Bonjour tout le monde
f : E-> F ET g : F->E
j'ai besoin d'aide pour demontrer l'implication f surjective => fog=Idy sans utilser l'axiome du choix pour construire l'application g
Merci d'avance
pourquoi ? on a bien l equivalence f surjective si et ssi elle est inversible a droite
pour l'implication f surjective => f inversible a droite, on doit avoir recours a l'axiome du choix pour construire une application g , car f suirjecrtive donc chaque y de F peut avoir plusieurs antecedents dans E et on ne doit selectionner qu'un sinn g ne serait pas une application non ?
Bonjour,
Avec AC : Soit une surjection. Pour tout
, la partie
de
est donc non vide. Or, en vertu de l'axiome du choix, il existe une fonction de choix
telle que
pour tout
. Partant, posant
, élément de
qui appartient bien à
, il s'ensuit que
. La fonction
ainsi définie répond à la question.
Sans l'AC : Il est indispensable de se placer dans un système équivalent à celui du collectif Bourbaki. Je ne vais pas rentrer dans les détails. Puisque est surjective, quel que soit
, l'on a
, soit de manière équivalente
où l'on a posé
, et qui est nécessairement tel que
par construction même du terme
. Partant, si l'on considère l'application
il est clair que , comme attendu.
Ce que tu racontes maintenant est plus clair .Mais ce n'est pas ce que tu disais à 5 h 12 .
Les ensembles E et F étant donnés , s'il existe g : F E telle que f o g = IdF ( et non pas IdY) il est clair qu'alors f est surjective .
Tu voudrais montrer que :
Quels que soient les ensembles E , F et quelle que soit l'application surjective f : E F il existe g : F
E telle que f o g = IdF sans te servir de l'axiome du choix .
D'éminents logiciens de l'île pourront te répondre s'ils ne sont pas à la plage .
On pourrait peut-être contourner la difficulté en modifiant la définition de la surjectivité .
Bonjour.
Soit , et
une relation d'équivalence. Pour un élément
, on note
la classe d'équivalence de
.
Soit .
Il est clair que est surjective.
Supposons que la proposition soit vraie, alors il existe vérifiant
.
Soit alors une classe d'équivalence, soit
. Soit
. Alors,
donc
.
Autrement dit, on vient d'établir l'existence d'une fonction , qui à toute classe
associe
, c'est-à-dire qui à toute classe d'équivalence associe un élément de cette classe d'équivalence. Or l'existence d'une telle fonction pour
quelconque est équivalente à (AC).
Donc si la propriété est vraie, c'est que (AC) est vrai. Réciproquement, voir la réponse de ThierryPoma.
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