ben, si Q est tout seul ... à gauche (il est aussi à droite mais c'est pas grave).
Le fameux polynôme R c'est tout simplement XQ-P qui est bien à coefficients dans A car Q et P le sont.
Kaiser
non, du tout : la récurrence dit bien de montrer que " pour tout P tel que fP=(fx-1)Q, il existe R ..; ' donc ce n'est pas étonnant.
Kaiser
humm (mais elle ne dit pas il existe R dépendant de Q )
ok,donc ça c'est pour n=1.
On suppose vrai pour n-1,cad pour tout P/fP=(fX-1)Q,il existe R à coef dans A tel que Q=f^{n-1}R ??
c'est ça?
je comprend pas quand est-ce qu'on va utiliser l'hypothese de recurrence?
oui voilà, avec Q=R.f^(n-1).
ensuite on a:
f^n.P=f.(f^(n-1).P)=f.(fX-1).Q=(fX-1).Qf ou Q=f^(n-1)R,donc on a un nouveau Q'=Q.f=f^n.R
c'est ça?
on montre quoi P(n) vrai =>P(n+1) vrai
ou P(n-1) vrai => P(n) vrai?
parce que là tu supposes fnP=(fX-1)Q mais Q=fnR
non?
n'oublie pas que la propriété au rang n-1 est vraie pour tout polynôme à coefficients dans A.
On va appliquer P(n-1) à un polynôme autre que P.
Kaiser
C'est ça, R est à coefficients dans A, tu divises par et tu réappliques le cas n=1.
Bref, finalement, c'est gagné.
Il suffit simplement faire le lien avec la question et puis c'est tout.
Kaiser
Soit P dans le noyau, alors P est un polynôme à coefficients dans A.
Or (car pour tout x de A, on a .
Comme P est dans le noyau, alors est une racine de P dans , donc on peut le factoriser par mais dans l'anneau (on ne peut pas faire mieux a priori).
Il existe donc un polynôme R à coefficients dans tel que
Les coefficients de R sont de la forme avec k entier naturel.
Si on note m le maximum de ces entiers k, si k est un de ces entiers alors est un élément de A.
Du coup, est u polynôme à coefficients dans A et donc avec qui est à coefficients dans A.
Là, c'est OK ?
Kaiser
Pour la recurrence j'ai pas tout capté, mais bon sinon la factorisation du fait que tu me dis , je comprend !!
J'ai mis sur la feuille :
On prend P dans Ker(f), mais alors est aussi dans Ker(f) donc on a 1/f est racine de cad .
ce que l'énoncé demande de prouver est la chose suivante :
si pour un certain entier n, on a , alors on peut en fait simplifier par .
Plus précisément, il faut montrer que les coefficients de Q sont dans ce cas des multiples de .
En transformant cette égalité nous dit que .
Si n est supérieur ou égal 1, cette égalité nous indique que les coefficients de Q sont des multiples de f uniquement et pas directement par (autrement dit, on ne peut descendre que d'un cran à la fois), d'où le besoin de faire une récurrence.
Kaiser
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