Citation :
Juste une petite réponse sur le dernier point évoqué.
La première fois que j'ai parlé de ces notions (loi normale etc.) le l'ai fait avec toutes les précautions d'usage, tout simplement parce j'ai l'habitude d'être poli et que par ailleurs je sais que ces notions sont mal connues.
On m'a traité de mystique, d'incompétent sénile, dernièrement on m'a demandé si je fumais la moquette, si j'avais eu un AVC, tout ça est très normal et j'ai tort de le prendre mal.
Je n'insisterai pas plus sur ce sujet et je n'ai aucun compte à régler
Je ne peux pas juger de l'historique de tes relations avec d'autres personnes.
Je sais aussi que les échanges sur le forum peuvent parfois devenir un peu "vifs".
Et je ne suis pas là pour me placer en arbitre.
Je trouve quand même, pour ce que j'ai pu en observer, que tu prends vraiment des libertés avec les gens et que tu les traites parfois exactement comme tu n'aimes pas qu'on te traite.
Pour ma part je n'avais aucun historique avec toi (donc aucune circonstance dans la quelle j'aurais pu être blessant avec toi...) et j'ai pourtant été très surpris, à plusieurs reprises, par des messages de ta part qui m'étaient plus ou moins adressés et qui dénigraient plus ou moins la substance de mes propos (en les déformant au passage, ou en les reformulant de façon à les tourner en dérision).
Je ne comprends pas ce genre de démarche. J'ai toujours été (et resterai toujours) prêt à expliciter et justifier mes propos. Et au besoin à reconnaître mes erreurs quand j'en fait. Et je ne comprends littéralement pas qu'on vienne me chercher des poux dans la tête, là où une simple interpellation amicale et de bonne foi permettrait de lever tout malentendu.
En conclusion sur ce que moi j'ai pu observer et ressentir de ton attitude, je dirais que tu ne donnes pas vraiment l'impression de rechercher le consensus ou le progrès à plusieurs... mais souvent plutôt la confrontation. Tu as peut-être des raisons passées d'agir ainsi. Mais mon conseil ce serait de t'en débarrasser une bonne fois pout toute et de revenir à un mode d'échange plus coopératif que contradictoire.
Maintenant concernant le fond :
Citation :
Non, je n'ai pas revu mon programme mais je l'ai relu soigneusement et je ne sais pas pourquoi les résultats sont faux. Ce module utilise la méthode de Nombrilist et j'aurais dû me rendre compte plus vite qu'il y avait des écarts importants avec le calcul fait à partir de la méthode que j'ai utilisée d'abord, c'est à dire la construction d'un hypercube.
Je ne sais pas ce qui cloche dans ton programme (ou "clochait", si tu l'as modifié depuis...).
Ce que je peux te confirmer en revanche c'est que la stricte application de la méthode de nombrilist donne bien des résultats cohérents avec la théorie.
Citation :
Le principe qui justifie la méthode de Monte-Carlo consiste au fait que si on réalise une expérience aléatoire, la moyenne est la valeur la plus probable et les écarts entre les différentes valeurs observées et la moyenne respectent la répartition de la loi normale.
C'est plutôt que la moyenne est un estimateur de l'espérance.
Et que la distribution de cette moyenne converge en loi vers la loi normale.
Mais "dans l'esprit", je suppose que c'est plus ou moins ce que tu veux dire.
Citation :
Dans le cas présent, l'expérience n'est pas UNE mise en œuvre de la méthode, mais plusieurs mises en œuvre.
En effet, le nombre de sommets parcourus n'a aucune raison d'être distribué suivant une suite identiquement distribuée. Ce qui est comparable, c'est un ensemble d'applications de la méthode, toutes choses égales par ailleurs.
Pour une application, le nombre de calculs à faire dépend naturellement du problème à traiter. Comme par définition, on ne connait pas la loi de répartition, on ne peut que trouver une méthode pour fixer ce nombre de calculs et non pas "trouver une formule a priori". J'ai bien précisé que ce point restait à définir.
Je ne comprends pas tout de ton explication, mais sur le fond je pense comprendre que tu as conscience des difficultés de Monte-Carlo pour établir le nombre d'itérations requises pour obtenir une précision cible valable.
Citation :
Pour en revenir à ce qui m'a fait ouvrir ce topic, c'est que le cours cité n'évoque en aucun cas ce point. Les méthodes pour diminuer la variance (2è partie) supposent, bien que ce ne soit pas explicitement dit, que l'on connaisse la loi de répartition.
Il me semble que le cours évoque des situations d'utilisation de Monte-Carlo bien précises, et qui reposent sur des modèles qui permettent certaines inférences.
Mais j'ai lu le texte rapidement et je ne suis pas spécialiste de Monte-Carlo.
Citation :
Le terme "empirique" m'amuse toujours. Un bonne traduction serait "on a toujours fait comme ça".
Surtout en matière de probabilité, il n'y a rien d'empirique, tout ça est parfaitement mathématique et parfaitement rigoureux, en partant de 2 ou 3 hypothèses bien précises. (le terme "hypothèse" est mal choisi, plutôt postulat ou constat)
Je ne sais pas ce qui "t'amuse" dans ce terme.
Il est quand même bien pratique pour distinguer ce qui est mesuré par l'expérience de ce qui est supposable ou calculable par la théorie.
Citation :
Si on veut affiner la méthode, il faudrait avoir un plus grand nombre d'exemples, à moins que l'on soit sûr que la marche aléatoire représente un schéma général et généralisable.
Si par méthode tu entends "Monte-Carlo" et par "généralisable" tu entends applicable à tout et n'importe quoi en considérant que la moyenne empirique sera toujours un estimateur efficace de l'espérance mathématique cherchée, alors je pense que la réponse se discute en fonction de la nature du problème traité.
La marche aléatoire dans l'hyper cube se prête relativement bien à Monte-Carlo (avec des limites quantitatives qu'on a déjà évoquées auparavant). Mais on peut imaginer d'autres énoncés qui ne s'y prêteraient pas aussi bien, voire pas du tout.
Citation :
Je n'oublie pas que nous ne sommes pas d'accord sur les hypothèses de départ.
Au stade où nous en sommes, je ne suis pas certain de savoir sur quoi nous sommes d'accord et sur quoi nous sommes en désaccord.
J'en ai une vague idée... mais je ne suis sûr de rien.