J'ai pas compris kaiser!
Si je prend x un élément de K : il existe u et v dans tel que
Donc pour montrer il faut écrire x sous forme de quotient ?
robby > non, ce n'est pas l'application identité, et ce n'est pas non plus injectif (le noyau est constitué des polynômes dont les coefficients sont divisibles par P).
Mais c'est bien un homomorphisme surjectif.
Kaiser
Donc on écrit :
on a
de manière générale pour montrer qu'un élément est dans (AxA\{0})/~ on l'écrit sous forme de quotient dont le dénominateur ne s'annule pas ?
ok donc j'ai ça:
x''\in Ker(\pi)=I_p
x''=p.P+(X^2+5).Q sachant que g(x'')=x' =>g(p.P+(X^2+5).Q)=x'=p.g(P)+g(X^2+5).g(Q)
puis comme h(x')=x on a:
h(p.g(P)+g(X^2+5).g(Q))=x=p.h(g(P))+h(g(X^2+5).g(Q))
euhh je suis pas sur du tout que ça m'amene au bon endroit ça!
non, on multiplie en haut et en bas par le conjugué du dénominateur.
Remarque : ces questions, je les ai déjà traitées avec robby (jette un oeil à l'autre topic et s'il y a un problème, n'hésite pas à m'en faire part).
Kaiser
Oui j'ai déjà vu ceci pour montrer que tout élément non nul de K est inversible.
Mais ici c'est pas différent ?
le dénominateur c'est quoi?
c'est bien y qui est dans A non ?
Bon OK!!
Donc on amontré ques ces deux trucs étaient isomorphes!
isomorphe à
Donc si est un idéal premier de , est integre donc est integre donc premier de et inversement.
question5)b)
s'agit-il du meme principe?
faut-il que je montre que est isomoprhe à ??
le tout en se servant de ?
H_aldnoer > OK, j'avais pas compris.
Sinon il y a une écriture plus simple pour y, d'après la question 2)b).
Kaiser
H_aldnoer,je l'aurais pas déjà faite cette question?
Kaiser il fait deux fois le boulot
une fois pour moi et une pour toi!
il se dédouble!
robby > non, l'image de p par cette application est nulle.
cette application n'est pas égale à l'identité.
De plus, ta dernière égalité est fausse (les parenthèses sont au mauvais endroit).
H_aldnoer > oui
Kaiser
On doit toujours vérifier ensuite que K est un corps ?
On a montré K=Frac(A), on sait que Frac(A) est un corps commutatif, donc il faut vérifier que K est aussi un corps commutatif c'est bien cela ?
ah oui efectivement!
donc ok on a
mais je vois pas en quoi ça nous sert.
ici on va traduire le fait que est premier par autre chose que le quotient?
en fait je vois pas comment me servir de ce pour répondre à la question!
cette application va nous permettre de faire le lien entre les deux idéaux en revenant à la définition d'un idéal premier.
Kaiser
Ok revenons à la définition:
I idéal premier de A ssi pour tout x,y dans A,x.y dans I=> x ou y est dans I.
donc ici:
Ip est un idéal premier de Z[X] ssi pour tout P,Q dans Z[X],P.Q dans Ip=>P ou q dans Ip
X²+5 idéal premier de Fp[X]ssi pour tout s(x),s(y) dans Fp[X],s(x).s(y)=tp(xy) dans X²+5=> tp(x) ou tp(y) dans X²+5
voilà.
je suis de retour
H_aldnoer > réfléchis deux secondes : la réponse est évidente
robby > raisonne par double implication.
Suppose que est un idéal premier de Z[X] et montre que (X²+5) est un idéal premier de Fp[X] (en utilisant la fameuse application).
Kaiser
Re!
Donc P est un idéal de A, c'est donc un sous-groupe additif :
x est dans P
y est dans P
implique x-y dans P
?
oui, tout bêtement.
En fait, tu n'as pas besoin de faire ça : utilise tout de suite que c'est une intersection de sous-groupes donc c'est un sous-groupe.
Kaiser
Ok c'est bien noté!
Bon ensuite j'ai bien compris pourquoi p est premier (par l'absurde).
Ensuite,
un homomorphisme.
la surjection canonique.
idéal de (je suppose que c'est un résultat connu?)
Si on applique le théorème de factorisation qui nous dit que il existe un unique homomorphisme d'anneaux tel que .
Le problème c'est que je ne comprend pas pourquoi ?
ben si on la connait : ça prend un entier n (l'injection canonique est un peu loà pour faire joli) et ça donne sa classe modulo P.
Bref, ça te dit que le noyau est l'ensemble des entiers qui sont dans le noyau de la projection canonique (ce dernier noyau étant égal à P), donc le noyau de f est bien .
Kaiser
Non j'ai pas compris.
la surjection canonique.
On prend donc un élément x de l'anneau A, et on lui associe sa congruence modulo I (I étant un idéal de A) : s(x)=... ?
Je comprend pas cette application je crois;
on a bien : ssi (c'est bien une relation d'équivalence).
On définit
on a s(x)=x+i pour i dans I ?
si on applique à on a ou qui est dans .
édit Océane : suite -> Un probleme d'algebre complet(suite 2)
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