Bonjour à tous.
On me demande de déterminer la limite de
Avec le théorème de convergence dominée, je trouve
Puis on me demande la nature de la série de terme général et là je ne vois pas que faire.
Quelqu'un peut-il m'aider. Merci d'avance,
CASTOR
salut
le théorème de convergence dominée assure l'existence ... mais comment trouves-tu sa valeur ?
il serait donc intéressant de déterminer un équivalent de u_n - L ... ce qui peut suffire pour connaitre la nature de la série ....
et pour avoir un équivalent alors le calcul effectif de u_n (ou s limite) peut apporter la réponse ...
J'ai trouvé la limite simple de la suite (f_n) et j'ai calculé l'intégrale de cette limite simple, à savoir f(x) =(1-x^3)\pi/2 sur ]0,1[ et 0 ailleurs.
Pour l'équivalent d'accord, mais je ne vois pas comment partir. Le changement de variable me semble plus compliquer les choses.
Bonjour !
Je pense que tu devrais évaluer limite simple de .
Pour on a .
Pour utilises et le fait que est négligeable devant .
Une mauvaise surprise serait que les termes en se neutralisent après intégration. Je n'ai pas essayé ! Mais dans un terme il y a , pas dans l'autre, je suis optimiste.
Donc pour vous, la série diverge à priori?
Avec l'intégration entre 0 et 1 je ne vois pas comment négliger x^{3n+3} ?
Si quelqu'un pouvait m'aider, je n'arrive pas à trouver la nature de la série.
J'arrive à majorer |u-n-lambda| mais par le terme d'une série divergente....
Sauf erreur de ma part on peut minorer la différence considérée par une série divergente.
La série serait donc divergente.
Bonsoir.
Sans aucune rigueur (mais bon, à minuit, on se permet un peu de relâchement) je propose ceci sur les posts de Luzak 14-12-16 à 10:59 et Boninmi
Pour l'intégrale en rouge :
pour n grand
pour n grand
Donc l'intégrale en rouge fournit un terme d'une série divergente de forme avec
L'intégrale en noir fournit le terme suivant d'une série divergente également de forme avec pour n grand.
Le étant obtenu par , laquelle intégrale est obtenue en passant à l'équivalent dans (pour le relâchement, je ne vous ai pas pris en traître, avouez-le !)
Et en additionnant les équivalents (j'entends des toussotements) : et ce truc-là, dans une salade de série, ça diverge.
Des toussotements ?
Ben, pour les additions d'équivalents, c'est valable ici puisque les parties principales ne sont pas opposées.
En revanche les intégrations par rapport à x, d'équivalents en fonction de n, demandent un peu de justification !
Plus précisément, si cela revient à écrire et de limite nulle, disons .
Pou pouvoir intégrer il faudrait un indépendant de (convergence uniforme par exemple) ou une justification par domination, ce qui n'est pas si facile.
Bonjour,
Avec le théorème de convergence dominée on obtient .
Pour le démontrer on écrit:
.
Dans les deux dernières intégrales on fait le changement de variable puis on majore par multiplié par une intégrale convergente indépendante de .
Bonjour jandri
Je ne comprends pas ton calcul.
On a .
La limite simple est définie par si et sinon.
Ainsi
Dans les intégrales extrêmes le changement de variables (génial !) que tu proposes permet de majorer par
et l'intégrale restante qui est se majore par .
Le même changement de variables donnerait
En majorant par et en notant que on voit qu'on majore par le produit de par une intégrale convergente indépendante de
On a donc une somme de trois séries convergentes.
Attention : à vérifier soigneusement !
Bonjour luzak,
Ta majoration de ne prouve rien, il faudrait minorer par un réel supérieur à -1.
Mais ce n'est pas possible puisque l'intégrale est équivalente à .
Exact : je me suis trompé de sens dans l'inégalité pour .
Mais je ne vois pas comment tu justifies l'intégration en pour un équivalent obtenu pour ?
Je comprends la majoration par mais demande de l'aide pour l'équivalent.
Merci d'avance !
Bonsoir,
joliment détaillé jvsdb. Je crois reconnaître la patte d'un dinosaure qui nous aurait quitté il y a peu, n'est-il pas ?
Mais j'intervenais pour une question qu'a soulevé luzak et qui finalement n'était pas nécessaire pour résoudre le problème mais peut-on intégrer des équivalents ?
Plus précisement : si et sont deux suites de fonctions définies sur un intervalle réel I et équivalentes (au sens où pour chaque fixé, les suites et sont équivalentes et telles que pour chaque , est positive et intégrable sur I, alors peut-on conclure que est intégrable sur I et que ? J'arrive à fournir une preuve avec une condition de convergence uniforme des équivalents ie (norme uniforme sur I)... Quelqu'un peut-il confirmer ? Si oui, la convergence uniforme sur tout compact suffirait-elle ?...Le souci qu'avait luzak venait du fait que comme d'habitude ne converge pas uniformément vers 0 sur ]0,1[ mais c'est le cas sur tout compact inclus en revanche...
C'est bien rédigé mais j'ai trouvé deux failles.
A l'avant-dernière ligne du a) i-, la majoration est fausse (faire tendre t vers 0).
Pour l'étude de , la limite simple de ne majore pas (à cause du au dénominateur).
Dans mon message du 18-12-16 à 12:41 j'ai proposé une décomposition différente qui facilite la majoration pour l'étude de .
Bonjour jandri
La première "faille" est l'oubli d'un signe, la ligne suivante est correcte...
Pour la deuxième c'est plus grave : il y a eu une reprise sans modification d'une rédaction définissant .
Il faut donc remplacer dans les définitions :
Dans b)i l'égalité à remplacer par
Dans "Etude de " :
Le reste sans changement.
J'aurais dû ajouter : merci d'ouvrir un nouveau post si on veut parler du thème intégration d'équivalents.
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