Bonjour,
La définition d'une fonction strictement croissante est la suivante :
Soit f : I-->R une fonction.
f est strictement croissante sur I si pour tout x,y de R on a : x<y ==> f(x)<f(y)
On retrouve le même type de définition pour les fonctions croissantes, décroissantes c'est-à-dire que l'on a toujours une implication et pas d'équivalence.
Ma question (peut-être bête) est donc la suivante : pourquoi n'a-t-on pas une équivalence au lieu de l'implication ?
Je n'arrive pas à en trouver la cause.
Merci d'avance pour vos réponses.
Bonjour Jigo
La définition d'une fonction strictement croissante est la suivante :
Soit f : I-->R une fonction.
f est strictement croissante sur I si pour tout x,y de R on a : x<y ==> f(x)<f(y)
tout simplement car l'implication est vrai et l'equivallence est superflue (on en a pas besoin c'est un peu comme tuer une mouche avec un bazooka que de l'utiliser)
en effet si tu pose x>y est vrai alors tu doit toujours verifier que f(x)< f(y)
si c'est pas le cas c'est donc qu'elle est pas croissante
l'implication suffit à la definir
erreur d'ecriture je voulai dire " si tu pose x<y est vrai alors tu doit toujours verifier que f(x)< f(y)
Bonsoir,
Vous devez être membre accéder à ce service...
Pas encore inscrit ?
1 compte par personne, multi-compte interdit !
Ou identifiez-vous :