Bonjour,
Je crois que si j'étais professeur de mathématiques, je me focaliserais moins sur l'orthographie des expressions que sur la qualité de la compréhension ; le but étant de donner, aux jeunes, l'envie de persévérer et non de voir les mathématiques comme une matière rebutante dédiée à une secte d'initiés refusant toute transigeance en matière d'écriture.
Deuxièmement, les formes d'écriture sont issues de la concertation d'érudits, mais je crois que les génies de l'histoire étaient des précurseurs et ils se fichaient de la graphie de leur expression car ils étaient anormaux, dans le sens où ils inventaient une nouvelle norme. Ce qui importe est la réflexion sous-jacente menée au travers de l'écriture.
Enfin, étant autodidacte, il m'arrive de buter sur des principes. Cela me fait penser aux tableaux de formules que l'on nous fait apprendre par coeur, alors que souvent une seule formule suffit ; comme lorsque je faisais du latin, et que l'on me donnait des tableaux de déclinaisons ; je ne me souviens plus de rien ... Je rencontre des matheux qui sont en fin de compte de purs techniciens que l'on a programmés, tels un ordinateur auquel on donne un ordre sous une forme algorithmique. Un ordinateur n'est pas capable de prouver la pertinence d'un algorithme, il exécute ...
Cette expression est étrange, j'aurais mis une virgule pour séparer le valeurs afin d'éviter les quiproquos :
je l'aurais écrit :
De même l'écriture algébrique du nombre complexe :
;
Je l'aurais écrit : ,
Cordialement,
Grégory