Svp aidez-moi pour cet exercice
On note z=reiθ et z'=r'eiθ'.
1. Montrer que |z+z'|=|z-z'| ssi θ'= θ+(/2)+k., avec k. Calculer alors ce module commun.
2. On suppose les conditions du 1. réalisées et on pose R=|z-z'|.
a) Justifier la possibilités de poser: r=R et r'=R(1-²), avec O<<1.
b) Déduisez-en qu'il existe θ0, 0<θ0<(/2), tel que r=Rcosθ0 et r'=Rsinθ0.
c) Calculer alors z+z' et z-z' en fonction de R, θ et θ0. (remarque : eik =(-1)k si k entier).
Merci d'avance.
salut
t=teta et t'=teta'
1 si |z+z'|=|z-z'|
alors |re^(it)+r'e^(it')|=|re^(it)-r'e^(it')|
or |re^(it)+r'e^(it')|^2=|rcos(t)+r'cos(t')+i*[rsin(t)+r'sin(t')]|^2=(rcos(t)+r'cos(t'))^2+(rsin(t)+r'sin(t'))^2=r^2+r'2+2*rr'[cos(t)*cos(t')+sin(t)*sin(t')]=
r^2+r'^2+2rr'*cos(t-t')
et |re^(it)-r'e^(it')|^2=r^2+r'^2-2*rr'*cos(t-t')
donc rr'*cos(t-t')=0
on va supposer r different de 0 et r' different de 0
c'est a dire z different de 0 et z' different de 0.
(sinon on ne peut pas parler de t et de t')
donc cos(t-t')=0=(cos(t'-t)
donc t'-t=Pi/2+k*Pi, k dans Z.
donc t'=t+Pi/2+k*Pi
si t'=t+Pi/2+k*Pi
alors z'=r'e^(it')=[(-1)^k]*r'*i*e^(it)
donc |z+z'|=|[(-1)^k]*r'*i+r|
et |z-z'|=|[(-1)^k]*r'*i-r|
comme (-r)^2 = r^2 on a l'egalite |z+z'|=|z-z'|
sinon on pouvait directement montrer l'equivalence...
si |z+z'|=|z-z'| alors |z+z'|=(r^2+r'^2)^(1/2)
a)R>=r>=0 il exsite donc a dans ]0,1[ tel que r=R*a
si on pose r=R*a
comme R^2=r^2+r'^2
on a R^2=a^2*R^+r'^2
donc R^2(1-a^2)=r'^2
donc r'=R*racine(1-a^2) car a est dans ]0,1[
b) a est compris entre ]0,1[.la fonction definie de ]0,Pi/2[ sur ]0,1[ est bijective donc il existe un unique a0 tel que cos(a0)=a
d'apres a) r=R*a donc r=R*cos(a0)
et r'=R*(1-a^2)^(1/2)=R*(1-cos(a0)^2)^(1/2)=R*|sin(a0)|
comme a0 est dans ]0,Pi/2[ sin(a0)>0 donc r'=R*sin(a0)
c)z+z'=re^(it)+r'e^(i')
or on sait que t=t'+Pi/2+ kPi k dans Z
et r=R*cos(a0) et r'=R*sin(a0)
donc z+z'=R*cos(a0)*e^(it)+R*sin(a0)*i*(-1)^k * e^(it)
donc z+z'=[R*cos(a0)+R*sin(a0)*i*(-1)^k]*e^(it)
si k est pair
z+z'=R*e^(i*[t+a0])
si k impair z+z'=R*e^(i*[t-a0])
ce qu'on peut ecrire comme ca :
pour tout k dans Z :
z+z'=R*e^(i*[t+a0*(-1)^k])
meme type de demonstration pour z-z'
a+
je ne comprends pas :
- Rr0, il exsite donc a dans ]0,1[ tel que r=R*a.
et R²=r²+(r')²
finalement j'ai compris la deuxieme partie mais je ne comprends toujours pas pourquoi on peut poser r=R*a
tu as R>=r>=0
en fait non tu as R>r>0
car r>0 et comme R=(r^2+r'^2^(1/2) avec r'>0 on a R>0.
Donc R>r>0
donc 1>r/R>0
donc r/R est dans ]0,1[.
il existe a dans ]0,1[ tel que a=r/R.
(je viens de te donner la forme explicite de a)
donc R*a=r
peux-tu m'expliquer la suite:
B/ On définit deux suites Un et Vn par U0 et V0 non nuls et Un+l=Un+Vn et Vn+l=2Un*Vn.
1) Exprimer Un+l+Vn+l et Un+l-Vn+l en fonction de Un et Vn, puis calculer Un+l et Vn+l en fonction de Un et Vn.
2) Démontrer que Un=[(U0+V0)2[sup]n[/sup]+(U0-V0)2[sup]n[/sup]]/2;
et Vn=[(U0+V0)2[sup]n[/sup]-(U0-V0)2[sup]n[/sup]]/2.
3) On suppose que U0+V0 et U0-V0 ont même module. On pose comme au A/ U0=reiθ et V0=r'eiθ'. Avec les notations du A/ exprimer Un et Vn sous forme de produits de facteurs faisant intervenir les variables R, θ et θ0 et n.
Il y a une suite mais j'aimerais de l'aide déjà pour ça. Merci d'avance.
Si c'est le cas, alors
et .
Tu en tires alors en additionnant et en soustrayant membre à membre les deux égalités :
et et donc
et .
Tu remplaces alors n par 0, 1, etc. et tu constates que Un est une progression géométrique de premier terme u0 et de raison et pour Vn, le premier terme est V0 et la raison .
Voilà.
La conclusion me semble un peu hâtive car je viens de me rendre compte (je suis en train de faire les calculs au brouillon) que la progression géométrique n'était pas aussi affirmative.
A tout de suite.
salut, je vais regarder attentivement ce que tu as fait, tu avais raison c'etait bien au carré-
tu as raison ton raisonnement est chaotique, tu ne reponds pas tellement aux questions
Bonsoir.
En ce qui concerne le raisonnement chaotique, tu devrais faire attention car soit content que quelqu'un te propose une solution...
Maintenant, es-tu bien assis? Accroches-toi car cela va saigner...
Et de 1.
En revenant à et à , on a :
et
Et de 2.
Reprenant la définition de et de , il vient :
car les doubles produits s'annulent. Ainsi,
De même,
.
Et de 3.
On procède alors par récurrence pour démontrer la formule énoncée, soit :
H.R. : et
Th. : et
On a :
car les doubles produits s'annulent et donc
Pour , je te propose que tu le fasses toi-même.
Et de 4.
Penses-tu encore que le raisonnement est chaotique?
Je te laisse le soin de terminer l'exercice car c'est de la théorie des complexes et tu dois pouvoir l'achever en pensant que le module de vaut et l'argument de vaut (à 2 près).
A+
je reponds un peu tard, merci pour ton aide, peux-tu encore m'aider?
3) J'ai trouver Un=R2[sup]n[/sup]ei2[sup]nθ[/sup]cos(2nθ0) et Vn=R2[sup]n[/sup]ei2[sup]nθ[/sup]sin(2nθ0)(-1)ki
C/ On suppose toujours |U0+V0|=|U0-V0|.
1) Trouver une condition nécessaire et suffisante, sous forme d'une relation entre n0 et θ0, pour que (Vn) soit nulle à partir d'un certain rang n0. On montrera d'abord que si Vn[sub]0[/sub]=0 alors Vn est nulle pour n>n0. Calculer alors Un pour n>n0.
2) Dans le cas général où R <1 trouver les limites de |Un| et |Vn| quand n tend vers +infini.
Normalement, on trouve lim=0 dans les deux cas.
3) On s'intéresse enfin aux cas où Un et Vn sont périodiques. On rappelle pour cela que
la suite Un est dite t-périodique s'il existe t >0 entier tel que pour tout n entier naturel: Un+t=Un.
a) Supposons que ei2[sup]n θ[/sup]cos(2nθ0)=ei2[sup]n+t θ[/sup]cos(2n+t θ0) pour tout entier n.
Démontrer que nécessairement sin (2t-1)θ=0 ("Isoler" les exponentielles dans un membre et séparer parties réelles et imaginaires ). En déduire les valeurs possibles de θ.
b) Montrer ensuite que si t est une période, on doit nécessairement avoir cos(2tθ0) = cos(θ0) ou bien cos(2tθ0) = -cos(θ0). En déduire les valeurs possibles de θ0.
c) Décrire les suites Un t-périodiques, les suites Vn t-périodiques.
On a Un=R2[sup]n[/sup]ei2[sup]nθ[/sup]cos(2nθ0) et Vn=R2[sup]n[/sup]ei2[sup]nθ[/sup]sin(2nθ0)*i*(-1)k (k entier)
Les suites Un et Vn sont t-périodiques, càd qu'il existe t supérieur à 0 et entier tel que Un=Un+t ou Vn=Vn+t.
On a supposé ei2[sup]nθ[/sup]cos(2nθ0)=ei2[sup]n+tθ[/sup]cos(2n+tθ0)
Les valeurs possibles de θ étant 0 [2] et
On a aussi :
cos(2tθ0)=cos(θ0) et cos(2tθ0)=-cos(θ0)
Les valeurs possibles de θ0 étant:
;; et .
Comment répondrez-vous à cette question :
Décire les suites Un t-périodiques et Vn t-périodiques.
*** message déplacé ***
merci d'avance à ceux qui répondront
*** message déplacé ***
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