2 : Soit f L(E) qui ne soit pas une homothétie et supposons que pour tout x E {x , f(x)} ne soit pas libre.
Soit x E \ Kerf (il y en a car f 0). On peut alors trouver un élément h(x) de K tel que f(x) = h(x).x (à voir).
On pose alors h(x) = 0 si x Kerf de sorte que pour tout x de E on a : f(x) = h(x).x
Si x E \ Kerf et s K* on a h(s.x) = h(x) (à voir)
Si {x , y} est libre on a : h(x) = h(y) = h(x + y) à voir)
Cela montre que h est constante donc que f est une homothétie ; C'est contradictoire .
Il esiste donx des x de E tels que {x , f(x)} soit libre.
A demain après m'avoir préciser ce qu signifie
En déduire l'existence d'un élément (a,b) de K^2 tel que 0 a est matrice de f
1 b
Il y a des erreurs dans ce que je t'ai envoyé. Je pense que ce qui suit est correct :
Supposons I A.
.Soit j {1,...,n} soit f = fj L(E) qui vérifie f(ek) = j,k.ej. On f = g + s.I où g A et s K. Comme f2 = f on a 0 = g2 + (2s-1)g + s(s-1)I donc g2 + (2s-1)g = 0 et s(s-1) = 0.
Supposons s 0 . Alors s = 1 , g2 + g = 0 , fg = gf = 0 , (f - g)2 = f2 - g2 = I donc (g + I) - g2 = I d'où g = g2 , 2g = 0 , g = 0 , f = I
C'est contradictoire se sorte que s = 0 et f A.
On a donc prouvé que {f1,......,fn} A donc I = f1+......+fn A .
L'hypothèse I A entrainant une contadiction (du type [P et nonP]) c'est que l'on a : I A
La suite Pour la 2 me parait correct
Concernant ma demande de précision :
"Matrice de f n'existe pas" . C'est "Matrice de f dans telle base" qui existe.
De plus la matrice de f dans une base de E est carrée d'ordre n
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