Citation :
Un tel message, ça fait du bien, on sait au moins que même si on n'est pas respectable, on est souvent respecté.
Je respecte les gens qui me respectent, et qui respectent les autres.
Citation :
Petite information : l'énoncé est la stricte copie de l'original déposé sur un forum.
Je ne te reproche pas cet énoncé,
mais bel et bien la façon dont tu l'abordes.
Puisque c'est toi qui le postes (après l'avoir choisi) et qui interpelles une communauté pour solliciter des avis,
tu devrais être le premier à identifier les carences de l'énoncé, et considérer comme un
préalable indispensable de formuler les
hypothèses nécessaires à sa résolution.
Que tu ne le fasses pas passe encore...
Mais que lorsque le premier répondant souligne ces carences (à fort juste titre) et qu'il propose des interprétations (à mon sens tout à fait légitimes et sensées)... le fait que tu te permettes avec une grossièreté scandaleuse d'évincer la réponse comme tu l'as fait avec un mépris sidéral est un scandale total.
Je ne parle même plus de maths en disant ça.
Je parle de savoir vivre élémentaire, et d'honnêteté intellectuelle.
Citation :
La question posée, même si elle te parait obscure est parfaitement clair et précise, quoi que tu en dises.
Et maintenant c'est avec moi que tu es bêtement grossier... Merci ça fait chaud au coeur.
J'ai parfaitement compris l'énoncé (et je pense l'avoir prouvé par la réponse que j'ai faite).
Je te dis simplement qu'il a des carences, qui nécessitent de formuler des hypothèses.
Toi tu rejettes cette idée en considérant qu'il contient tout ce qu'il faut pour qu'on puisse y apporter une réponse univoque (la tienne).
Or je t'ai expliqué (après tous les autres) que la façon dont les arrivées des commandes sont espacées dans le temps, influence fortement le calcul du stock minimal. Et toi tu refuses cette simple évidence, pourtant facile à comprendre et à prouver.
La posture que tu défends est intenable.
Et le mépris dans lequel tu tiens ceux qui essaient de t'expliquer pourquoi, est scandaleusement grotesque et insupportable.
Citation :
Par parenthèse je connais bien Sylviel pour avoir beaucoup échangé avec lui. Sa méthode est simple "donnez-moi tous les éléments, la fréquence des pannes, le coût du stockage, la loi de probabilité de la pêche (des poissons), l'âge du capitaine etc. Je ferai un belle réponse, mais naturellement vous ne serez pas plus avancé pour autant"
Moi je ne connais pas cet intervenant et je ne fais pas de procès d'intention : je juge sur pièce.
Sur ce qu'il a dit dans sa première réponse, il n'y a pas un mot auquel je ne souscrive pas.
Sur le fond, les questions qu'il a soulevées sont d'intéressantes questions, qui sont précisément celles qui devraient être précisées à un moment ou à un autre, de trois façons possibles :
1. Dans un "énoncé scolaire", si c'est de ça qu'il s'agit. L'énoncé, ou son contexte (cours dans lequel il s'inscrit, commentaires dont il est accompagné...), doit inclure les éléments qui permettent d'établir les hypothèses qui fonderont le calcul. Dans ce cas, chaque mot, chaque virgule, chaque tournure compte. Si le contexte permet d'établir que le matériel est d'un certain type, une loi de survenance des pannes peut être légitimement induite. A défaut, si la formulation exacte est "mes clients" et non "mon client"... et qu'on peut supposer qu'il y a indépendance entre les clients, alors les arrivées suivront probablement telle loi... etc, etc...
2. Dans un "contexte professionnel", il appartiendra à l'expert de poser ces questions, soit directement en langage mathématique si les interlocuteurs le maîtrisent, soit dans un langage "métier" qui permette à l'expert d'orienter ses hypothèses vers les choix les plus viables et collant au mieux à la réalité exprimée.
3. Dans un "contexte complètement ouvert", c'est à dire pour une étude générale, ou pour répondre à un cahier des charges imprécis, sans possibilités d'interaction avec le client (le cas existe malheureusement, notamment avec les administrations...), il revient à l'expert d'étudier les différents scénarios envisageables, correspondant à différentes hypothèses, et à faire le dimensionnement de chaque cas, pour finalement prendre une position qui synthétise les différents scénarios et enjeux.
Dans TOUS LES CAS : il y a un moment ou un autre où on doit CHOISIR des hypothèses, et les argumenter pour mieux hiérarchiser leur pertinence.
C'est essentiellement ça que les intervenants ont tenté de t'expliquer...
... et que tu as systématiquement rejeté.
Or, dans le problème posé, que tu le veuilles où non, le stock minimum dépend de la façon dont les arrivées sont réparties.
Donc il FAUT faire une hypothèse.
Tu as le droit de faire celle que tu veux, et de l'argumenter.
Mais tu n'as pas le droit de dire qu'il n'y a qu'une seule hypothèse valable (la tienne) et de nier qu'il en existe d'autres.
Citation :
Personne ne m'a demandé ma simulation, mais moi, je ne l'ai faite que sur 10 ans (délai réaliste) mais une vingtaine de fois au moins.
Le problème de ta simulation a été pointé précisément : tes arrivées sont bien trop régulières.
La part aléatoire de ton processus est presque intégralement gommée.
Raison pour laquelle tu trouves qu'un stock à 4 est suffisant.
Sauf que pour trouver ce résultat, une simulation n'est même pas nécessaire, puisque tu te ramènes implicitement à un cas où la fabrication est planifiable.
Il n'y a quasiment plus d'aléa dans ta simulation.
En fait, je pressens plus ou moins que tu t'es trompé dans ta simulation par rapport à ce que tu aurais voulu faire, ou en tout cas par rapport à ce que tu as déclaré...
De ce fait, ta simulation "trahi" en quelque sorte ton intention et ton propos.
Rien que ce fait devrait te faire prendre conscience que la loi des arrivées des commandes fait une différence.
Citation :
LA remarque de je ne sais plus quel intervenant "il l'a fait une fois et a trouvé 4" est tout à fait caractéristique des réactions du "matheux moyen".
Je ne suis effectivement pas d'accord avec cette remarque qui te fait un faux procès.
Cela ne signifie pas que tu aies raison pour autant et ça ne disqualifie pas non plus les autres intervenants qui s'en sont tenus à des arguments basés sur la raison et le bon sens.
Au passage, si tu as reçu ce commentaire acide, c'est fondamentalement parce que tu as créé un climat polémique et malsain par tes premières réactions.
J'y reviens à chaque fois mais c'est fondamental : ton problème numéro un à toi, c'est la forme. La façon dont tu parles aux gens et les postures que tu adoptes.
S'il n'y avait pas ce problème, la discussion aurait pu virer tout autrement.
Elle aurait pu être constructive et t'aider à voir où étaient les limites de ton approche. Ton idée pour traiter le problème n'est pas fondamentalement débile. Mais la façon dont tu la formules (et aussi en l'occurrence la façon dont tu l'as testée par simulation, qui est en contradiction avec ton propos), et la façon dont tu rejettes d'aborder sainement la discussion, font que tu te mets tout le monde à dos.
Au final, le résultat c'est que tout le monde est passé à coté de ton "idée". Idée qu'il aurait fallu creuser un peu, reformuler plus proprement, et enfin discuter de façon contradictoire pour en jauger les limites. Au lieu de ça, cet échange a été complètement escamoté par ton attitude.
Citation :
En conclusion l'auteur de la question a eu tort de ne pas donner tous les éléments de réponse, quelle loi de probabilité choisir (uniforme, normale, Poisson, logarithmique ) avec quelle régularité ou quelle fréquence les machines allaient tomber en panne l'année suivante.
Je ne sais pas.
Je n'ai pas le post d'origine, et aucune information sur le contexte.
S'agit-il d'un cas d'école ou d'un problème réel ?
Tout ça joue...
Mais si dans le forum en question, l'intéressé a rejeté toute demande de précisions comme tu l'as fait de manière odieuse, il a eu tort.
Si il a juste demandé de l'aide sur un problème réel, il est possible qu'il ait reçu une aide. Si l'équivalent d'un Sylviel lui a répondu, il est possible qu'après quelques échanges, ils se soient compris que des hypothèses aient pu se dégager, pour aboutir à un premier niveau de solution viable...
Je ne peux pas apprécier sans les éléments.
Citation :
Et moi, j'ai eu tort d'appliquer les notions de probabilité que je connais et d'essayer d'en faire profiter d'autres, maintenant que c'est une partie très importante des préoccupations en mathématique.
Non là franchement tu te la racontes !
Ce que t'on reproché essentiellement les participants à la discussion, c'est de considérer qu'il y avait une réponse unique évidente et le fait que tu contestes manifestement qu'une hypothèse sur l'espacement des arrivées soit absolument nécessaire. Sans parler de ta simulation qui est en contradiction avec ton discours mais c'est un autre sujet (je pense que tu t'es planté et que tu ne l'a pas vu... ce qui ne rend pas ton discours faux en soi mais te discrédite forcement un peu aux yeux des forumeurs, surtout après tes déclarations...).
Citation :
Question : si tu ne crois pas aux probabilités pourquoi tu en fais
Ta question me sidère.
Qu'est-ce qui te fait dire que "je ne crois pas aux probabilités"
?
C'est une sorte de provocation dont tu as le secret ou c'est vraiment ce que tu penses ?
Après nous les échanges que nous avons eus, notamment sur la marche aléatoire, comment peux-tu penser que je rejettes les probabilités ?
Je ne te comprends vraiment pas.
Citation :
... et surtout pourquoi tu agis comme si toutes ces notions t'étaient parfaitement connues.
Je n'ai jamais prétendu que ces notions me sont parfaitement connues.
Je donne ma vision et mes explications.
Elles tiennent la route ou pas... à chacun d'en juger.
Mais j'ai la vague impression que c'est juste une sorte de "pique" que tu me lances pour me faire réagir...
Perte de temps si tu veux mon avis.