Bonjour à tous. Une question me trotte dans la tête.
On me définit l'ensemble suivant :
Et on me donne les lois suivantes :
Il est donc évident que est un -espace vectoriel.
Maintenant, on me donne une application :
Il est assez rapide de démontrer que cette application est linéaire, injective mais pas bijective.
Mais je coince sur une chose. Comment démontrer que ?
Je me heurte à un problème de représentation de l'application identité dans . En effet je sais que l'application identité est une application qui renvoie la variable passée en paramètre... mais comment se représenter cette application identité dans cet espace-vectoriel particulier ?
Merci d'avance pour vos réponses.
En fait il faut déterminer .
D'accord si c'est ça l'identité. Mais je ne vois pas vraiment comment déterminer avec ça...
Quelqu'un aurait une piste ?
Si je comprends bien, l'application D o I rend la série P d'origine.
Ceci me suggère que D devrait comporter un facteur 1/X et un facteur (1+i).
Ce qui donnderait D = I*(1+i)/X.
Serait-ce la bonne réponse ?
euh, non je crois pas.
Regarde plutôt comment tu dériverais: ,
ensuite comment tu dériverais une série P,
puis tu auras trouvé une expression candidate pour P, reste à vérifier qu'elle a bien un sens et qu'elle correspond bien à l'application D cherchée.
Effectivement, si je dérive le résultat de I, je retrouve la série P d'origine.
En fait,j'ai toujours des problèmes avec la notion de fonctions du type f o g. Je ne voyais pas D o I comme une fonction de I.
Dans le cas général :
Si est injective, la restriction est bijective. Il existe donc la bijection reciproque de et alors :
et comme pour tout , on a (CQFD)
On peut finalement dire (l'autre implication étant triviale) :
injective sur un ensemble
Salut !
je suis pas entièrement d'accord avec ton argument Pece, c'est un peu du pinaillage, mais tu prouve uniquement qu'il existe une application D de I(E) dans E qui vérifie les hypothèse précedentes, alors qu'on veut une application de E dans E (E=R[[X]] )
Personellement, je me contenterai de vérifier que la dérivation formelle, c'est à dire l'application qui a somme des an x^n associe la somme des (n+1).a(n+1).x^(n) convient. (en calculant formellement D(I(somme des an.x^n)) )
Je m'excuse mais sa notation est de toute façon à revoir.
Je suppose que l'énoncé disait plutôt :
"Montrer qu'il existe telle que ."
Ainsi si l'on veut absolument que soit l'ensemble de départ, on définit D comme l'application de dans définie par ma démonstration sur et par exemple nulle (qu'importe) sur \.
De toute façon, l'ensemble de définition de D est "caché" dans la compostion :
Mais dans la définition de (qui ici importe seule), on ne voit que l'ensemble de tout départ et l'ensemble de l'arrivée !
PS : dsl pour les accolades au-dessus des flèches, mais \overset ne marche pas !
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