E(.|G) (ou EG ) se lit espérence conditionnelle par rapport à G.
E(X|G) n'est définie que pour X mesurable qui est à valeurs dans + ou bien telle que l'une au moins de X+ et X- est intégrable.
J'expliqe : Soient E un ensemble , T une tribu de parties de E , P une probabilité sur T et S une soue tribu de T.
L'ensemble M(S) formé des applications de E dans qui sont S-Boréliens mesurables est contenu dans M(T) l'ensemble des applications de E dans qui sont S-Boréliens mesurables .
On a donc L2(E,S,P) L2(E,T,P) (Ce sont des L-droits càd des classes de fonctions mesurables de carré intégrable).
L2(E,S,P) étant complet on dipose de la projection orthogonale p de L2(E,T,P) sur L2(E,S,P).
Soit F L2(E,T,P). G = p(F) est caractérisée par " H L2(E,S,P) on a : <F - G , H> = 0 (càd FHdP = GHdP)"
Si f M2(T) (càd f M(T) et |f|2dP < +)il existe donc des g dans M2(S) telles que fhdP = ghdP . Toutes ces g là sont P-presque partout (presque sûrement) égales.
Il se trouve que l'on peut prolonger ce qui vient d'être fait : On démontre que pour toute f de M+(T) l'ensemble ges g M+(S) qui vérifient
" h M+(S), fhdP = ghdP " est non vide et que ses éléments sont P-ps égaux. Il est noté E(f|S) ou, mieux ES(f)
Après il faut voir
si la condition " h...." peut être affaiblie
quelles sont les proprétés de l'application ES
comment on travaille avec
quels rapports il y a avec les anciennes espérances conditionnelles
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