Toujours le problème de comment on démontre des choses en général
et ce n'est jamais en commençant par écrire que ce serait vrai avant même de commencer
et si on aboutit à 1 = 1 ou un truc "vrai" du même genre dire que alors l'hypothèse que ce serait vrai est vraie
ce raisonnement là est faux et le sera toujours. par principe.
soit (a; b) une solution de u²-2w² = 1 (1) (bien noter la différence entre une solution, une valeur fixée (a; b) et les inconnues u et w)
on cherche à prouver que (3a+4b; 2a+3b) est aussi une solution de u²-2w² = 1 (1)
donc on calcule (3a+4b)² -2(2a+3b)²
sans écrire à priori que ce serait égal à quoi que ce soit d'autre, on le calcule , honnêtement, parce qu'on n'en connait pas la valeur du tout !!
et pas en écrivant au départ les souhaits qu'on voudrait que cela soit, en prenant ses désirs pour des réalités.
(3a+4b)² -2(2a+3b)² = 9a²+24ab+16b² - 2(4a²+12ab+9b²) = a² - 2b² par uniquement développement et simplification, pas parce que on l'a écrit avant même de commencer
or (a; b) étant une solution a² - 2b² = 1
donc maintenant on sait que (3a+4b)² -2(2a+3b)² = 1
et que donc (3a+4b; 2a+3b) est une solution de u² - 2w² = 1
Citation :
Oui donc on sait que u est impair et w est pair
on sait aussi qu'il sont premier entre eux donc deux termes consécutifs ou autres
alors (3; 2) marche. Le couple (5;4) sont bien premier entre eux mais ce couple marche pas
à quoi ça sert qu'on fasse des questions précédentes si on ne s'en sert pas
en plus j'ai dit qu'il fallait les utiliser ces questions !!
et l'énoncé aussi le dit !!
la question 2c)
En vous servant du résultat précédent déterminer trois autres solutions de (1) c'est bien en vous servant de
2b !! et "trois solutions" c'est pas prouver qu'il n'y en aurait pas d'autres "plus petites"
on en demande trois quelconques de ces solutions
on sait que (1; 0) est une solution (
question 2a)
donc ce qu'on vient de prouver
question 2b donne directement que (3*1+4*0; 2*1+3*0) est aussi une solution
c'est à dire (3; 2) (sans avoir eu à "essayer" quoi que ce soit)
maintenant on sait que (3; 2) est une solutions
donc toujours les mêmes formules de la
question 2b nous disent que (3*3+4*2; 2*3+3*2) est une solution etc etc
sans chercher à deviner je ne sais quoi sur le fait qu'ils seraient ou pas premiers entre eux ou je ne sais quoi et essayer des valeurs pour voir, on s'en fiche
on a une formule générale (
question 2b) qui permet de trouver directement toutes les solutions (tout au moins une infinité de solutions), les unes après les autres.
question 3, c'est le même procédé qu'il suffit de poursuivre, et comme c'est fastidieux à la main, on peut le programmer.