soit x dans J :
1/
2/ il existe tel que
alors
on note que et par suite I est de type fini engendré par donc noethérien.
alors, presque : il faut montrer que l'on attrape tous les éléments de I : en d'autres termes, pourquoi a-t-on ?
Kaiser
robby > non, tu ne peux encore rien dire.
il faut utiliser la première égalité de mon message de 19h40
Kaiser
Mais je saisi pas :
surjective cad pour tout élément il existe un élément tel que (toujours avec et )
i est dans I. La surjectivité de implique l'existence d'un polynôme Q tel que .
Donc , donc .
Kaiser
Re,
je m'étais absenté.
Tu veux que j'utilise
??
Sachant qu'on a
sachant que je peux pas marquer
??
>>je vois pas ou aller là?!!
P.S : robby > il semblerait que n'aime pas trop les guillemets " (la prochaine fois utilise plutôt 2 fois le symbole "apostrophe")
Kaiser
H_aldnoer > I est un idéal de B donc par définition I est inclus dans B ( car I doit être en particulier un sous-groupe de B).
Kaiser
oui oui non mais je suis d'accord,d'ailleurs je l'avais mis sur mon brouillon mais j'ai pas recopié!
on a donc certes!
on voit par là que est un polynome à coefficients dans ...et mon probleme justement c'est d'exprimer ce dans
plus précisément, ce noyau est celui de la surjection canonique
donc pourrais-tu me dire plus précisément quel est ce noyau ?
Kaiser
Bon j'ai refait la démo sur mon papier :
On veut montrer que est noethérien cad tout idéal I est de type fini.
On note la surjection canonique
1/ si I est un idéal de alors est un idéal de
2/ est noethérien donc est aussi noethérien
3/
On écrit avec et dans
Soit .
Donc cad il existe tel que
on a implique que
puis
quelque soit l'élément x de l'idéal, il existe un nombre fini de générateur donc l'idéal est de type fini.
H_aldnoer > remplace le 2) par :
est noetherien donc est de type fini
Sinon, pour la suite, j'ai compris ce que tu as fais mais il faut essayer d'être un peu plus rigoureux et un peu plus cohérent avec les objets que tu manipules:
i) écris plutôt
ou bien
(de la manière dont tu l'as écrit, on avait qu'un ensemble était égal à un élément)
ii)
Au passage, le résultat que l'on vient de montrer se généralise facilement :
si A est un anneau tel que A[X] est noethérien et I est un idéal de A[X], alors A[X]/I est un anneau noetherien.
Kaiser
robby > oui.
maintenant que tu sais que x" est dans Ip tu peux faire le chemin en sens inverse pour déduire que x=0.
Kaiser
pour la 2) e-
On sait que l'idéal est premier ssi est intègre. Or est isomorphe à A qui est intègre. Donc l'idéal en question est bien premier.
On sait que l'idéal est maximal ssi est un corps. Or est isomorphe à A qui n'est pas un corps. Donc l'idéal en question n'est pas maximal.
bon je sais pas si j'ai compris:
je part de x" dans Ip
donc x" est dans p.Z[X]+(X²+5).Z[X]
aprés je part ou ??
ahh bon ok
bonne nuit alors!
moi demain j'espere finir cet exo mais j'ai un DM d'intégration!!
Et Kaiser dit toi que je pose pas mal de question en algebre là mais alors l'intégration=>
c'est AFFREUX!!
vu que j'y comprend rien,j'espere que tu pourra m'aider!!
Re,
pour la 5)b)
sauf erreur tp est l'application identité:
tp(X)=X donc c'est clairement un homomorphisme injectif et surjectif sauf erreur donc un isomorphisme de Z[X] dans F_p[X]
aprés je sais pas comment continuer...
pour la 5)a) toujours pareil!
bah tu le définis comment ton corps de fraction de maniere générale??
ici K={u+alpha.v avec u et v dans Q}
salut kaiser,
tu peux me dire comment on écrit un élément de (AxA\{0})/~ ?
ça fait 20min que je tourne en rond !
En général, un élément du corps des fractions de met formellement sous la forme avec x et y dans l'anneau.
ici, cette notation formelle a du sens car l'anneau A est inclus dans un corps ().
Du coup, ça a du sens et elle est équivalente à la définition donnée par robby (voir son message de 12h51).
Kaiser
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